Chronique
SEYMINHOL - THE WAYWARD SON / Brennus 2015
Je suis très content de découvrir enfin le 4ème album de nos Français qui reviennent après une évolution certaine de leur musique et de leur univers. Oui mais cette fois ci le groupe semble revenir à ses premiers amours et il me tarde de découvrir cela !!
On débute ce nouveau concept sur une intro « A Night at Elseneur » habituelle suivie de « Marcellus's Ascertaining » une narration qui permet de mieux entrer encore dans cet opus, puis enfin dira t-on la première chanson avec « The Spectre's Confidence ». Cela nous donne l'occasion de constater que le groupe à gagné en maturité tout en gardant sa personnalité et ses gimmicks particuliers utilisés sur ses deux premiers albums. Niveau production le groupe s'en sort très bien avec un son clair et puissant, où tout le monde tient sa place.
« The Oath of the Sword » est un interlude comme il y en aura beaucoup et qui vient étoffer le concept grâce à sa narration et nous envoie directement à un « Mantle of Madness » puissant avec un bon gros riff de 7 cordes. Un excellant titre de métal épique avec un Kevin toujours aussi bon au chant (un réel plaisir de l'écouter à chaque fois!!). Les chœurs présents donnent encore plus de profondeur bienvenue. Avec « The Comedian's Parade » on reprend le refrain juste piano voix pour un très beau résultat.
Un peu de métal symphonique de grande classe avec « Theatre of the Dream » qui démontre qu'en France aussi on sait faire !! Un sacré morceau qui va faire son effet en concert !! Une véritable master pièce de cet opus !! Interlude symphonique pompeux avec « The Agony of a King » qui fait son effet (ça me rappelle un peu Virgin Steele tout ça) avant un « To Die, to Sleep » à la Rhapsody où musique métal, narration et opéra ce mêlent avec brio et nous envoient sur un « Into the Black Chamber » prenant avec un Kévin véritable poumon de ce groupe qui sait y faire pour faire vivre ses paroles !! Un super boulot réalisé par notre 'petit chanteur' qui démontre à nouveau qu'en France aussi on sait chanter !!!! Encore une très belle réussite !
« The Death of Polonius » arrive dans une ambiance plus moderne et sombre (très sombre même) qui glace le sang avant de nous délivrer avec le piano et la douceur de « Shadows of Death », une ballade docile et enivrante au possible qui prend aux tripes. Toujours dans le calme ambiant « Poem for a Maid » permet de se remettre doucement avant que ne déboule le terrible riff de « The Conspiracy » qui te prend à la gorge et te lance dans un métal percutant que ne renierait pas un certain Blind Guardian !! Une nouvelle tuerie qui t'en met plein la gueule !!!
Petite chanson avec « Into the Cemetery » sur laquelle Jo Amore de Nightmare vient faire étale de son immense talent, puis le métal reprend ses droits dans un « A Disguised Corpse » bien envoyé et très progressif, qui permet de rester connecté à cette histoire complexe.
« The Great Hall of the Castle » débute tel un interlude symphonique ; puis se transforme en une instrumentale qui finit par être chantée (et oui on ne sait pas à quoi s'attendre) le tout réalisé avec un brio certain ! Mais là on touche encore plus au grandiose avec « The Duellist » et son début en instrumental de fou avec un duel guitares / violons du plus bel effet, avant de se transformer en un métal épique de très haute volée.
On termine par un « The Last March of a Prince », une sorte d'outro (logique dans ces cas là) des plus mélancolique (c'est du Shakespeare, ça a jamais respiré la joie) et clôt avec des frissons un opus magistral qui me laisse sans voix !!
Conclusion : Avec ce nouveau concept Seyminhol revient à ce qu'il sait faire de mieux et démontre tout son immense talent en terme de métal épique et symphonique qui n'a rien à envier aux grands de ce monde !!! Une pièce magistrale qui dépasse de loin tout ce qu'ils ont pu faire !!! Une leçon de musique qui j'espère de tout mon cœur va trouver un large public car ils le méritent amplement !!! Un réussite tout simplement.
