Chronique
YES - HEAVEN & EARTH / Frontiers records 2014
Les vétérans Anglais du rock progressif reviennent aux affaires après un très réussi 'Fly from here' en 2011. Depuis des changements (départ de Benoit David) et surtout une volonté de se replonger dans leur nostalgie lors de la dernière tournée. Alors à quoi doit on s'attendre !?
On débute avec « Believe again » (est ce un message?) qui nous replonge dans l'univers de Yes, mais avec un manque flagrant voir cruel de peps !! Aucune énergie ne ressort de là. Dommage car le titre est vraiment bon. Même la production pourtant signée par le très grand Roy Thomas Baker semble fade ! Bref ça débute plutôt mal. Après ces 8 minutes d’agonie, « The game » arrive et dès l'intro on s’endort !! Il semble que le groupe soit tombé dans un trou abyssal qui leur a pompé toute énergie vitale ! Même les interventions de Steve Howe semblent inutiles (oui je sais c'est fou!!). Je ne parle même pas du petit nouveau Jon Davison clone de Jon Andersson mais sous prozac.
Aller « Stop beyond » débarque et on râle car malgré toute la bonne volonté ça semble mou du genou comme rarement vu !! Mais que s'est il passé les enfants, comment à t-on pu en arriver là !!?? Sérieux !!
Comble de cet album la ballade « To Ascend » qui est le meilleur moment, car une petite mélancolie enivrante sort de là. Il y a presque de l'énergie ici. La tentative « In a world of our own » aurait put être délicieuse si on avait pas l'impression d'écouter un disque pas au bon rythme (vous savez comme les 45 tours qu'on réduisait). On s'enlise encore un peu plus avec l'intro de « Light of the ages » d'un mou mais d'un mou à faire passer les paresseux pour des animaux excités !!! Dommage car les mélodies et autres arrangements sont sublimes !! Un titre merveilleux mais totalement gâché par ce manque de vitalité indispensable pour rester en vie.
Oh là on accélère le rythme pour un enragé « It was all we know » qui subit encore plus le manque d'énergie. À ce niveau là c'est de la torture ! On termine (oh oui enfin) avec « Subway wall » et son intro au clavier très intéressante et surtout énergique (merde il ce passe quoi là ?) qui nous offre sûrement le seul titre à garder de l'album. Quoi que...
Conclusion : Après un retour inespéré mais plein de réussite Yes vient de creuser sa tombe avec un opus d'une rare mollesse. Un condensé d'énergie volatilisée et perdue à jamais. Parfait pour faire la sieste.
On débute avec « Believe again » (est ce un message?) qui nous replonge dans l'univers de Yes, mais avec un manque flagrant voir cruel de peps !! Aucune énergie ne ressort de là. Dommage car le titre est vraiment bon. Même la production pourtant signée par le très grand Roy Thomas Baker semble fade ! Bref ça débute plutôt mal. Après ces 8 minutes d’agonie, « The game » arrive et dès l'intro on s’endort !! Il semble que le groupe soit tombé dans un trou abyssal qui leur a pompé toute énergie vitale ! Même les interventions de Steve Howe semblent inutiles (oui je sais c'est fou!!). Je ne parle même pas du petit nouveau Jon Davison clone de Jon Andersson mais sous prozac.
Aller « Stop beyond » débarque et on râle car malgré toute la bonne volonté ça semble mou du genou comme rarement vu !! Mais que s'est il passé les enfants, comment à t-on pu en arriver là !!?? Sérieux !!
Comble de cet album la ballade « To Ascend » qui est le meilleur moment, car une petite mélancolie enivrante sort de là. Il y a presque de l'énergie ici. La tentative « In a world of our own » aurait put être délicieuse si on avait pas l'impression d'écouter un disque pas au bon rythme (vous savez comme les 45 tours qu'on réduisait). On s'enlise encore un peu plus avec l'intro de « Light of the ages » d'un mou mais d'un mou à faire passer les paresseux pour des animaux excités !!! Dommage car les mélodies et autres arrangements sont sublimes !! Un titre merveilleux mais totalement gâché par ce manque de vitalité indispensable pour rester en vie.
Oh là on accélère le rythme pour un enragé « It was all we know » qui subit encore plus le manque d'énergie. À ce niveau là c'est de la torture ! On termine (oh oui enfin) avec « Subway wall » et son intro au clavier très intéressante et surtout énergique (merde il ce passe quoi là ?) qui nous offre sûrement le seul titre à garder de l'album. Quoi que...
Conclusion : Après un retour inespéré mais plein de réussite Yes vient de creuser sa tombe avec un opus d'une rare mollesse. Un condensé d'énergie volatilisée et perdue à jamais. Parfait pour faire la sieste.
Critique : Guillaume
Note : 4/10
Vues : 5741 fois