Chronique
THE DEVIL WEARS PRADA - 8:18 / Roadrunner Records 2013
Après un album live « Dead & Alive » sortit en juin dernier, et très mitigé, ce metal band chrétien revient avec leur sixième album studio en cet période automnale. Les thèmes abordés dans cet album sont la misère et tous les désaccords et mauvais choix que prend la société de nos jours. Une révolte faite dans le metalcore et ça commence maintenant.
Qui dit metacore dit bien évidemment qu’on ne fait pas dans la dentelle. Le groupe le prouve une nouvelle fois à travers ses treize titres dépassant rarement les 3:30. Après un premier titre « Gloom » sans grand intérêt, le groupe commence à nous mettre l’eau à la bouche avec « Rumours », varié sur le plan musicalement et vocalement, tout en restant ténébreux et mélodique par moments.
Pour la suite, les morceaux s’enchaînent et viennent nous percuter sans difficultés, offrant un panel musical assez ouvert et varié tout en gardant une trame musicale maître.
Des petites surprises apparaissent ici et là avec par exemple « War », ballade ténébreuse / puissante et racée qui ne laissera pas indifférent et donnera presque le sourire malgré son ambiance sombre et son chant guttural.
Le titre éponyme « 8:18 » débute de manière posée et très mélodique, en opposition au chant qui est certainement un peu le défaut de ce titre par moments car l’alternance voix claire / gutturale se fait mal par moment, ou alors la ligne de chant choque par rapport à la musique.
Mon coup de cœur sur cet album viendra sans hésitation de « Sailor’s prayer », morceau où haine et passion s’entrechoquent pour donner ce titre mélodique posé et puissant nous transportant dans une sorte de transe made in metal où le headbanging lent et rigoureux est omni présent.
Conclusion : avec ce sixième album, le groupe continue son avancée et nous propose des morceaux puissants et sympas, même si certains d’entre eux restent pauvres (Gloom / Care More) voire lassants. Un essai marqué, mais qui ne satisfait pas entièrement.
Track listing : Gloom / Rumours / First sight / War / 8:18 / Sailor’s Prayer / Care More / Martyrs / Black and blue / Transgress / Number eleven / Home for grave / In heart
Qui dit metacore dit bien évidemment qu’on ne fait pas dans la dentelle. Le groupe le prouve une nouvelle fois à travers ses treize titres dépassant rarement les 3:30. Après un premier titre « Gloom » sans grand intérêt, le groupe commence à nous mettre l’eau à la bouche avec « Rumours », varié sur le plan musicalement et vocalement, tout en restant ténébreux et mélodique par moments.
Pour la suite, les morceaux s’enchaînent et viennent nous percuter sans difficultés, offrant un panel musical assez ouvert et varié tout en gardant une trame musicale maître.
Des petites surprises apparaissent ici et là avec par exemple « War », ballade ténébreuse / puissante et racée qui ne laissera pas indifférent et donnera presque le sourire malgré son ambiance sombre et son chant guttural.
Le titre éponyme « 8:18 » débute de manière posée et très mélodique, en opposition au chant qui est certainement un peu le défaut de ce titre par moments car l’alternance voix claire / gutturale se fait mal par moment, ou alors la ligne de chant choque par rapport à la musique.
Mon coup de cœur sur cet album viendra sans hésitation de « Sailor’s prayer », morceau où haine et passion s’entrechoquent pour donner ce titre mélodique posé et puissant nous transportant dans une sorte de transe made in metal où le headbanging lent et rigoureux est omni présent.
Conclusion : avec ce sixième album, le groupe continue son avancée et nous propose des morceaux puissants et sympas, même si certains d’entre eux restent pauvres (Gloom / Care More) voire lassants. Un essai marqué, mais qui ne satisfait pas entièrement.
Track listing : Gloom / Rumours / First sight / War / 8:18 / Sailor’s Prayer / Care More / Martyrs / Black and blue / Transgress / Number eleven / Home for grave / In heart
Critique : Lionel
Note : 7/10
Site du groupe : Site de The Devil Wears Prada
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