Chronique
DREAM THEATER - DREAM THEATER / Roadrunner 2013
Après 'Une tournure dramatique des événements', voici que nos maitres du prog, nous sortent leur opus éponyme, comme un nouveau départ pour ainsi définitivement tourner la page. Après avoir immensément apprécié leur retour j'attends avec impatience de voir comment le groupe va poursuivre sa voie 'seul' !!
Comme d'hab c'est avec un peu d'appréhension que je me lance à l'écoute d'un nouvel opus du théâtre des rêves. « Fasle awaking suite » étonne en nous offrant une intro très cinématographique et splendide !! Orchestration, chœurs, jeux de guitares flamboyants, tout est réuni ici pour nous éblouir !! D'entrée de jeu DT frappe très fort et ce n'est que le début !! Le riff de « The enemy inside » déboule et montre que John Petrucci a bien pris les reines du Théâtre pour nous proposer un de ces titres rentre dedans mais gavé de bonnes idées !! Autre grand gagnant comme à chaque sortie James Labrie toujours aussi exquis et qui prouve album après album quel immense chanteur il est !! Qu'est ce qu'on est bien reçu !!
« The looking glass » va ravir encore plus de monde avec ses faux airs d' 'Awake' ! Et oui on semble replonger il y a presque 20 en arrière ! Un titre enjoué et aérien sur lequel le groupe nous ressort ses anciennes armes. Un bain de nostalgie exquis !!! Nouvelle surprise avec le retour d'une instrumentale celle ci ce nome « Enigma machine » et porte très bien son nom ! Un exercice de style emporté haut la main, qui là encore rappelle les anciens travaux de nos New Yorkais. Décidément on passe de surprise en surprise avec cet opus ! Pourvu que ça dure !
On enchaine avec « The bigger picture » une ballade toute douce sur laquelle James se fait tendre et sublime. Comme on peut s'y attendre tout cela évolue de façon admirable pour devenir une superbe power ballade comme le groupe sait nous les offrir ! Pour rester dans la douceur ambiante l'intro de « Behind the viel » est parfaite, juste avant qu'un gros riff prennent place et redonne du coffre à l'album. Un titre où l'ombre d'un certain Metallica plane sans aucun doute et sur lequel chacun durcit le ton. Mais avec un groupe comme celui ci il y a toujours des contradictions et le refrain ultra mélodique en est une !!! Re-changement de registre avec « Surrender to reason ». malgré son début acoustique, ici, nous avons à faire à du vrai prog comme Dream Theater sait le faire, avec brio et maestria !! Une fois de plus le groupe tape juste !!
Deuxième ballade avec « Along for the ride » à la fois touchante et simple, elle enivre l'auditeur sans effort et le berce jusqu'à sa conclusion.
Place au pavé « Illumination theory » et ses 22 minutes !! Oui le groupe ne semble pas vouloir arrêter les excès de temps !! On retrouve ici l'aspect cinématographique vu dans l'intro, un coté grandiloquent maitrisé (si c'est possible) qui évolue sur du pur métal groovy, où la guitare de Mr Petrucci est une nouvelle fois maitresse !! Un break instrumental grandiose arrive, et nous offre un calme digne d'une musique de film, sur lequel juste des orchestrations apparaissent avant que nos protagonistes reviennent finir le travail, d'abord dans une intensité certaine avec un Labrie hargneux à la limite puis, après un long solo titanesque se clôt définitivement sur de belles mélodies enchanteresses. Du bien beau boulot.
Conclusion : Pour son 're-départ' Dream Theater est allé puiser au fond de lui même, dans son passé, son présent mais aussi son avenir. Un album une fois de plus époustouflant d'une grande richesse et à la fois plus simple et direct ! Du grand art à nouveau pour un groupe qui à retrouvé sa grâce quelque peu perdue !!
Comme d'hab c'est avec un peu d'appréhension que je me lance à l'écoute d'un nouvel opus du théâtre des rêves. « Fasle awaking suite » étonne en nous offrant une intro très cinématographique et splendide !! Orchestration, chœurs, jeux de guitares flamboyants, tout est réuni ici pour nous éblouir !! D'entrée de jeu DT frappe très fort et ce n'est que le début !! Le riff de « The enemy inside » déboule et montre que John Petrucci a bien pris les reines du Théâtre pour nous proposer un de ces titres rentre dedans mais gavé de bonnes idées !! Autre grand gagnant comme à chaque sortie James Labrie toujours aussi exquis et qui prouve album après album quel immense chanteur il est !! Qu'est ce qu'on est bien reçu !!
« The looking glass » va ravir encore plus de monde avec ses faux airs d' 'Awake' ! Et oui on semble replonger il y a presque 20 en arrière ! Un titre enjoué et aérien sur lequel le groupe nous ressort ses anciennes armes. Un bain de nostalgie exquis !!! Nouvelle surprise avec le retour d'une instrumentale celle ci ce nome « Enigma machine » et porte très bien son nom ! Un exercice de style emporté haut la main, qui là encore rappelle les anciens travaux de nos New Yorkais. Décidément on passe de surprise en surprise avec cet opus ! Pourvu que ça dure !
On enchaine avec « The bigger picture » une ballade toute douce sur laquelle James se fait tendre et sublime. Comme on peut s'y attendre tout cela évolue de façon admirable pour devenir une superbe power ballade comme le groupe sait nous les offrir ! Pour rester dans la douceur ambiante l'intro de « Behind the viel » est parfaite, juste avant qu'un gros riff prennent place et redonne du coffre à l'album. Un titre où l'ombre d'un certain Metallica plane sans aucun doute et sur lequel chacun durcit le ton. Mais avec un groupe comme celui ci il y a toujours des contradictions et le refrain ultra mélodique en est une !!! Re-changement de registre avec « Surrender to reason ». malgré son début acoustique, ici, nous avons à faire à du vrai prog comme Dream Theater sait le faire, avec brio et maestria !! Une fois de plus le groupe tape juste !!
Deuxième ballade avec « Along for the ride » à la fois touchante et simple, elle enivre l'auditeur sans effort et le berce jusqu'à sa conclusion.
Place au pavé « Illumination theory » et ses 22 minutes !! Oui le groupe ne semble pas vouloir arrêter les excès de temps !! On retrouve ici l'aspect cinématographique vu dans l'intro, un coté grandiloquent maitrisé (si c'est possible) qui évolue sur du pur métal groovy, où la guitare de Mr Petrucci est une nouvelle fois maitresse !! Un break instrumental grandiose arrive, et nous offre un calme digne d'une musique de film, sur lequel juste des orchestrations apparaissent avant que nos protagonistes reviennent finir le travail, d'abord dans une intensité certaine avec un Labrie hargneux à la limite puis, après un long solo titanesque se clôt définitivement sur de belles mélodies enchanteresses. Du bien beau boulot.
Conclusion : Pour son 're-départ' Dream Theater est allé puiser au fond de lui même, dans son passé, son présent mais aussi son avenir. Un album une fois de plus époustouflant d'une grande richesse et à la fois plus simple et direct ! Du grand art à nouveau pour un groupe qui à retrouvé sa grâce quelque peu perdue !!
Critique : Guillaume
Note : 10/10
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