Chronique
RUSTED - ROCK PATROL / Autoproduction 2013
Le Québec est aujourd'hui à l'honneur avec le deuxième opus de Rusted, groupe salué par les membres de Steel Panther ou encore LA Gun. Alors pourquoi ne pas se jeter à l'eau.
On entame les hostilités avec la title track qui permet de constater que le groupe se la joue bien hardos à l'ancienne. Par contre la production est pas terrible ! De plus le groupe essai par moment d'en faire trop. Dommage. ça se calme avec la plus mélodique « Just a dream » qui passe bien. Les compos n'ont rien d'original et sont mises à mal par une prod trop pauvre.
On poursuit sur un « Wanted man boogie » pas des plus réjouissante. De plus la voix de Tony Rust me dérange, avec des faux air de Tobias Sammett, ce qui n'arrange pas les choses. De jolis arpèges de guitares sèches arrivent avec « Last stand » mais tout ça rappelle fortement Bon Jovi. Encore raté !
« Scream in the night » accélère le rythme pour nous offrir du rock endiablé, qui devrait faire effet sur scène. Ça sera déjà ça !! « Too much is never enough » continue dans la même veine mais plus enjoué. Dommage que Tony s'essaye à des screaming aigus qui ne lui vont pas.
Un petit mid tempo avec « Tsunami » qui ne casse pas trois pattes à un canard. Décidément cet opus ne décolle pas beaucoup. Heureusement que l'énergique « Two at the time » débarque à fond les ballons et fait illusion.
« Partners in crime » est du pur hard rock teinté '80' mais là encore rien de bien existant !! Et « So far so strong » vient à notre rescousse, mais reste aussi efficace qu'une bouée en plein désert.
On y croit jusqu'au bout avec «
Devil in a dress » qui continue cet album sans grande saveur.
J'avoue que là il y a du mieux ! Enfin ! Place à la vraie ballade avec « True eyes of love » sympa sans plus. On termine (enfin !) avec « Young wild and free » qui sonne comme une vieille démo (horrible) mais envoie des pieds pour faire croire.
Conclusion : Rien de plus à rajouter. Un album et un groupe qui ne m'auront pas emballé un brin. A oublier.
On entame les hostilités avec la title track qui permet de constater que le groupe se la joue bien hardos à l'ancienne. Par contre la production est pas terrible ! De plus le groupe essai par moment d'en faire trop. Dommage. ça se calme avec la plus mélodique « Just a dream » qui passe bien. Les compos n'ont rien d'original et sont mises à mal par une prod trop pauvre.
On poursuit sur un « Wanted man boogie » pas des plus réjouissante. De plus la voix de Tony Rust me dérange, avec des faux air de Tobias Sammett, ce qui n'arrange pas les choses. De jolis arpèges de guitares sèches arrivent avec « Last stand » mais tout ça rappelle fortement Bon Jovi. Encore raté !
« Scream in the night » accélère le rythme pour nous offrir du rock endiablé, qui devrait faire effet sur scène. Ça sera déjà ça !! « Too much is never enough » continue dans la même veine mais plus enjoué. Dommage que Tony s'essaye à des screaming aigus qui ne lui vont pas.
Un petit mid tempo avec « Tsunami » qui ne casse pas trois pattes à un canard. Décidément cet opus ne décolle pas beaucoup. Heureusement que l'énergique « Two at the time » débarque à fond les ballons et fait illusion.
« Partners in crime » est du pur hard rock teinté '80' mais là encore rien de bien existant !! Et « So far so strong » vient à notre rescousse, mais reste aussi efficace qu'une bouée en plein désert.
On y croit jusqu'au bout avec «
Devil in a dress » qui continue cet album sans grande saveur.
J'avoue que là il y a du mieux ! Enfin ! Place à la vraie ballade avec « True eyes of love » sympa sans plus. On termine (enfin !) avec « Young wild and free » qui sonne comme une vieille démo (horrible) mais envoie des pieds pour faire croire.
Conclusion : Rien de plus à rajouter. Un album et un groupe qui ne m'auront pas emballé un brin. A oublier.
Critique : Guillaume
Note : 5/10
Vues : 5726 fois