Chronique
AXENSTAR – THE INQUISITION / Arise Records 2005
Après deux albums plus que corrects, Axenstar revient avec leur troisième rondelle intitulée The Inquisition, pour un album de power speed bien cool et énergique. Alors n’attendons pas plus pour croquer à pleines dents ces huit titres qui composent la galette.
Le premier morceau se nomme « The Fallen One » et arrive au synthé calmement avec un effet sonore style vinyle (les disques bien sur), avant d’accélérer le pas et d’enfourner les instruments pour rentrer dans un morceau d’enfer et entraînant. La voix de Magnus est superbe, la nappe de clavier bien bonne tout comme le reste. Le traditionnel solo guitare pour nous régaler ; une bonne mise en bouche.
Arrivée à la Stratovarius avec clavier non stop et la double frappée par Pontus, un chant proche de Kotipelto, un refrain de tueur pour ce second titre qu’est « Under Black Wings ». Un rythme nous emmenant à travers les riffs et les mélodies et une délicatesse dans l’exécution de la compo. Un vrai régal avec quelques accalmies par ci par là pour nous changer un peu. Et ce passage au clavier : superbe !
Jamais deux sans trois, alors voilà un autre morceau sympa qui est « Salvation ». L’ouverture se fait à la guitare principalement, les cymbales se font frotter ; break et ça attaque avec une voix agressive et rappeuse pour enchaîner sur le couplet (bien bon d’ailleurs). Refrain une nouvelle fois bien bon, le solo dévastateur il est (désolé j’ai vu Star Wars hier soir… Yoda aide moi !).
Et la quatrième position est pour « Inside Your Mind » qui a une mélodie directe très heavy avec une guitare au son tranchant. Le tout s’accélère, va speed, ça pulse bien et je ne demande vraiment rien de plus car le performance vocale est elle aussi impeccable. Faut aimer les voix claire, moi j’adore. Les mélodies sont de toute beauté. Je me répète certes mais c’est la stricte vérité. La basse fait son solo en douceur accompagnée par une voix douce peu après et une fine couche de clavier pour embellir le tout.
Pour « Daydreamer » l’entrée se fait en force avec un speed metal basique certes, mais qu’est ce que c’est bon. Le morceau me fait penser un peu à Europe, surtout au niveau chant. Joey Tempest est passé par là ? Le refrain nickel, tout comme le reste qui se glisse sans soucis dans nos oreilles à volonté, et sans accrocs.
Au tour de « Drifting » de se présenter. La voix arrive avec la guitare, sèche en l’occurrence. C’est doux, ça change, c’est agréable après le déluge que l’on a eu sur les chansons précédentes. Une ballade en acoustique non négligeable par sa beauté.
Avant dernier titre de l’album, et le morceau se nomme « The Burning » qui lui ne se fait pas prier et nous consume avec l’énergie qu’il dégage. C’est du rapide, le coup attrape un bon torticolis (de temps en temps cela fait du bien), je ne vois pas ce qu’il faut encore. Vraiment, les alternances des instrus sur les solos sont impeccables, comme le reste d’ailleurs. Le break au milieu du morceau ne change rien à la donne, loin de là, car je donne des points en plus sur la note de la chanson.
Dernier morceau déjà, et c’est « Run Or Hide ». Alors là tout le monde s’y met à cœur joie pour ouvrir ce dernier morceau : personne n’est oublié, tous les instruments ont leur place. Finis de joué, Magnus vient poser son organe (la voix hein !) et le tout prend une autre ampleur.
Conclusion : un superbe album de speed power qui se doit être dans la discothèque des fans du genre. Le meilleur album du groupe à ce jour. Une production superbe, des chansons plus terribles les unes que les autres : Un vrai régal pour les oreilles.
Le premier morceau se nomme « The Fallen One » et arrive au synthé calmement avec un effet sonore style vinyle (les disques bien sur), avant d’accélérer le pas et d’enfourner les instruments pour rentrer dans un morceau d’enfer et entraînant. La voix de Magnus est superbe, la nappe de clavier bien bonne tout comme le reste. Le traditionnel solo guitare pour nous régaler ; une bonne mise en bouche.
Arrivée à la Stratovarius avec clavier non stop et la double frappée par Pontus, un chant proche de Kotipelto, un refrain de tueur pour ce second titre qu’est « Under Black Wings ». Un rythme nous emmenant à travers les riffs et les mélodies et une délicatesse dans l’exécution de la compo. Un vrai régal avec quelques accalmies par ci par là pour nous changer un peu. Et ce passage au clavier : superbe !
Jamais deux sans trois, alors voilà un autre morceau sympa qui est « Salvation ». L’ouverture se fait à la guitare principalement, les cymbales se font frotter ; break et ça attaque avec une voix agressive et rappeuse pour enchaîner sur le couplet (bien bon d’ailleurs). Refrain une nouvelle fois bien bon, le solo dévastateur il est (désolé j’ai vu Star Wars hier soir… Yoda aide moi !).
Et la quatrième position est pour « Inside Your Mind » qui a une mélodie directe très heavy avec une guitare au son tranchant. Le tout s’accélère, va speed, ça pulse bien et je ne demande vraiment rien de plus car le performance vocale est elle aussi impeccable. Faut aimer les voix claire, moi j’adore. Les mélodies sont de toute beauté. Je me répète certes mais c’est la stricte vérité. La basse fait son solo en douceur accompagnée par une voix douce peu après et une fine couche de clavier pour embellir le tout.
Pour « Daydreamer » l’entrée se fait en force avec un speed metal basique certes, mais qu’est ce que c’est bon. Le morceau me fait penser un peu à Europe, surtout au niveau chant. Joey Tempest est passé par là ? Le refrain nickel, tout comme le reste qui se glisse sans soucis dans nos oreilles à volonté, et sans accrocs.
Au tour de « Drifting » de se présenter. La voix arrive avec la guitare, sèche en l’occurrence. C’est doux, ça change, c’est agréable après le déluge que l’on a eu sur les chansons précédentes. Une ballade en acoustique non négligeable par sa beauté.
Avant dernier titre de l’album, et le morceau se nomme « The Burning » qui lui ne se fait pas prier et nous consume avec l’énergie qu’il dégage. C’est du rapide, le coup attrape un bon torticolis (de temps en temps cela fait du bien), je ne vois pas ce qu’il faut encore. Vraiment, les alternances des instrus sur les solos sont impeccables, comme le reste d’ailleurs. Le break au milieu du morceau ne change rien à la donne, loin de là, car je donne des points en plus sur la note de la chanson.
Dernier morceau déjà, et c’est « Run Or Hide ». Alors là tout le monde s’y met à cœur joie pour ouvrir ce dernier morceau : personne n’est oublié, tous les instruments ont leur place. Finis de joué, Magnus vient poser son organe (la voix hein !) et le tout prend une autre ampleur.
Conclusion : un superbe album de speed power qui se doit être dans la discothèque des fans du genre. Le meilleur album du groupe à ce jour. Une production superbe, des chansons plus terribles les unes que les autres : Un vrai régal pour les oreilles.
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : Site officiel d'Axenstar
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