Chronique
JIMMY BARNES - HINDSIGHT / Mascott records 2014
Pour fêter ses 30 ans de carrière Jimmy Barnes a tenu à nous offrir une sorte de best of (mais pas que) ré-enregistré avec des amis. Une bonne initiative pour cet artiste trop souvent méconnu dans notre contrée.
On attaque d'entrée avec un « Lav down your guns » et The living ends qui pose de très bonnes bases. Notre homme a encore la niaque et délivre une sacrée perf sur ce titre remuant. Les Baby Animals s'occupe de « Time will tell » plus mélodique sur un mid tempo très rock.
Le rock fort refait surface avec un endiablé « Good times » et Keith Urban qui envoie des pieds comme c'est pas permis. Hum que c'est bon !!
« Ride the night away » et son coté Bruce Springsteen arrive avec justement un certain Steven Van Zandt (guitariste du Boss) et poursuit de très belle manière cet anniversaire. On lâche rien sur la plus funky « Stand up » atomisée avec Mahalia barnes (sa fille) et The Soul Mates (son groupe), qui apporte un groove très black à ce titre haut en couleur !
Ambiance plus calme avec « I'd die to be with you tonight » une ballade sympathique en duo avec Johnny Diesel. Encore une fois c'est la grande classe, on sent que Jimmy s'est fait plaisir tout comme ses invités ! Attention au choc de culture avec « Stone cold » qui voit débarquer le grand Joe Bonamassa et surtout la pop star Australienne Tina Arena, pour un trio blues qui je dois dire est terrible !!!
On retrouve notre style The Boss avec un « Working class man » qui met une pêche d'enfer !! Emmené par Jonathan Cain (Journey) et Ian Moss ce titre te file la banane pour la journée !! Que du bonheur !! Puis Jonathan est rejoint par Neal Schon (Journey) pour un « Going down alone » bien bluesy.
« Love and hate » poursuit avec Shield qui sur ce gros morceau de rock dur fait le boulot comme on l’attendait. Nous voilà revenus à du plus habituel avec « No second prize » qui se la joue cool mais rythmé. Un titre à l'esprit très US qui passe bien.
« I'd rather be blind » et Jon Stevens pour le dernier duo de l'album. Une fois de plus tout se passe à merveille tant il y a de la complémentarité entre eux !
Nouvelle ballade avec « When your love is gone » plutôt simple (voir même un peu trop) qui passe bien mais n'apporte rien. Peut être le titre en trop. On finit avec un « The other side » qui clôt dans une ambiance blues pop cet album. Là encore rien de transcendant.
Conclusion : Jimmy Barnes vient de fêter dignement son anniversaire avec cette bonne idée de titres repris en duos. De la bonne humeur communicative qui fait juste du bien, et c'est déjà ça de pris !!
On attaque d'entrée avec un « Lav down your guns » et The living ends qui pose de très bonnes bases. Notre homme a encore la niaque et délivre une sacrée perf sur ce titre remuant. Les Baby Animals s'occupe de « Time will tell » plus mélodique sur un mid tempo très rock.
Le rock fort refait surface avec un endiablé « Good times » et Keith Urban qui envoie des pieds comme c'est pas permis. Hum que c'est bon !!
« Ride the night away » et son coté Bruce Springsteen arrive avec justement un certain Steven Van Zandt (guitariste du Boss) et poursuit de très belle manière cet anniversaire. On lâche rien sur la plus funky « Stand up » atomisée avec Mahalia barnes (sa fille) et The Soul Mates (son groupe), qui apporte un groove très black à ce titre haut en couleur !
Ambiance plus calme avec « I'd die to be with you tonight » une ballade sympathique en duo avec Johnny Diesel. Encore une fois c'est la grande classe, on sent que Jimmy s'est fait plaisir tout comme ses invités ! Attention au choc de culture avec « Stone cold » qui voit débarquer le grand Joe Bonamassa et surtout la pop star Australienne Tina Arena, pour un trio blues qui je dois dire est terrible !!!
On retrouve notre style The Boss avec un « Working class man » qui met une pêche d'enfer !! Emmené par Jonathan Cain (Journey) et Ian Moss ce titre te file la banane pour la journée !! Que du bonheur !! Puis Jonathan est rejoint par Neal Schon (Journey) pour un « Going down alone » bien bluesy.
« Love and hate » poursuit avec Shield qui sur ce gros morceau de rock dur fait le boulot comme on l’attendait. Nous voilà revenus à du plus habituel avec « No second prize » qui se la joue cool mais rythmé. Un titre à l'esprit très US qui passe bien.
« I'd rather be blind » et Jon Stevens pour le dernier duo de l'album. Une fois de plus tout se passe à merveille tant il y a de la complémentarité entre eux !
Nouvelle ballade avec « When your love is gone » plutôt simple (voir même un peu trop) qui passe bien mais n'apporte rien. Peut être le titre en trop. On finit avec un « The other side » qui clôt dans une ambiance blues pop cet album. Là encore rien de transcendant.
Conclusion : Jimmy Barnes vient de fêter dignement son anniversaire avec cette bonne idée de titres repris en duos. De la bonne humeur communicative qui fait juste du bien, et c'est déjà ça de pris !!
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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