Chronique
VIRGIN STEELE - NOCTURNES OF HELLFIRE & DAMNATION / Spv 2015
David DeFeis est enfin de retour 5ans après sa dernière sortie, une éternité pour tout passionné de heavy épique ! Alors j'espère que ce nouveau concept (toujours sur la Mythologie Grecque) va être à la hauteur des attentes de leur fans !
D'entrée on retrouve ce qui nous fait vibrer chez Virgin Steele avec « Lucifer's hammer », un titre rentre dedans qui pose l'album sur de bonnes bases. David quand à lui a gardé sa voix unique mais abuse des hauteurs pas toujours adéquates. Malgré tout un bon début. Le mid tempo « Queen of the dead » arrive et dommage, tue le rythme de l'album. Arrivé un peu trop tôt ce morceau même s'il est sympa et s'essaie à la puissance métallique (chose qui manquait un peu à la dernière œuvre du groupe) pêche par son manque d'accroche évidente. Premier interlude avec « To darkness eternal » qui nous envoie sur un « Black sun – black mass » plus rythmé qui rappelle les débuts de Manowar ! Il est bon de constater que la guitare est revenue au premier plan et que les synthés retrouvent leur rôle.
« Persephone » malgré un début calme envoie des pieds et poursuit cette histoire divine avec de bonnes intentions, même si les aigus de David la rendent un peu trop efféminé. Je vous rassure l'aspect épique est toujours présent avec des breaks et autre changements de rythme. On calme les choses avec un « Devilhead » qui ressemblerait presque à une ballade. Un passage plus doux qui fait son boulot.
Avec « Demotion Queen » nous avons droit à un titre long aux consonances hard rock 80' étonnante mais qui rappelle les anciens travaux du groupe (Life among the ruins).
Après ce délicieux retour en arrière (un de plus) la très lourde et pataude « Plagues and the fire » poursuit l'album mais là encore manque un peu d'accroche. On semble s’enliser dans ces moments là. Un bon riff gras déboule pour « We desappear» qui étonne car plutôt moderne chose assez inhabituelle chez Virgin Steele. Mais bon on se laisse prendre au jeu.
Deuxième interlude avec « A damned apparition » qui nous envoie sur « Glamour » étrange qui m'est difficile de décrire. Perso j'adhère pas vraiment à cette chanson sans repère. Trop progressive pour moi.
« Delirium » débute sur un cri bien aigu de David puis se continue en un mid tempo mélodique mais menaçant. Un très bon titre que voilà. Intro calme pour « Hymne of damnation » qui se trouve être la vraie ballade de l'album. Une petite douceur musicale bienvenue. On termine avec « Fallen angel » une deuxième ballade consécutive ! Un choix étonnant mais pourquoi pas elle reste sympa
Conclusion : Virgin Steele renoue avec son aspect métal ce qui est une très bonne chose et nous concocte un très bon album de heavy épique mais qui comme souvent perd en accroche à force de vouloir trop développer ses idées. Les fans devrait s'y retrouver.
D'entrée on retrouve ce qui nous fait vibrer chez Virgin Steele avec « Lucifer's hammer », un titre rentre dedans qui pose l'album sur de bonnes bases. David quand à lui a gardé sa voix unique mais abuse des hauteurs pas toujours adéquates. Malgré tout un bon début. Le mid tempo « Queen of the dead » arrive et dommage, tue le rythme de l'album. Arrivé un peu trop tôt ce morceau même s'il est sympa et s'essaie à la puissance métallique (chose qui manquait un peu à la dernière œuvre du groupe) pêche par son manque d'accroche évidente. Premier interlude avec « To darkness eternal » qui nous envoie sur un « Black sun – black mass » plus rythmé qui rappelle les débuts de Manowar ! Il est bon de constater que la guitare est revenue au premier plan et que les synthés retrouvent leur rôle.
« Persephone » malgré un début calme envoie des pieds et poursuit cette histoire divine avec de bonnes intentions, même si les aigus de David la rendent un peu trop efféminé. Je vous rassure l'aspect épique est toujours présent avec des breaks et autre changements de rythme. On calme les choses avec un « Devilhead » qui ressemblerait presque à une ballade. Un passage plus doux qui fait son boulot.
Avec « Demotion Queen » nous avons droit à un titre long aux consonances hard rock 80' étonnante mais qui rappelle les anciens travaux du groupe (Life among the ruins).
Après ce délicieux retour en arrière (un de plus) la très lourde et pataude « Plagues and the fire » poursuit l'album mais là encore manque un peu d'accroche. On semble s’enliser dans ces moments là. Un bon riff gras déboule pour « We desappear» qui étonne car plutôt moderne chose assez inhabituelle chez Virgin Steele. Mais bon on se laisse prendre au jeu.
Deuxième interlude avec « A damned apparition » qui nous envoie sur « Glamour » étrange qui m'est difficile de décrire. Perso j'adhère pas vraiment à cette chanson sans repère. Trop progressive pour moi.
« Delirium » débute sur un cri bien aigu de David puis se continue en un mid tempo mélodique mais menaçant. Un très bon titre que voilà. Intro calme pour « Hymne of damnation » qui se trouve être la vraie ballade de l'album. Une petite douceur musicale bienvenue. On termine avec « Fallen angel » une deuxième ballade consécutive ! Un choix étonnant mais pourquoi pas elle reste sympa
Conclusion : Virgin Steele renoue avec son aspect métal ce qui est une très bonne chose et nous concocte un très bon album de heavy épique mais qui comme souvent perd en accroche à force de vouloir trop développer ses idées. Les fans devrait s'y retrouver.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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