Chronique
BAILEY - LONG WAY DOWN / Frontiers records 2014
Fraîchement découvert avec Three Lions Nigel Bailey se voit aujourd'hui mis en avant pour son premier album solo, bien aidé par Alessandro Del Vecchio. Allons voir si la qualité est là.
Ça part très fort avec « Feed the flame » qui montre un hard rock mélodique de haute volée et un Nigel en voix qui brille de mille feux ! Un début plus que convainquant qui met l'eau à la bouche. A la suite « In the name of the kings » accélère le rythme et fait chavirer les cœurs. Certes la musique est très conventionnelle et rien d'original n'est à souligner mais l'efficacité et l'intensité de Nigel font la différence !
Avec « Dirty little secret » on a droit à du bien rythmé mais bien trop facile pour accrocher à la longue. Dommage. Cela s’améliore avec la plus rock « Bad réputation » très 80' dans l'esprit mais qui envoie bien.
« Stay » rock fort elle aussi est nous fait replonger 30/35 ans en arrière. Une fois de plus rien de nouveau à l'horizon mais le travail bien fait reste fort acceptable. On ralentit les choses avec un « Somewhere in oslo » plutôt quelconque qui passe mais sans grand plus, avant que « Long way down » ne retrouve du rythme mais là encore ça manque d'accroche car trop prévisible.
Première vraie ballade avec l'agréable « Spend the night » , qui là encore fait pas grand effet. C'est dommage de constater que le départ était très bon et que là on s'enlise sans rien pouvoir faire.
Cela s'arrange avec un bien envoyé « Love falls down », qui redonne du baume au cœur !!
« Ticket to yesterday » est elle aussi sans saveur, rien de bien excitant à son écoute. On termine avec « Dirty angel » qui speed à fond et permet de clôturer pertinemment un opus qui ne l'a pas toujours était ! Ça c'est bon !!
Conclusion : Là où Nigel m'avait impressionné avec les Lions ici il semble un peu nager en eaux troubles tant il parvient pas toujours à tirer l'ensemble vers le haut. Manque de prétention et de personnalité font de cet album un opus juste bien.
Ça part très fort avec « Feed the flame » qui montre un hard rock mélodique de haute volée et un Nigel en voix qui brille de mille feux ! Un début plus que convainquant qui met l'eau à la bouche. A la suite « In the name of the kings » accélère le rythme et fait chavirer les cœurs. Certes la musique est très conventionnelle et rien d'original n'est à souligner mais l'efficacité et l'intensité de Nigel font la différence !
Avec « Dirty little secret » on a droit à du bien rythmé mais bien trop facile pour accrocher à la longue. Dommage. Cela s’améliore avec la plus rock « Bad réputation » très 80' dans l'esprit mais qui envoie bien.
« Stay » rock fort elle aussi est nous fait replonger 30/35 ans en arrière. Une fois de plus rien de nouveau à l'horizon mais le travail bien fait reste fort acceptable. On ralentit les choses avec un « Somewhere in oslo » plutôt quelconque qui passe mais sans grand plus, avant que « Long way down » ne retrouve du rythme mais là encore ça manque d'accroche car trop prévisible.
Première vraie ballade avec l'agréable « Spend the night » , qui là encore fait pas grand effet. C'est dommage de constater que le départ était très bon et que là on s'enlise sans rien pouvoir faire.
Cela s'arrange avec un bien envoyé « Love falls down », qui redonne du baume au cœur !!
« Ticket to yesterday » est elle aussi sans saveur, rien de bien excitant à son écoute. On termine avec « Dirty angel » qui speed à fond et permet de clôturer pertinemment un opus qui ne l'a pas toujours était ! Ça c'est bon !!
Conclusion : Là où Nigel m'avait impressionné avec les Lions ici il semble un peu nager en eaux troubles tant il parvient pas toujours à tirer l'ensemble vers le haut. Manque de prétention et de personnalité font de cet album un opus juste bien.
Critique : Guillaume
Note : 6.5/10
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