Chronique
TONY MILLS - OVER MY DEAD BODY / Battlegod production 2015
Ce chanteur Anglais surtout connu pour avoir chanté au sein du groupe Norvégien TNT mais pas que, sort un nouvel album solo. Une sorte d'exutoire après ses soucis de santé.
On débute de bonne manière avec « Time wont' wait » qui nous livre un hard rock mélodieux et pompeux bien sympathique sur lequel Tony livre son interprétation sans faille. Un titre agréable mais bien trop répétitif à la longue. « 28 flights » accélère le rythme et acère ses riffs. Ici on lorgne bien plus vers le heavy métal et çà envoie !!! Après perso je n'ai jamais été fan de la voix haut perché du bonhomme mais il faut reconnaître qu'il fait du bon boulot.
On poursuit avec « We should be on by now » très calme, au piano puis se transforme en une sorte de titre épique et mélodique à souhait qui fait son effet. Une très belle réussite, même si elle se répète trop sur la fin. On trouve du plus conventionnel avec « No love lost » qui apporte pas grand chose et fait passer le temps en attendant du plus enrichissant.
Avec « Gate 21 » on sent les ténèbres envahir vos enceintes puis se développe pas trop mal mais ne laisse pas un souvenir impérissable. Place à la ballade avec « My death » sur laquelle Tony est très prenant mais pas toujours parfait. Dommage car on sent l'émotion.
Intro façon prière pour « Bitter suite » qui surprend mais rend bien, avant de nous livrer un remuant « Nothern star » qui fait du bien. Un titre simple et efficace qui relève l'album. Puis la presque Aor « 4 in the morning » prend le relais et apporte son lot de bonnes sensations. Tout comme « Somewhere in London » qui sans prétention fait son effet. Décidément cet album surprend.
On termine avec « Free spirits » une sorte de ballade avec des faux airs de Queen. Une fin agréable comme cet opus au final.
Conclusion : Pour son album de survivant Tony Mills aura réussi à créer son univers toujours mélodieux et créatif mais pas toujours exempt de tout défaut. Sympathique et agréable.
On débute de bonne manière avec « Time wont' wait » qui nous livre un hard rock mélodieux et pompeux bien sympathique sur lequel Tony livre son interprétation sans faille. Un titre agréable mais bien trop répétitif à la longue. « 28 flights » accélère le rythme et acère ses riffs. Ici on lorgne bien plus vers le heavy métal et çà envoie !!! Après perso je n'ai jamais été fan de la voix haut perché du bonhomme mais il faut reconnaître qu'il fait du bon boulot.
On poursuit avec « We should be on by now » très calme, au piano puis se transforme en une sorte de titre épique et mélodique à souhait qui fait son effet. Une très belle réussite, même si elle se répète trop sur la fin. On trouve du plus conventionnel avec « No love lost » qui apporte pas grand chose et fait passer le temps en attendant du plus enrichissant.
Avec « Gate 21 » on sent les ténèbres envahir vos enceintes puis se développe pas trop mal mais ne laisse pas un souvenir impérissable. Place à la ballade avec « My death » sur laquelle Tony est très prenant mais pas toujours parfait. Dommage car on sent l'émotion.
Intro façon prière pour « Bitter suite » qui surprend mais rend bien, avant de nous livrer un remuant « Nothern star » qui fait du bien. Un titre simple et efficace qui relève l'album. Puis la presque Aor « 4 in the morning » prend le relais et apporte son lot de bonnes sensations. Tout comme « Somewhere in London » qui sans prétention fait son effet. Décidément cet album surprend.
On termine avec « Free spirits » une sorte de ballade avec des faux airs de Queen. Une fin agréable comme cet opus au final.
Conclusion : Pour son album de survivant Tony Mills aura réussi à créer son univers toujours mélodieux et créatif mais pas toujours exempt de tout défaut. Sympathique et agréable.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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