On débute ce nouveau concept sur une intro « A Night at Elseneur » habituelle suivie de « Marcellus's Ascertaining » une narration qui permet de mieux entrer encore dans cet opus, puis enfin dira t-on la première chanson avec « The Spectre's Confidence ». Cela nous donne l'occasion de constater que le groupe à gagné en maturité tout en gardant sa personnalité et ses gimmicks particuliers utilisés sur ses deux premiers albums. Niveau production le groupe s'en sort très bien avec un son clair et puissant, où tout le monde tient sa place.
« The Oath of the Sword » est un interlude comme il y en aura beaucoup et qui vient étoffer le concept grâce à sa narration et nous envoie directement à un « Mantle of Madness » puissant avec un bon gros riff de 7 cordes. Un excellant titre de métal épique avec un Kevin toujours aussi bon au chant (un réel plaisir de l'écouter à chaque fois!!). Les chœurs présents donnent encore plus de profondeur bienvenue. Avec « The Comedian's Parade » on reprend le refrain juste piano voix pour un très beau résultat.
Un peu de métal symphonique de grande classe avec « Theatre of the Dream » qui démontre qu'en France aussi on sait faire !! Un sacré morceau qui va faire son effet en concert !! Une véritable master pièce de cet opus !! Interlude symphonique pompeux avec « The Agony of a King » qui fait son effet (ça me rappelle un peu Virgin Steele tout ça) avant un « To Die, to Sleep » à la Rhapsody où musique métal, narration et opéra ce mêlent avec brio et nous envoient sur un « Into the Black Chamber » prenant avec un Kévin véritable poumon de ce groupe qui sait y faire pour faire vivre ses paroles !! Un super boulot réalisé par notre 'petit chanteur' qui démontre à nouveau qu'en France aussi on sait chanter !!!! Encore une très belle réussite !
« The Death of Polonius » arrive dans une ambiance plus moderne et sombre (très sombre même) qui glace le sang avant de nous délivrer avec le piano et la douceur de « Shadows of Death », une ballade docile et enivrante au possible qui prend aux tripes. Toujours dans le calme ambiant « Poem for a Maid » permet de se remettre doucement avant que ne déboule le terrible riff de « The Conspiracy » qui te prend à la gorge et te lance dans un métal percutant que ne renierait pas un certain Blind Guardian !! Une nouvelle tuerie qui t'en met plein la gueule !!!
Petite chanson avec « Into the Cemetery » sur laquelle Jo Amore de Nightmare vient faire étale de son immense talent, puis le métal reprend ses droits dans un « A Disguised Corpse » bien envoyé et très progressif, qui permet de rester connecté à cette histoire complexe.
« The Great Hall of the Castle » débute tel un interlude symphonique ; puis se transforme en une instrumentale qui finit par être chantée (et oui on ne sait pas à quoi s'attendre) le tout réalisé avec un brio certain ! Mais là on touche encore plus au grandiose avec « The Duellist » et son début en instrumental de fou avec un duel guitares / violons du plus bel effet, avant de se transformer en un métal épique de très haute volée.
On termine par un « The Last March of a Prince », une sorte d'outro (logique dans ces cas là) des plus mélancolique (c'est du Shakespeare, ça a jamais respiré la joie) et clôt avec des frissons un opus magistral qui me laisse sans voix !!
Conclusion : Avec ce nouveau concept Seyminhol revient à ce qu'il sait faire de mieux et démontre tout son immense talent en terme de métal épique et symphonique qui n'a rien à envier aux grands de ce monde !!! Une pièce magistrale qui dépasse de loin tout ce qu'ils ont pu faire !!! Une leçon de musique qui j'espère de tout mon cœur va trouver un large public car ils le méritent amplement !!! Un réussite tout simplement.
Critique : Guillaume
Note : 9.5/10
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