Chronique
MADAM WITCH - OUT OF THE CIRCLE / AUTOPRODUCTION 2005
Tien une rondelle qui arrive tout droit de l’île de beauté : étrange, étrange l’est aussi la pochette d’un orange qui me rappelle les Mclarens engagées par Bruce Mclaren dans les années 60 : space.
Mais bon une pochette ne fait pas tout et c’est surtout le contenu qui est intéressant à juger, et là sur le papier les 2 musiciens de Madam Witch ont de quoi plaire avec leur prog expérimental.
« Big bang » nous sort la grosse artillerie de par son riff, puis on évolue dans un métal lourd un poil étrange. La voix de Phil Mariotti n’est pas terrible, trop monocorde ; elle est sans émotion, sans intensité enfin lassante à force. Sinon, niveau musique ça joue mais tout est sans vie, trop linéaire. « Between love and hatred » paraît mieux au premier abord avec son hard 80’ sympa. Phil se lance dans un métal rap au milieu de tout ça avant de reprendre, mais bon toujours rien d’intéressant qui ressort.
Début calme pour « Dying in your arms » puis on se laisse prendre par cette voix lancinante, avant de décrocher par manque justement d’accroche dans ses titres longs. Aller, la suite. « I’m going back to Mississippi » se la joue plus lourde mais rien à faire les débuts sont cool mais après on arrête par manque d’intensité ,d’émotion, de vie quoi tout paraît si froid. Et puis cette voix qui me gonfle grhhh !!
Je croyais avoir tout entendu mais là c’est le comble : « Out of the circle » c’est la goutte d’eau qui fait déborder la vase. Je rappelle qu’au niveau musique même si ce n’est pas du très grand, certains passages sont cool (le mélange métal prog funk pas mal), mais c’est cette voix qui ‘massacre tout’ non là j’arrête. Après deux minutes de pause, (histoire de décompresser) je me relance. « Can you feel » fait très bordélique mais tout semble maîtrisé, mais même après ma pause rien n’a changé sur mon avis, pour une fois je suis d’accord avec ceux qui disent que la prog est froid. Aller plus que trois. « Forgotten world » gémissante et répétitive, « Everything but love » et sa batterie à la Billy Jean de Michael Jackson, et « Flying away (bonne idée) une ballade à la jolie musique sur laquelle la voix fait très mélancolique (suicidaire). Aller le meilleur titre de l’album (si il fallait en trouver un) limite morbide.Merci du cadeaux.
Conclusion : un album à vite oublier car alors là je n’ai rien compris. Autant ces derniers temps les albums de prog sont irréprochables (Wolverine, Circus Maximus,Spheric universe experience) mais alors là c’est plutôt du n’importe quoi. Je suis peut être méchant mais j’en attendais largement mieux de ce groupe qui avait de quoi plaire à beaucoup de métalleux et ben pas moi (mais bon peu être que je ne suis pas si métalleux que ça ?).
Mais bon une pochette ne fait pas tout et c’est surtout le contenu qui est intéressant à juger, et là sur le papier les 2 musiciens de Madam Witch ont de quoi plaire avec leur prog expérimental.
« Big bang » nous sort la grosse artillerie de par son riff, puis on évolue dans un métal lourd un poil étrange. La voix de Phil Mariotti n’est pas terrible, trop monocorde ; elle est sans émotion, sans intensité enfin lassante à force. Sinon, niveau musique ça joue mais tout est sans vie, trop linéaire. « Between love and hatred » paraît mieux au premier abord avec son hard 80’ sympa. Phil se lance dans un métal rap au milieu de tout ça avant de reprendre, mais bon toujours rien d’intéressant qui ressort.
Début calme pour « Dying in your arms » puis on se laisse prendre par cette voix lancinante, avant de décrocher par manque justement d’accroche dans ses titres longs. Aller, la suite. « I’m going back to Mississippi » se la joue plus lourde mais rien à faire les débuts sont cool mais après on arrête par manque d’intensité ,d’émotion, de vie quoi tout paraît si froid. Et puis cette voix qui me gonfle grhhh !!
Je croyais avoir tout entendu mais là c’est le comble : « Out of the circle » c’est la goutte d’eau qui fait déborder la vase. Je rappelle qu’au niveau musique même si ce n’est pas du très grand, certains passages sont cool (le mélange métal prog funk pas mal), mais c’est cette voix qui ‘massacre tout’ non là j’arrête. Après deux minutes de pause, (histoire de décompresser) je me relance. « Can you feel » fait très bordélique mais tout semble maîtrisé, mais même après ma pause rien n’a changé sur mon avis, pour une fois je suis d’accord avec ceux qui disent que la prog est froid. Aller plus que trois. « Forgotten world » gémissante et répétitive, « Everything but love » et sa batterie à la Billy Jean de Michael Jackson, et « Flying away (bonne idée) une ballade à la jolie musique sur laquelle la voix fait très mélancolique (suicidaire). Aller le meilleur titre de l’album (si il fallait en trouver un) limite morbide.Merci du cadeaux.
Conclusion : un album à vite oublier car alors là je n’ai rien compris. Autant ces derniers temps les albums de prog sont irréprochables (Wolverine, Circus Maximus,Spheric universe experience) mais alors là c’est plutôt du n’importe quoi. Je suis peut être méchant mais j’en attendais largement mieux de ce groupe qui avait de quoi plaire à beaucoup de métalleux et ben pas moi (mais bon peu être que je ne suis pas si métalleux que ça ?).
Critique : Guillaume
Note : 4/10
Site du groupe : site officiel de Madam witch
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