Chronique
RAINTIME - TALES FROM SADNESS / ARISE RECORDS 2005
Nouvelle venue trans alpine, Raintime nous propose son 1er album : un savant mélange de gros heavy métal avec quelques voix black.
« Moot-lie » nous permet de découvrir ce nouveau monde. Musicalement très proche des groupes comme Children of bodom, Evergrey. L’alternance voix claire, voix black donne une impression bizarre au début mais se trouve finalement être bien cool. Il faut ajouter aussi le fait que nos musiciens savent se débrouiller et nous le font savoir dans de grands passages instrumentaux. Un début sympa.
En suite « Faithland » poursuit : Claudio Coassin nous délivre un bien bon travail au niveau de la voix allant se rapprocher d’un James Labrie dans ses montées vocales. La paire Luca Micheal Martina / Matteo Di Bon à la guitare s’en donne à cœur joie.
Interlude « Creation » nous amène sur « The experiment » appuyée par beaucoup de synthé. Elle se rapproche plus des groupes de prog version DGM. Le chant cette fois ci est râpé (pourquoi pas), puis reprend son style normal : d’ailleurs il me rappelle un autre chanteur Matt Mchantin d’Hyperion. Maintenant que j’y pense le groupe s’en rapproche méchamment avec se titre. Le refrain quand à lui est bien bon.
Ambiance orientale avec « Denied recollection » voir un peu torturée avec un esprit In Flames période Clayman pas dégueux bien aidé par la voix black de Claudio.
Début calme pour « Chains of sadness », une sorte de ballade bien sombre et heavy, prenante et envoûtante, un bien bon moment que voilà. Sûrement l’un des meilleurs.
« Using the light forever » entame les hostilités sur un esprit très Nightwish. Claudio déboule dans un grand lyrisme digne des chanteurs de métal mélodique, pour un titre sans doute le plus tranquille, qui ressemble plus à du Labyrinth voir du Vision Divine.
Voilà déjà la fin (oui l’album est très court) « Daily Execution / Paradox Defeat ». Bien lourde, elle fait très Evergrey mais avec un coté plus prog. On retrouve notre voix black qui s’était cachée depuis. Une bonne fin sympa pour au final un album qui me laisse sur une étrange impression.
Conclusion : Un album cool qui ne m’a pas totalement convaincu. Je leur trouve malheureusement pas assez de repères, en voyageant dans trop de mondes à la fois ils en perdent l’auditeur.
Donc du talent et de bonnes idées pour ce 1er essais à confirmer.
Coincé entre deux monde leurs taches ne sera pas facile pour se trouver une scène qui lui corresponde.
« Moot-lie » nous permet de découvrir ce nouveau monde. Musicalement très proche des groupes comme Children of bodom, Evergrey. L’alternance voix claire, voix black donne une impression bizarre au début mais se trouve finalement être bien cool. Il faut ajouter aussi le fait que nos musiciens savent se débrouiller et nous le font savoir dans de grands passages instrumentaux. Un début sympa.
En suite « Faithland » poursuit : Claudio Coassin nous délivre un bien bon travail au niveau de la voix allant se rapprocher d’un James Labrie dans ses montées vocales. La paire Luca Micheal Martina / Matteo Di Bon à la guitare s’en donne à cœur joie.
Interlude « Creation » nous amène sur « The experiment » appuyée par beaucoup de synthé. Elle se rapproche plus des groupes de prog version DGM. Le chant cette fois ci est râpé (pourquoi pas), puis reprend son style normal : d’ailleurs il me rappelle un autre chanteur Matt Mchantin d’Hyperion. Maintenant que j’y pense le groupe s’en rapproche méchamment avec se titre. Le refrain quand à lui est bien bon.
Ambiance orientale avec « Denied recollection » voir un peu torturée avec un esprit In Flames période Clayman pas dégueux bien aidé par la voix black de Claudio.
Début calme pour « Chains of sadness », une sorte de ballade bien sombre et heavy, prenante et envoûtante, un bien bon moment que voilà. Sûrement l’un des meilleurs.
« Using the light forever » entame les hostilités sur un esprit très Nightwish. Claudio déboule dans un grand lyrisme digne des chanteurs de métal mélodique, pour un titre sans doute le plus tranquille, qui ressemble plus à du Labyrinth voir du Vision Divine.
Voilà déjà la fin (oui l’album est très court) « Daily Execution / Paradox Defeat ». Bien lourde, elle fait très Evergrey mais avec un coté plus prog. On retrouve notre voix black qui s’était cachée depuis. Une bonne fin sympa pour au final un album qui me laisse sur une étrange impression.
Conclusion : Un album cool qui ne m’a pas totalement convaincu. Je leur trouve malheureusement pas assez de repères, en voyageant dans trop de mondes à la fois ils en perdent l’auditeur.
Donc du talent et de bonnes idées pour ce 1er essais à confirmer.
Coincé entre deux monde leurs taches ne sera pas facile pour se trouver une scène qui lui corresponde.
Critique : Guillaume
Note : 6/10
Site du groupe : site officiel de Raintime
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