Chronique
FEARLESS VAMPIRE KILLERS - UNBREABLE HEART / Goremount records 2014
La déferlante des vampires n'est pas terminée en voici la preuve !! FVK (ça ira bien plus vite) est originaire d'Angleterre et sort aujourd'hui sont 2ème opus. Découvrant tout fraîchement le groupe je pars donc tel Buffy chasser les vampires en quête de sang frais.
« Intermission » une jolie intro au piano, du type musique classique, nous accueille avant que « Say What You Want From Me (The Ghost You Left Behind) » ne débarque est nous offre un hard / métal quelque peu burlesque qui étonne mais putain que c'est efficace !! Niveau influence ça tisse tellement large qu'on pourrait associer tout ce qui a été fait ses 40 dernière années.
Changement de registre avec la très Punk US (ça me rappelle énormément Fall Out Boy) « Turn Your Heaven To A Tomb » qui malgré sa bonne humeur fait bizarre. Peut être trop simple au vu du départ fracassant.
On retrouve l'aspect théâtral avec « Exploding Heart Disorder » à mi-chemin entre Alice Cooper et David Bowie. Une fois de plus on est surpris par le mélange des styles grandement réussi qui rappelle Avenged Sevenfold. Cette fois ci on rage avec un puissant et hardcore « Edge Of Eternity » qui me plaît moins malgré les qualités évidentes du groupe. Heureusement pour moi le titre évolue dans le bon sens !!
Le piano refait parler de lui pour le début de « Taste The Iron On Your Lips » très encourageante. Une sorte de Queen moderne sorti du cimetière de Londres. Puis on se prend un mélodique mais rythmé « Our Nature's Unnatural » qui permet de continuer de varier les plaisirs et constater les nombreux points communs que la formation a avec Avenged Sevenfold.
« Dream Of You » retrouve l'esprit festif et punky qui va bien mieux ici. Une sorte de single en puissance pour attirer les âmes damnées. Place à la ballade « Brave The Night » majoritairement au piano elle insuffle une ambiance grandiose bien aidée par la prestation de Laurence Baveridge en phase.
Après ce calme, du simple débarque avec « In Wondrous Rage » qui permet de reprendre les choses suite à une douceur noire. Mais pas le titre le plus marquant. On continue dans plus ou moins le même esprit avec la décalée « Neon In The Dancehalls » qui est sympathique mais trahit les grands essais du début : dommage.
« Batten Down The Hatches » toujours autant punk mais malgré les bonnes intentions du groupe commence un peu à s’essouffler. Il faut dire que c'est quand même le 12ème titre !! Et cela ne va pas aller mieux avec « Maeby » qui n'apporte rien de plus.
Du mieux arrive avec « Unbreakable Hearts » une sorte de power ballade très puissante mais dotée d'un je ne sais quoi de prenant. On retrouve du presque Hardcore avec « Remember My Name » qui comme 'l'autre' évolue en du bien meilleur pour ainsi nous offrir une pièce unique et réussie.
Moment étrange avec « Lucifer's Shroud » une sorte d'interlude chanté qui étonne mais prend tout son sens par la suite « City Falls To Dust » qui clôt l'album avec un coté Meat Loaf étonnant mais réussi à nouveau ! Une sorte de ballade épique (si on peut dire ainsi) qui permet de bien finir un album fourre tout et pas toujours égal.
Conclusion : Et bien dur de décrire tout ce qui se passe à l'écoute d'un tel album ! Le groupe possède une personnalité qui a vraiment quelque chose ! Toutefois il leur faudra écourter tout ça (17 titres c'est bien trop), définir leur personnalité (trop de changements entre théâtral et punk us bon marché), pousser leurs limites, et ce groupe peut être immense !! En attendant la suite, une bonne découverte que voilà.
« Intermission » une jolie intro au piano, du type musique classique, nous accueille avant que « Say What You Want From Me (The Ghost You Left Behind) » ne débarque est nous offre un hard / métal quelque peu burlesque qui étonne mais putain que c'est efficace !! Niveau influence ça tisse tellement large qu'on pourrait associer tout ce qui a été fait ses 40 dernière années.
Changement de registre avec la très Punk US (ça me rappelle énormément Fall Out Boy) « Turn Your Heaven To A Tomb » qui malgré sa bonne humeur fait bizarre. Peut être trop simple au vu du départ fracassant.
On retrouve l'aspect théâtral avec « Exploding Heart Disorder » à mi-chemin entre Alice Cooper et David Bowie. Une fois de plus on est surpris par le mélange des styles grandement réussi qui rappelle Avenged Sevenfold. Cette fois ci on rage avec un puissant et hardcore « Edge Of Eternity » qui me plaît moins malgré les qualités évidentes du groupe. Heureusement pour moi le titre évolue dans le bon sens !!
Le piano refait parler de lui pour le début de « Taste The Iron On Your Lips » très encourageante. Une sorte de Queen moderne sorti du cimetière de Londres. Puis on se prend un mélodique mais rythmé « Our Nature's Unnatural » qui permet de continuer de varier les plaisirs et constater les nombreux points communs que la formation a avec Avenged Sevenfold.
« Dream Of You » retrouve l'esprit festif et punky qui va bien mieux ici. Une sorte de single en puissance pour attirer les âmes damnées. Place à la ballade « Brave The Night » majoritairement au piano elle insuffle une ambiance grandiose bien aidée par la prestation de Laurence Baveridge en phase.
Après ce calme, du simple débarque avec « In Wondrous Rage » qui permet de reprendre les choses suite à une douceur noire. Mais pas le titre le plus marquant. On continue dans plus ou moins le même esprit avec la décalée « Neon In The Dancehalls » qui est sympathique mais trahit les grands essais du début : dommage.
« Batten Down The Hatches » toujours autant punk mais malgré les bonnes intentions du groupe commence un peu à s’essouffler. Il faut dire que c'est quand même le 12ème titre !! Et cela ne va pas aller mieux avec « Maeby » qui n'apporte rien de plus.
Du mieux arrive avec « Unbreakable Hearts » une sorte de power ballade très puissante mais dotée d'un je ne sais quoi de prenant. On retrouve du presque Hardcore avec « Remember My Name » qui comme 'l'autre' évolue en du bien meilleur pour ainsi nous offrir une pièce unique et réussie.
Moment étrange avec « Lucifer's Shroud » une sorte d'interlude chanté qui étonne mais prend tout son sens par la suite « City Falls To Dust » qui clôt l'album avec un coté Meat Loaf étonnant mais réussi à nouveau ! Une sorte de ballade épique (si on peut dire ainsi) qui permet de bien finir un album fourre tout et pas toujours égal.
Conclusion : Et bien dur de décrire tout ce qui se passe à l'écoute d'un tel album ! Le groupe possède une personnalité qui a vraiment quelque chose ! Toutefois il leur faudra écourter tout ça (17 titres c'est bien trop), définir leur personnalité (trop de changements entre théâtral et punk us bon marché), pousser leurs limites, et ce groupe peut être immense !! En attendant la suite, une bonne découverte que voilà.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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