Chronique
STYX – BIG BANG THEORY / Frontiers Records 2005
Voilà la question que je me suis posée lorsque j’ai écouté pour la première fois cette rondelle : comment chroniquer un album où il n’y a que des reprises de groupes ayant vécus pendant les années 70. C’est à dire : je n’étais pas encore né, je ne connais que très peu de chansons reprises sur ce disque et par conséquent je ne suis pas dans le c**a. La solution ? Et bien je n’en ai pas trouvée une bien spéciale en fait car même en connaissant tous les morceaux, chroniquer une cover n’est pas facile et forcément bien intéressant.
Le premier morceau est une reprise du mythique groupe anglais The Beatles avec la chanson « I Am The Walrus ». Connaissant un peu les Beatles, la reprise reste fidèle au morceau original, avec quelques légères différences, et un son un poil plus rock.
Le second morceau vient du groupe de rock psychédélique déjanté du fameux chanteur Jim Morrison du groupe The Who avec « I can See For Miles ». L’ambiance ‘bizarre’ est très bien retransmise et on se croirait shooté, planant accompagné par cette batterie qui est assez déplacée par rapport au autres instrus par moments ; mais on y est habitué.
Alors là je connais pas ce groupe : Blind Faith et donc le morceau « Can’t find my way home ». Une ambiance cow-boy à la guitare sèche et mélodieuse, une voix bien claire et aigu pour un mid tempo bien sympa. Une bien jolie pièce.
Un autre inconnu avec Willie Dixon et leur chanson « Don’t Make sense (You can’t make peace) ». La guitare sèche continue à se faire entendre et là on est proche d’un rock bluesy calme mais qui mine de rien à pas mal de patate, surtout avec un chant puissant et une montée en énergie au milieu du morceau.
Humble Pie et « I don’t Need a doctor » vous connaissez ? Moins non. Le registre devient plus rock et plus énergique. La patate qu’ils avaient sur cette période. La performance qui chanteur est superbe, quelques cœurs sur le refrain. Voilà comment un morceau peu plaire : une bonne cure.
Bon là je connais. Ce sont les Allman Brothers qui ont été repris avec leur chanson « One Way Out ». La batterie se charge d’ouvre le morceau et ça swing les gars. Une superbe énergie accompagnée d’un lapin rose. Ah non je m’égare là. La cover est royale et la performance des musiciens bien cool. Encore une fois le chanteur sort une belle performance.
Retour aux inconnus avec Procol Harum et leur « A salty Dog ». L’ouverture se fait au piano me faisant penser à la B.O de la Boum (pardon pour la référence). Quoi qu’il en soit le morceau est une superbe ballade enchanteresse qui mérite le détour. Le passage au violon est magique : tout simplement du bon.
Bon là, c’est certainement le morceau le plus connu de l’album. Il vient de Lovin’ Spoonful et se nomme « Summer In The City ». Vraiment besoin d’une description ? Je ne crois pas, mais quoi qu’il en soit la reprise est ENORME. Une bombe, tout comme le morceau.
On continue sur les hits connus avec une chanson de Jimi Hendrix « Manic Depression ». La guitare est maître, accompagnée par la batterie sur un tempo déjanté. Nous le savons et c’est pour ça que nous aimons Jimi. Une reprise intéressante, avec une nouvelle fois la performance du chanteur qui est surprenante.
A qui le tour ? Et bien au tour de The Pretty Things et à leur chanson « Talkin’ About the good times » de se faire reprendre (pas de sous entendus svp). Niveau musique cela est très 70’s (normal) mais peu innovateur. Un style un peu déjanté avec des effets à droite à gauche pour un morceau moyen.
Encore un inconnu avec Jethro Tull et « Locomotive Breath ». Là par contre ça rigole moins et un morceau rock psy à la Who nous arrive dans la tête directement et c’est le choque. Le mid tempo où la guitare se fait entendre est super.
Au tour de CSNY et « Find The Cost Of Freedom ». Une arrivée calme et posée avec deux voix pour le chant. Une envie de planer ou de faire la sieste pour d’autres arrive et nous prend. Un morceau assez court.
L’avant dernière reprise est de Free et leur morceau « Wishing Well ». Le rythme reprend juste après pour nous réveiller dans un rock entraînant et une superbe mélodie accompagnés par, une nouvelle fois, un chant impeccable. La guitare reste maître de cérémonie, accompagnée par la basse et une batterie aux cymbales scintillantes.
On finit avec un morceau du groupe STYX (quand même) qui est « Blue Collar Man @ 2120 ». Un mid tempo qui au niveau du chant peu rappeler Sting, mais qui par le reste est bien différent. Un superbe refrain accompagné par des chœurs, une superbe mélodie pour ce morceau bien bon qui se retrouve accompagné par ci par là par un clavier.
