Chronique
BLACK LABEL SOCIETY - MAFIA / ARTEMIS RECORDS NAIVE 2005
On ne présente plus BLS le groupe du demi dieu Zakk Wylde qui depuis un bout de temps (16 ans) officie aux cotés de la légende vivante Ozzy Osbourne et qui a sorti, il y a un peu moins d’un an un album 100% calme entre acoustique et ballade.
Maintenant le voici de retour pour un 6eme album 100% métal : Mafia.
Début à la vox box pour « fire it up » pour un bon gros mid tempo heavy comme on les aime. La voix de Zakk arrive, prenant d’amblé toute la place, tonitruante comme au plus beau jour. Ce titre vous met d’accord de suite : ce sera du très bon. Le solo du père Wylde est à tomber. Et on continue avec « what’s in you » et son riff entêtant pour un nouveau mid tempo bien bon. On voyage à travers son monde entre 1919 Eternal et Blessed hellride.
« Suicide messiah » bien lourde rappelle le grand Black Sabbath des 70’. D’ailleurs on pourrait se dire que cet album aurait très bien pu être le nouveau Ozzy, tant on peu l’imaginer chanter à la place de Zakk. Début au piano pour « forever dreams » un joli début sensible sur laquelle vient se greffer un riff qui tue (il en est d’ailleurs le roi). Une nouvelle fois la même impression tant la voix de Zakk se rapproche de celle d’Ozzy et ces solos toujours aussi magiques : un vrai régal.
Cette fois ci la ballade est en train « in the river » et débute sur un mélange guitare piano magnifique tout comme cette voix sensuelle qui se pose à merveille. Très proche de ce que l’on a pu trouver dans le ‘Hangover music volume VI’ cette chanson est un pur plaisir comme il est le seul à savoir les réaliser.
Entrée en puissance pour « you must be blind » avec son riff lourd énorme, un titre monstrueux qui fait effet de rouleau compresseur. Un des musts de cet album. « Death march » reprend le bon vieux mid tempo, rampe comme un serpent qui va attaquer sa proie : envoûtant et terrible. « Dr. Octavia » est un petit solo bien bon du style je sais jouer et je te le prouve.
2eme rouleau compresseur « say wat you will » d’ailleurs assez proche du premier. Zakk s’arrache dans ses vocaux pour ce super titre qui nous envoie sur la très 70’ «too tough to die » très cool. Ce titre donne un bol d’air ; dommage qu’il soit trop court.
Attention aux grosses chaleurs « electric hellfire » va brûler quelques métalleux en manque de jumping avec cette chanson courte mais efficace.
« Spreads your wings » commence étrangement juste avant un nouveau riff de la mort pour encore un mid tempo puissant et mortel (il a un don ce type, ce n’est pas humain). Toujours rien à redire, on en prend plein les oreilles (ah oui j’ai oublié de dire BLS c’est fort qu’il faut écouter !!). Le solo mortel lui aussi vous donnera des cours pour les apprentis gratteux.
Un début très ‘war pigs’ pour « been a long time » puis une suite ben.. terrible (qui a dit le contraire ? attention je vous surveille vous avez pas bien appris votre leçon). Ah la la quand va-t-il arrêter de nous en jeter autant d’aussi bonne qualité ? A chaque coup on ne suit plus.
Pour finir la 2eme ballade « dirt on the grave » est très folklorique, jouée à la guitare avec de temps en temps l’apparition du vox box et aidée par un piano. Ce joli titre conclue dignement cet album d’un des maître musicien actuel : très grand.
Conclusion : rien de plus par rapport aux autres albums si se n’est encore un très bon album pour Mr Zakk Wilde qui nous délivre 14 compos terribles. Si vous aimez, jetez vous dessus. Si vous ne connaissais pas il n’y a plus de temps à perdre.
Maintenant le voici de retour pour un 6eme album 100% métal : Mafia.
Début à la vox box pour « fire it up » pour un bon gros mid tempo heavy comme on les aime. La voix de Zakk arrive, prenant d’amblé toute la place, tonitruante comme au plus beau jour. Ce titre vous met d’accord de suite : ce sera du très bon. Le solo du père Wylde est à tomber. Et on continue avec « what’s in you » et son riff entêtant pour un nouveau mid tempo bien bon. On voyage à travers son monde entre 1919 Eternal et Blessed hellride.
« Suicide messiah » bien lourde rappelle le grand Black Sabbath des 70’. D’ailleurs on pourrait se dire que cet album aurait très bien pu être le nouveau Ozzy, tant on peu l’imaginer chanter à la place de Zakk. Début au piano pour « forever dreams » un joli début sensible sur laquelle vient se greffer un riff qui tue (il en est d’ailleurs le roi). Une nouvelle fois la même impression tant la voix de Zakk se rapproche de celle d’Ozzy et ces solos toujours aussi magiques : un vrai régal.
Cette fois ci la ballade est en train « in the river » et débute sur un mélange guitare piano magnifique tout comme cette voix sensuelle qui se pose à merveille. Très proche de ce que l’on a pu trouver dans le ‘Hangover music volume VI’ cette chanson est un pur plaisir comme il est le seul à savoir les réaliser.
Entrée en puissance pour « you must be blind » avec son riff lourd énorme, un titre monstrueux qui fait effet de rouleau compresseur. Un des musts de cet album. « Death march » reprend le bon vieux mid tempo, rampe comme un serpent qui va attaquer sa proie : envoûtant et terrible. « Dr. Octavia » est un petit solo bien bon du style je sais jouer et je te le prouve.
2eme rouleau compresseur « say wat you will » d’ailleurs assez proche du premier. Zakk s’arrache dans ses vocaux pour ce super titre qui nous envoie sur la très 70’ «too tough to die » très cool. Ce titre donne un bol d’air ; dommage qu’il soit trop court.
Attention aux grosses chaleurs « electric hellfire » va brûler quelques métalleux en manque de jumping avec cette chanson courte mais efficace.
« Spreads your wings » commence étrangement juste avant un nouveau riff de la mort pour encore un mid tempo puissant et mortel (il a un don ce type, ce n’est pas humain). Toujours rien à redire, on en prend plein les oreilles (ah oui j’ai oublié de dire BLS c’est fort qu’il faut écouter !!). Le solo mortel lui aussi vous donnera des cours pour les apprentis gratteux.
Un début très ‘war pigs’ pour « been a long time » puis une suite ben.. terrible (qui a dit le contraire ? attention je vous surveille vous avez pas bien appris votre leçon). Ah la la quand va-t-il arrêter de nous en jeter autant d’aussi bonne qualité ? A chaque coup on ne suit plus.
Pour finir la 2eme ballade « dirt on the grave » est très folklorique, jouée à la guitare avec de temps en temps l’apparition du vox box et aidée par un piano. Ce joli titre conclue dignement cet album d’un des maître musicien actuel : très grand.
Conclusion : rien de plus par rapport aux autres albums si se n’est encore un très bon album pour Mr Zakk Wilde qui nous délivre 14 compos terribles. Si vous aimez, jetez vous dessus. Si vous ne connaissais pas il n’y a plus de temps à perdre.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
Site du groupe : site officiel de Black Label Society
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