Chronique
TOTO - XIV / Frontiers Records 2015
Tout simplement nommé XIV, ce quatorzième album de TOTO est attendu comme le Messie. La raison en est toute simple : il s’agit de la reformation du line-up du légendaire album du groupe THE SEVENTH ONE, sortit vingt sept ans plus tôt ; rien que ça !
Autant dire que retrouver Steve Lukather, David Paich, Steve Porcaro et Joseph Williams est un pur moment de bonheur pour les fans. Niveau batterie, Jeff Porcaro (R.I.P) est remplacé par Keith Carlock.
Et qui dit reformation, dit forcément changement de direction musicale comparé au dernier album en date Falling In between, qui il faut le dire, était et est tout simplement monstrueux. La barre est haute, mais vu le pédigrée des musiciens, le doute ne plane pas mais les attentes sont hautes.
Contrairement au single « Orphan », morceau assez traditionnel pour du Toto mais très bon avec ses envolées niveau chant et mélodies, riffs légers mais incisifs comme sait si bien le faire Mr Steve Lukather, le reste de l’album nous donne une approche assez intéressante de cette mise à jour de la formation de 1987.
En effet, le groupe se tourne vers une ambiance musicale générale plus posée, mélangeant savamment rock, mélodies, et, ambiance bluesy et donc plus posée. Sans parler des arrangements fait tout au long des onze titres. Les chansons s’enchaînent mais ne se ressemblent pas ; le groupe alternant ballades, mid-tempos, rock mélodiques, tout en piochant dans ses bases et ses ressources créées depuis des décennies histoire de satisfaire tout le monde, que ce soit les fans ou eux même.
Quand à la production, tout est là. Non seulement on ressent les vibrations de chaque note jouée, mais aussi les inspirations et thèmes de chaque titre de part leur ambiance mais aussi et surtout par cette alternance au niveau des chanteurs (Williams / Lukather / Paich & Porcaro) qui procure une sensation assez magique qui permet de nous immerger dans une sorte d’euphorie nostalgique comme peu de groupes savent encore le faire.
Conclusion : Il ne faut pas s’attendre à avoir la suite de THE SEVENTH ONE, ou encore son successeur, mais plus un album fait pas des amis et musiciens ayant envie de partager leur passion, leur vie à travers de somptueux morceaux. Toto n’a plus à prouver, mais arrive encore à nous surprendre et nous offre là un album de haute volée, qui ravira tout le monde, et aussi la discographie du groupe.
Un très bel hommage à Mike Porcaro, bassiste du groupe, décédé cette année.
Trackliste :
‘Running Out of Time’
‘Burn’
‘Holy War’
’21st Century’
‘Orphan’
‘Unknown Soldier (for Jeffrey)’
‘The Little Things’
‘Chinatown’
‘All The Tears That’
‘Fortune’
‘Great Expectations’
Autant dire que retrouver Steve Lukather, David Paich, Steve Porcaro et Joseph Williams est un pur moment de bonheur pour les fans. Niveau batterie, Jeff Porcaro (R.I.P) est remplacé par Keith Carlock.
Et qui dit reformation, dit forcément changement de direction musicale comparé au dernier album en date Falling In between, qui il faut le dire, était et est tout simplement monstrueux. La barre est haute, mais vu le pédigrée des musiciens, le doute ne plane pas mais les attentes sont hautes.
Contrairement au single « Orphan », morceau assez traditionnel pour du Toto mais très bon avec ses envolées niveau chant et mélodies, riffs légers mais incisifs comme sait si bien le faire Mr Steve Lukather, le reste de l’album nous donne une approche assez intéressante de cette mise à jour de la formation de 1987.
En effet, le groupe se tourne vers une ambiance musicale générale plus posée, mélangeant savamment rock, mélodies, et, ambiance bluesy et donc plus posée. Sans parler des arrangements fait tout au long des onze titres. Les chansons s’enchaînent mais ne se ressemblent pas ; le groupe alternant ballades, mid-tempos, rock mélodiques, tout en piochant dans ses bases et ses ressources créées depuis des décennies histoire de satisfaire tout le monde, que ce soit les fans ou eux même.
Quand à la production, tout est là. Non seulement on ressent les vibrations de chaque note jouée, mais aussi les inspirations et thèmes de chaque titre de part leur ambiance mais aussi et surtout par cette alternance au niveau des chanteurs (Williams / Lukather / Paich & Porcaro) qui procure une sensation assez magique qui permet de nous immerger dans une sorte d’euphorie nostalgique comme peu de groupes savent encore le faire.
Conclusion : Il ne faut pas s’attendre à avoir la suite de THE SEVENTH ONE, ou encore son successeur, mais plus un album fait pas des amis et musiciens ayant envie de partager leur passion, leur vie à travers de somptueux morceaux. Toto n’a plus à prouver, mais arrive encore à nous surprendre et nous offre là un album de haute volée, qui ravira tout le monde, et aussi la discographie du groupe.
Un très bel hommage à Mike Porcaro, bassiste du groupe, décédé cette année.
Trackliste :
‘Running Out of Time’
‘Burn’
‘Holy War’
’21st Century’
‘Orphan’
‘Unknown Soldier (for Jeffrey)’
‘The Little Things’
‘Chinatown’
‘All The Tears That’
‘Fortune’
‘Great Expectations’
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : Site de Toto
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