Chronique
JOHN WETTON & GOEFFREY DOWNES - ICON / FRONTIERS RECORDS 2005
Les 2 ex compère du groupe Asia se réunissent à nouveau pour un opus dédié au rock progressif dans la lignée d’Asia et autre King Crimson.
Tout débute sur la sublime intro symphonique de « Let me go » : un très grand moment superbement interprété, puis le morceau arrive : du pur rock prog 80’ au refrain imparable qui te hante pendant des heures. Un très bon début qui donne envie d’entendre la suite. « God walks with us » débute par une intro qui me rappelle pas mal Rhapsody (flûte, piano) puis la voix de John Wetton arrive accompagnée par le piano de son compère Geoffrey Downes (que l’on retrouve d’ailleurs sur l’album de Steve Thorne déjà chroniqué). Le refrain est lui aussi bien joli, tout comme certains passages très aériens et d’une beauté époustouflante, tout ça jusqu'à la fin qui reprend notre intro flûte piano.
Alors là on sort les orgues de l’église quelques chœurs puis on part sur « I stand alone » qui me rappelle une chanson mais impossible d’y mettre un nom (si quelqu’un le sais qu’il me le dise il me sauvera !). Une nouvelle fois tout est superbement interprété, baignant dans une sorte d’aura angélique propre et saine. Bon je prévient les fans de grosse musique bourrine qu’ils doivent sortir de là ce n’est pas pour eux ! Bon c’est vrai tout ça n’est pas très bougeant mais bon un peu de calme de temps en temps cela ne fait pas de mal.
« Meet me at midnight » oui si on reste éveillé jusque là ! Intro douce voix de lover, ambiance romantique tout ce qui faut pour niq.. heu passer une bonne soirée. Niveau musique c’est nickel : petite guitare acoustique, nappe de synthé, quelques chœurs pour enrober le tout et toutes les filles à 10 km à la ronde tombent sous le charme. Non sans déconner c’est très joli.
« Hey Josephine » (rien avoir avec celle d’Alain Bashung) remet un peu de rythme. Ben oui après avoir fait le romantique on commence à rocker un peu (rocker est peut être (sûrement) abusé). Et « Far away » continue. Bon le calme revient « don’t cry for me » fait son apparition ; tiens cela doit être un concept sur la vie en couple : rencontre, ébat amoureux, départ loin, la prochaine c’est les retrouvailles. Que d’humour, je sais, mais si non niveau musique ben c’est toujours le même style, toujours bien fait et bien propre (bon là j’avoue que le calme commence à me chauffer).
Ah ils m’ont entendu et « Please change your mind » débarque un poil plus rentre dedans. John devient plus hargneux (il hurle pas non plus) mais bon cela ne dure pas, le refrain est bien cool, pas trop vite.
Nouvelle ballade « Sleep angel » est bien cool, bon là c’est vrai que cela peu être dur d’apprécier surtout quand on y est depuis le début, mais il faut bien reconnaître le travail de ces messieurs. La fin avec la guitare arrive à point nommé pour envoler la chanson : bon choix.
« Spred your wings » est une énième ballade toujours jolie. Un agréable moment même si ce n’est pas le seul. Voici la fin intitulée « In the end » (comme par hasard) une… ballade … jolie, aidée par la jolie voix d’Annie Haslam qui nous fait voyager dans des contrées magnifiques et enchanteresses. Une très jolie fin pour un album somme toute intéressant et bourré de jolies mélodies.
Conclusion :.Un album sympa, certes un peu chiant sur la fin mais qui reste très bien réalisé. John et Goeffrey se sont plaisir et nous livrent une bonne galette printanière qui ravira les fans d’Asia et tout ceux qui aiment ce style.
Tout débute sur la sublime intro symphonique de « Let me go » : un très grand moment superbement interprété, puis le morceau arrive : du pur rock prog 80’ au refrain imparable qui te hante pendant des heures. Un très bon début qui donne envie d’entendre la suite. « God walks with us » débute par une intro qui me rappelle pas mal Rhapsody (flûte, piano) puis la voix de John Wetton arrive accompagnée par le piano de son compère Geoffrey Downes (que l’on retrouve d’ailleurs sur l’album de Steve Thorne déjà chroniqué). Le refrain est lui aussi bien joli, tout comme certains passages très aériens et d’une beauté époustouflante, tout ça jusqu'à la fin qui reprend notre intro flûte piano.
Alors là on sort les orgues de l’église quelques chœurs puis on part sur « I stand alone » qui me rappelle une chanson mais impossible d’y mettre un nom (si quelqu’un le sais qu’il me le dise il me sauvera !). Une nouvelle fois tout est superbement interprété, baignant dans une sorte d’aura angélique propre et saine. Bon je prévient les fans de grosse musique bourrine qu’ils doivent sortir de là ce n’est pas pour eux ! Bon c’est vrai tout ça n’est pas très bougeant mais bon un peu de calme de temps en temps cela ne fait pas de mal.
« Meet me at midnight » oui si on reste éveillé jusque là ! Intro douce voix de lover, ambiance romantique tout ce qui faut pour niq.. heu passer une bonne soirée. Niveau musique c’est nickel : petite guitare acoustique, nappe de synthé, quelques chœurs pour enrober le tout et toutes les filles à 10 km à la ronde tombent sous le charme. Non sans déconner c’est très joli.
« Hey Josephine » (rien avoir avec celle d’Alain Bashung) remet un peu de rythme. Ben oui après avoir fait le romantique on commence à rocker un peu (rocker est peut être (sûrement) abusé). Et « Far away » continue. Bon le calme revient « don’t cry for me » fait son apparition ; tiens cela doit être un concept sur la vie en couple : rencontre, ébat amoureux, départ loin, la prochaine c’est les retrouvailles. Que d’humour, je sais, mais si non niveau musique ben c’est toujours le même style, toujours bien fait et bien propre (bon là j’avoue que le calme commence à me chauffer).
Ah ils m’ont entendu et « Please change your mind » débarque un poil plus rentre dedans. John devient plus hargneux (il hurle pas non plus) mais bon cela ne dure pas, le refrain est bien cool, pas trop vite.
Nouvelle ballade « Sleep angel » est bien cool, bon là c’est vrai que cela peu être dur d’apprécier surtout quand on y est depuis le début, mais il faut bien reconnaître le travail de ces messieurs. La fin avec la guitare arrive à point nommé pour envoler la chanson : bon choix.
« Spred your wings » est une énième ballade toujours jolie. Un agréable moment même si ce n’est pas le seul. Voici la fin intitulée « In the end » (comme par hasard) une… ballade … jolie, aidée par la jolie voix d’Annie Haslam qui nous fait voyager dans des contrées magnifiques et enchanteresses. Une très jolie fin pour un album somme toute intéressant et bourré de jolies mélodies.
Conclusion :.Un album sympa, certes un peu chiant sur la fin mais qui reste très bien réalisé. John et Goeffrey se sont plaisir et nous livrent une bonne galette printanière qui ravira les fans d’Asia et tout ceux qui aiment ce style.
Critique : Guillaume
Note : 6/10
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