Conclusion : malgré mon manque de connaissance sur les groupes repris dans cet album, je ne peux renier la qualité des morceaux dans leur exécution et aussi, dans la qualité vocales des chanteurs (il y en a 3) . Un ensemble remarquable qui mérite le détour pour les fans des 70’s ou pour ceux qui aiment la bonne musique et les belles performances des musiciens.
Le premier morceau est une reprise du mythique groupe anglais The Beatles avec la chanson « I Am The Walrus ». Connaissant un peu les Beatles, la reprise reste fidèle au morceau original, avec quelques légères différences, et un son un poil plus rock.
Le second morceau vient du groupe de rock psychédélique déjanté du fameux chanteur Jim Morrison du groupe The Who avec « I can See For Miles ». L’ambiance ‘bizarre’ est très bien retransmise et on se croirait shooté, planant accompagné par cette batterie qui est assez déplacée par rapport au autres instrus par moments ; mais on y est habitué.
Alors là je connais pas ce groupe : Blind Faith et donc le morceau « Can’t find my way home ». Une ambiance cow-boy à la guitare sèche et mélodieuse, une voix bien claire et aigu pour un mid tempo bien sympa. Une bien jolie pièce.
Un autre inconnu avec Willie Dixon et leur chanson « Don’t Make sense (You can’t make peace) ». La guitare sèche continue à se faire entendre et là on est proche d’un rock bluesy calme mais qui mine de rien à pas mal de patate, surtout avec un chant puissant et une montée en énergie au milieu du morceau.
Humble Pie et « I don’t Need a doctor » vous connaissez ? Moins non. Le registre devient plus rock et plus énergique. La patate qu’ils avaient sur cette période. La performance qui chanteur est superbe, quelques cœurs sur le refrain. Voilà comment un morceau peu plaire : une bonne cure.
Bon là je connais. Ce sont les Allman Brothers qui ont été repris avec leur chanson « One Way Out ». La batterie se charge d’ouvre le morceau et ça swing les gars. Une superbe énergie accompagnée d’un lapin rose. Ah non je m’égare là. La cover est royale et la performance des musiciens bien cool. Encore une fois le chanteur sort une belle performance.
Retour aux inconnus avec Procol Harum et leur « A salty Dog ». L’ouverture se fait au piano me faisant penser à la B.O de la Boum (pardon pour la référence). Quoi qu’il en soit le morceau est une superbe ballade enchanteresse qui mérite le détour. Le passage au violon est magique : tout simplement du bon.
Bon là, c’est certainement le morceau le plus connu de l’album. Il vient de Lovin’ Spoonful et se nomme « Summer In The City ». Vraiment besoin d’une description ? Je ne crois pas, mais quoi qu’il en soit la reprise est ENORME. Une bombe, tout comme le morceau.
On continue sur les hits connus avec une chanson de Jimi Hendrix « Manic Depression ». La guitare est maître, accompagnée par la batterie sur un tempo déjanté. Nous le savons et c’est pour ça que nous aimons Jimi. Une reprise intéressante, avec une nouvelle fois la performance du chanteur qui est surprenante.
A qui le tour ? Et bien au tour de The Pretty Things et à leur chanson « Talkin’ About the good times » de se faire reprendre (pas de sous entendus svp). Niveau musique cela est très 70’s (normal) mais peu innovateur. Un style un peu déjanté avec des effets à droite à gauche pour un morceau moyen.
Encore un inconnu avec Jethro Tull et « Locomotive Breath ». Là par contre ça rigole moins et un morceau rock psy à la Who nous arrive dans la tête directement et c’est le choque. Le mid tempo où la guitare se fait entendre est super.
Au tour de CSNY et « Find The Cost Of Freedom ». Une arrivée calme et posée avec deux voix pour le chant. Une envie de planer ou de faire la sieste pour d’autres arrive et nous prend. Un morceau assez court.
L’avant dernière reprise est de Free et leur morceau « Wishing Well ». Le rythme reprend juste après pour nous réveiller dans un rock entraînant et une superbe mélodie accompagnés par, une nouvelle fois, un chant impeccable. La guitare reste maître de cérémonie, accompagnée par la basse et une batterie aux cymbales scintillantes.
On finit avec un morceau du groupe STYX (quand même) qui est « Blue Collar Man @ 2120 ». Un mid tempo qui au niveau du chant peu rappeler Sting, mais qui par le reste est bien différent. Un superbe refrain accompagné par des chœurs, une superbe mélodie pour ce morceau bien bon qui se retrouve accompagné par ci par là par un clavier.
Conclusion : malgré mon manque de connaissance sur les groupes repris dans cet album, je ne peux renier la qualité des morceaux dans leur exécution et aussi, dans la qualité vocales des chanteurs (il y en a 3) . Un ensemble remarquable qui mérite le détour pour les fans des 70’s ou pour ceux qui aiment la bonne musique et les belles performances des musiciens.
Critique : Lionel
Note : 8/10
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