Chronique
BEHEMOTH - THE SATANIST / Nuclear Blast 2014
BEHEMOTH n’a jamais fait du bal musette. Ça c’st une vérité. Mais depuis ses problèmes de santé, et sa victoire, Nergal, maitre à penser de la bête, semble bien décidé à en découdre.
Si avant chaque album faisait l’effet d’un coup de poing de Mike Tyson en pleine face, bah maintenant avec « The Satanist » on passe à Hulk…
On attaque avec le single (qui va avec un clip énorme), « Blow Your Trumpets Gabriel ». Riff lent, crade, puissant avant que Nergal ne nous sorte une voix ultra caverneuse assez atypique mais tellement jouissive. Le morceau est riche grâce aux cuivres et aux chœurs, le nouveau BEHEMOTH s’annonce…
« Furor Divinus » parle de lui-même, du blast ravageur mode « plein ta face » (HULK SMASH !!). Le morceau alterne le véloce et le pesant, puissant pour trois minutes de fureur. Mais on change d’ambiance avec un chant assez plaintif au début : « Messe Noire », toujours aussi sombre mais qui surprend par un solo très heavy et franchement ça passe crème ; surtout qu’on enchaine direct avec « Ora Pro Nobis » ; une claque. Le morceau monte lentement en puissance jusqu’à exploser sur un couplet magistral ! Le morceau ralenti lentement pour se mourir lentement.
« Amen » est de la même veine que « Furor Divinus ». Brutal et rapide au début mais plus prog ambiant vers la fin. Le titre éponyme est assez bizarre au début, très ambiance, assez proche de « Messe Noire » au niveau du chant.
« Ben Sahar » suit le mouvement, plus mid tempo mais toujours enragé. Moins mon type, mais ça envoie quand même une sacré claque ! On continue avec du concret avec « In the Absence Ov Light » et un blast ravageur. Du moins c’est ce que je pensais. Mais étrangement, il semblerait que Nergal nous parle quelques minutes sur fond de guitare sèche et saxophone. Puis vlan retour du blast ! Woaw !! cet album est vraiment très personnel, l’introspection de Nergal.
On finit avec avec « O Father, O Satan, O Sun » qui commence avec des chœurs grandioses et angoissants mais le morceau est en fin de compte assez léger. Encore un bon sol qui apporte un bon contraste et une très bonne façon de finir l’album.
Bon y’a pas à dire, BEHEMOTH est bien de retour ! Sombre, puissant, brutal, cet album est très varié de part ses ambiances et changement de rythmes. Une bombe de death par les maitres du genre. Ça va claquer en live !
Si avant chaque album faisait l’effet d’un coup de poing de Mike Tyson en pleine face, bah maintenant avec « The Satanist » on passe à Hulk…
On attaque avec le single (qui va avec un clip énorme), « Blow Your Trumpets Gabriel ». Riff lent, crade, puissant avant que Nergal ne nous sorte une voix ultra caverneuse assez atypique mais tellement jouissive. Le morceau est riche grâce aux cuivres et aux chœurs, le nouveau BEHEMOTH s’annonce…
« Furor Divinus » parle de lui-même, du blast ravageur mode « plein ta face » (HULK SMASH !!). Le morceau alterne le véloce et le pesant, puissant pour trois minutes de fureur. Mais on change d’ambiance avec un chant assez plaintif au début : « Messe Noire », toujours aussi sombre mais qui surprend par un solo très heavy et franchement ça passe crème ; surtout qu’on enchaine direct avec « Ora Pro Nobis » ; une claque. Le morceau monte lentement en puissance jusqu’à exploser sur un couplet magistral ! Le morceau ralenti lentement pour se mourir lentement.
« Amen » est de la même veine que « Furor Divinus ». Brutal et rapide au début mais plus prog ambiant vers la fin. Le titre éponyme est assez bizarre au début, très ambiance, assez proche de « Messe Noire » au niveau du chant.
« Ben Sahar » suit le mouvement, plus mid tempo mais toujours enragé. Moins mon type, mais ça envoie quand même une sacré claque ! On continue avec du concret avec « In the Absence Ov Light » et un blast ravageur. Du moins c’est ce que je pensais. Mais étrangement, il semblerait que Nergal nous parle quelques minutes sur fond de guitare sèche et saxophone. Puis vlan retour du blast ! Woaw !! cet album est vraiment très personnel, l’introspection de Nergal.
On finit avec avec « O Father, O Satan, O Sun » qui commence avec des chœurs grandioses et angoissants mais le morceau est en fin de compte assez léger. Encore un bon sol qui apporte un bon contraste et une très bonne façon de finir l’album.
Bon y’a pas à dire, BEHEMOTH est bien de retour ! Sombre, puissant, brutal, cet album est très varié de part ses ambiances et changement de rythmes. Une bombe de death par les maitres du genre. Ça va claquer en live !
Critique : SBM
Note : 8/10
Site du groupe : Site Officiel
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