Chronique
THE GRAVIATORS - MOTORLOAD / Napalm Records 2014
Après la sortie de « The Graviators » en 2009 et « Evils Deeds » en 2012, les quatre suédois de THE GRAVIATORS sortent leur troisième opus et deuxième album signé chez Napalm Records : « Motherload ».
On commence avec un riff lourd, assez stoner sur « Leif’s Last Breath ». Le chant est assez clair, offrant un assez bon contraste. Par moment ça sonne mou, trop mou, sans âme. Les lignes de chant remontent un peu le niveau sur les couplets, mais bon, rien de transcendant.
« Narrow Minded Bastard »… ou « Comment répéter un riff simple sur des couplets de 3 minutes et mettre un solo histoire de… ». Rien d’excitant. Et le pire c’est que c’est pareil avec « Bed of Bitches », mou, long, pas captivant.
« Tigress of Siberia » est en dent de scies, le rythme s’accélère par moment, y’a un bonn groove, un bon feeling, mais le morceau met juste quatre minutes à démarrer… Mais la fin remonte bien le niveau. Y’a de l’énergie, un chant mélodieux est assez prenant. J’appréhende grandement le morceau suivant : « Lost Lord » et pour cause : il fait 12 minutes !! Ben y’a du bon, comme le break jazzy qui commence au milieu, mais dure un peu trop longtemps. Et le moins bon c’est le début vu que c’est comme les morceaux d’avant.
L’originalité de « Corpauthority » c’est les changements incessant de rythme et de tonalités, y’a un bon boulot là-dessus car les transitions passent assez bien, mais par contre ça veut pas dire que ça a un impact. Au démarrage « Drowned in Leaves » est assez calme, planant, ça change un peu, d’autant plus que le contraste avec les quelques riffs plein de dispo est assez marqué. Mais toujours pareil : je ressens plus de chose en écoutant chanter un pif chez mon voisin…
On termine avec un long et très (trop) lourd « Eagles Rising » ou le chanteur a la voix modifiée (si ils peuvent faire pire !!) et le pavé « Druid’s Ritual » de 13 minutes quasi instrumental et pas inintéressant. On a plusieurs ambiances qui se succèdent, en jazz, heavy et blues, c’est assez riche, et pas mal pour terminer l’album (sauf la fin psychédélique).
Pour le coup je suis pas du tout satisfait. Je dois être hermétique au genre… Soit c’est mou, soit c’est répétitif à souhait, et parfois même les deux en même temps. Y’a de l’idée sur quelques passages, de bonnes idées, mais grosso modo c’est pas du tout top. Je passe.
On commence avec un riff lourd, assez stoner sur « Leif’s Last Breath ». Le chant est assez clair, offrant un assez bon contraste. Par moment ça sonne mou, trop mou, sans âme. Les lignes de chant remontent un peu le niveau sur les couplets, mais bon, rien de transcendant.
« Narrow Minded Bastard »… ou « Comment répéter un riff simple sur des couplets de 3 minutes et mettre un solo histoire de… ». Rien d’excitant. Et le pire c’est que c’est pareil avec « Bed of Bitches », mou, long, pas captivant.
« Tigress of Siberia » est en dent de scies, le rythme s’accélère par moment, y’a un bonn groove, un bon feeling, mais le morceau met juste quatre minutes à démarrer… Mais la fin remonte bien le niveau. Y’a de l’énergie, un chant mélodieux est assez prenant. J’appréhende grandement le morceau suivant : « Lost Lord » et pour cause : il fait 12 minutes !! Ben y’a du bon, comme le break jazzy qui commence au milieu, mais dure un peu trop longtemps. Et le moins bon c’est le début vu que c’est comme les morceaux d’avant.
L’originalité de « Corpauthority » c’est les changements incessant de rythme et de tonalités, y’a un bon boulot là-dessus car les transitions passent assez bien, mais par contre ça veut pas dire que ça a un impact. Au démarrage « Drowned in Leaves » est assez calme, planant, ça change un peu, d’autant plus que le contraste avec les quelques riffs plein de dispo est assez marqué. Mais toujours pareil : je ressens plus de chose en écoutant chanter un pif chez mon voisin…
On termine avec un long et très (trop) lourd « Eagles Rising » ou le chanteur a la voix modifiée (si ils peuvent faire pire !!) et le pavé « Druid’s Ritual » de 13 minutes quasi instrumental et pas inintéressant. On a plusieurs ambiances qui se succèdent, en jazz, heavy et blues, c’est assez riche, et pas mal pour terminer l’album (sauf la fin psychédélique).
Pour le coup je suis pas du tout satisfait. Je dois être hermétique au genre… Soit c’est mou, soit c’est répétitif à souhait, et parfois même les deux en même temps. Y’a de l’idée sur quelques passages, de bonnes idées, mais grosso modo c’est pas du tout top. Je passe.
Critique : SBM
Note : 3.5/10
Site du groupe : Facebook Officiel
Vues : 5738 fois