Chronique
SLAYER - REPENTLESS / Nuclear blast 2015
La légende du Thrash est enfin de retour après 6 ans d'absence discographique et surtout après le triste décès de Jeff Hanneman. Mais voilà Slayer est plus fort que la mort et avec Gary Holtz reprennent les choses en mains pour une future déflagration qui fait déjà grand bruit !! Prêts pour la révolte !?!?
Aller sans plus attendre on se lance à l’assaut de ce nouvel opus qui fait durer le plaisir avec la longue intro « Delusions of saviour » fait monter la pression jusqu'à la title track qui remet Slayer dans le droit chemin !!! Certes Dave Lombardo n'est plus là, lui aussi, mais Paul Bostaph remplit sans tache sans sourciller. « Repentless » rassure sur l’état de santé du groupe Californien. Oui Slayer fait toujours mal et « Take control » vient à nous pour ne pas l'oublier !! Un titre Thrash par excellence qui fait le boulot. Par contre petit reproche concernant le son de cet album qui est un peu trop brut à mon goût.
La mid tempo méchante arrive avec « Vices » qui fait froid dans le dos. On peut dire que malgré leur 30 ans et plus de carrière nos guerriers sont toujours aussi énervés !! On lâche rien avec « Cast the first stone » qui poursuit dans la même veine un titre sinistre qui fait du bien. Je n'ai pas encore parlé de Gary mais je vous rassure il fait le taf, le contraire aurait été surprenant c'est quand même le mec d'Exodus !!!!
Intro en son clair des plus inquiétante pour « When the stillness comes » qui certes fait perdre du rythme à l'album mais pas l’intérêt ! Perso j'adore !! Le titre de l'album ! « Chasing death » retrouve un peu de rythme pour un titre dans l'air moderne. Pas le plus marquant.
« Implode » est du pur Slayer sans concession qui tabasse et ne fait pas dans la dentelle. Place à « Piano wire » dernier titre écrit par Jeff qui sent le vieux Slayer vicieux !! Un titre sorti de l'autre monde qui passe très bien !
« Atrocity vendor » speed à nouveau et met presque à mal un Tom Araya qui commence à accuser son age. « You against you » se veut plus rock dans l'esprit, avant de speeder à fond et poursuit cet opus sans surprise.
On termine avec « Pride in prejudice », un mid tempo sans saveur qui finit pas du mieux cet album retour.
Conclusion : Comme ses amis d'enfance Slayer n'est plus capable de sortir des tueries qui mettront tout le monde d'accord mais arrive à faire vivre la légende sans trop forcer. Pas le meilleur mais après tout ce qu'ils ont vécu ça passe.
Aller sans plus attendre on se lance à l’assaut de ce nouvel opus qui fait durer le plaisir avec la longue intro « Delusions of saviour » fait monter la pression jusqu'à la title track qui remet Slayer dans le droit chemin !!! Certes Dave Lombardo n'est plus là, lui aussi, mais Paul Bostaph remplit sans tache sans sourciller. « Repentless » rassure sur l’état de santé du groupe Californien. Oui Slayer fait toujours mal et « Take control » vient à nous pour ne pas l'oublier !! Un titre Thrash par excellence qui fait le boulot. Par contre petit reproche concernant le son de cet album qui est un peu trop brut à mon goût.
La mid tempo méchante arrive avec « Vices » qui fait froid dans le dos. On peut dire que malgré leur 30 ans et plus de carrière nos guerriers sont toujours aussi énervés !! On lâche rien avec « Cast the first stone » qui poursuit dans la même veine un titre sinistre qui fait du bien. Je n'ai pas encore parlé de Gary mais je vous rassure il fait le taf, le contraire aurait été surprenant c'est quand même le mec d'Exodus !!!!
Intro en son clair des plus inquiétante pour « When the stillness comes » qui certes fait perdre du rythme à l'album mais pas l’intérêt ! Perso j'adore !! Le titre de l'album ! « Chasing death » retrouve un peu de rythme pour un titre dans l'air moderne. Pas le plus marquant.
« Implode » est du pur Slayer sans concession qui tabasse et ne fait pas dans la dentelle. Place à « Piano wire » dernier titre écrit par Jeff qui sent le vieux Slayer vicieux !! Un titre sorti de l'autre monde qui passe très bien !
« Atrocity vendor » speed à nouveau et met presque à mal un Tom Araya qui commence à accuser son age. « You against you » se veut plus rock dans l'esprit, avant de speeder à fond et poursuit cet opus sans surprise.
On termine avec « Pride in prejudice », un mid tempo sans saveur qui finit pas du mieux cet album retour.
Conclusion : Comme ses amis d'enfance Slayer n'est plus capable de sortir des tueries qui mettront tout le monde d'accord mais arrive à faire vivre la légende sans trop forcer. Pas le meilleur mais après tout ce qu'ils ont vécu ça passe.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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