Chronique
VEGA - STEREO MESSIAH / Frontiers Records 2014
Les anglais de VEGA sont de retour pour leur nouvel et second album au doux nom de STEREO MESSIAH, successeur de KISS OF LIFE qui avait était une bonne surprise.
Débutant avec le titre éponyme, le groupe nous offre un bon titre de rock mélodique, envolé mais sans grande originalité si ce n’est par le travail vocal de Nick. Pour ce qui est de « All for nothing », on revient dans du rock mélodique traditionnel : ligne de clavier omni présente, refrain porteur et accrocheur le tout dans une dominante rétro, donnant un mid tempo agréable. « Wherever we are » se lance toujours posé, mais avec une accroche plus sympathique niveau vocal et batterie, juste avant de monter dans ce titre rock stylé et monté pour le grand public, ce qui il faut le dire gène un peu au fond.
La suite de l’album se poursuit dans cette mouvance musicale, forte agréable musicalement parlant, bien faite, aux structures et sonorités imparables mais qui au final donnent cette sensation de déjà entendu, et ce malgré le travail au niveau de la production qui donne cet effet de cure de jouvence et boostant au final la musique du combo anglais.
On notera quand même la venue Mr Joe Elliot (Def Leppard) sur la rock électrisante à l’intro arabique qu’est « X bigger than love », qui est une petite pépite qui naturellement niveau sonorités rappelle du Def Leppard, d’où le choix de l’invité. Un bon duo mettant un peu de piment dans cet album en manque d’originalité.
Au final, les fans de rock mélodique traditionnel ou les puristes du genre y trouveront leur bonheur mais pour ceux qui cherchent de l’innovation dans ce style musical, un goût amer risque de vous submerger malgré le fait que les compos soient bonnes.
A voir de quel côté vous vous placez mais ici, on notera la manque de prise de risques surtout avec quatre ans entre chaque album et vu le gabarit des musiciens.
Débutant avec le titre éponyme, le groupe nous offre un bon titre de rock mélodique, envolé mais sans grande originalité si ce n’est par le travail vocal de Nick. Pour ce qui est de « All for nothing », on revient dans du rock mélodique traditionnel : ligne de clavier omni présente, refrain porteur et accrocheur le tout dans une dominante rétro, donnant un mid tempo agréable. « Wherever we are » se lance toujours posé, mais avec une accroche plus sympathique niveau vocal et batterie, juste avant de monter dans ce titre rock stylé et monté pour le grand public, ce qui il faut le dire gène un peu au fond.
La suite de l’album se poursuit dans cette mouvance musicale, forte agréable musicalement parlant, bien faite, aux structures et sonorités imparables mais qui au final donnent cette sensation de déjà entendu, et ce malgré le travail au niveau de la production qui donne cet effet de cure de jouvence et boostant au final la musique du combo anglais.
On notera quand même la venue Mr Joe Elliot (Def Leppard) sur la rock électrisante à l’intro arabique qu’est « X bigger than love », qui est une petite pépite qui naturellement niveau sonorités rappelle du Def Leppard, d’où le choix de l’invité. Un bon duo mettant un peu de piment dans cet album en manque d’originalité.
Au final, les fans de rock mélodique traditionnel ou les puristes du genre y trouveront leur bonheur mais pour ceux qui cherchent de l’innovation dans ce style musical, un goût amer risque de vous submerger malgré le fait que les compos soient bonnes.
A voir de quel côté vous vous placez mais ici, on notera la manque de prise de risques surtout avec quatre ans entre chaque album et vu le gabarit des musiciens.
Critique : Lionel
Note : 6.5/10
Site du groupe : Site de Vega
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