Chronique
ROYAL HUNT - DEVIL\'S DOZEN / Frontiers records 2015
Le groupe Danois poursuit ses aventures avec son album bi-annuel qui succède à un petit bijou. Alors il est vrai que ce 13ème album va avoir une pression supplémentaire, mais je suis sur que le duo magique Cooper/Andersen va encore faire des prouesses.
On débute notre nouvel opus avec « So right, so wrong » des plus habituel mais sans forcément trop sentir le réchauffé. Royal Hunt fait du Royal Hunt et c'est bien ce qu'on cherche quand même. Par contre les effets sur la voix de DC je ne suis pas fan du tout !!! Un début classique qui met dans le bain mais qui laisse un peu d'amertume. On espère que « May you never (walk alone) » hausse le ton ! A première vue en tout cas ça envoie pas mal et les claviers/orchestrations rendent très bien. DC est plus en phase et tout le monde est gagnant !! Un très bon titre que voilà qui lance réellement l'album !
Ambiance différente avec « Heart on a platter » qui se veut plus épique. L'effet est assuré André Andersen reste un maître en la matière. Un bon moment qui permet de poursuivre cet opus dans de bonnes conditions. On retrouve du rythme avec un « A tear in the rain » sympathique mais tellement quelconque !! Une chanson remuante mais qui ne se démarque pas des autres titres du groupe.
Pour l'instant ça souffle le chaud et le froid cet opus, allons voir ce que « Until the day » va nous réserver. Une ballade plutôt triste dans son début avec piano, orchestration maîtrisée et un DC émouvant. La suite plus puissante nous offre un bon moment d'émotion qui nous redonne le sourire. Grosse intro très médiévale avec sa flute pour « Riches to rags » qui met de bonne humeur avec ses rythmes sautillants et sa joie de vivre communicative !! Voilà un peu la nouveauté qui manquait !!!
On retrouve du très conventionnel avec « Way too late » qui rappelle les grands moments de Paradox (première génération bien sur!!) et qui fait son effet même si l'idée de déjà vu persiste. Reste un refrain percutant et efficace !! On termine avec « How do you know », très typé année 80, qui dénote totalement du reste de l'album. Sympa et bien placé en bonus track.
Conclusion : Pour son 13ème album le chasseur royal aura fait son boulot sans trop se démarquer de sa discographie. Alors oui c'est très plaisant mais une petite prise de risque serait sérieusement la bienvenue.
On débute notre nouvel opus avec « So right, so wrong » des plus habituel mais sans forcément trop sentir le réchauffé. Royal Hunt fait du Royal Hunt et c'est bien ce qu'on cherche quand même. Par contre les effets sur la voix de DC je ne suis pas fan du tout !!! Un début classique qui met dans le bain mais qui laisse un peu d'amertume. On espère que « May you never (walk alone) » hausse le ton ! A première vue en tout cas ça envoie pas mal et les claviers/orchestrations rendent très bien. DC est plus en phase et tout le monde est gagnant !! Un très bon titre que voilà qui lance réellement l'album !
Ambiance différente avec « Heart on a platter » qui se veut plus épique. L'effet est assuré André Andersen reste un maître en la matière. Un bon moment qui permet de poursuivre cet opus dans de bonnes conditions. On retrouve du rythme avec un « A tear in the rain » sympathique mais tellement quelconque !! Une chanson remuante mais qui ne se démarque pas des autres titres du groupe.
Pour l'instant ça souffle le chaud et le froid cet opus, allons voir ce que « Until the day » va nous réserver. Une ballade plutôt triste dans son début avec piano, orchestration maîtrisée et un DC émouvant. La suite plus puissante nous offre un bon moment d'émotion qui nous redonne le sourire. Grosse intro très médiévale avec sa flute pour « Riches to rags » qui met de bonne humeur avec ses rythmes sautillants et sa joie de vivre communicative !! Voilà un peu la nouveauté qui manquait !!!
On retrouve du très conventionnel avec « Way too late » qui rappelle les grands moments de Paradox (première génération bien sur!!) et qui fait son effet même si l'idée de déjà vu persiste. Reste un refrain percutant et efficace !! On termine avec « How do you know », très typé année 80, qui dénote totalement du reste de l'album. Sympa et bien placé en bonus track.
Conclusion : Pour son 13ème album le chasseur royal aura fait son boulot sans trop se démarquer de sa discographie. Alors oui c'est très plaisant mais une petite prise de risque serait sérieusement la bienvenue.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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