Chronique
THE WINERY DOGS - HOT STREAK / Verycords 2015
Le trio magique le plus excitant depuis des années revient pour un 2ème opus qui j'espère poursuivra les bonnes intentions entrevues il y a 2 ans. Je ne tiens plus allons vite voir ça !!!!
Aller, let's go « Oblivion » attaque d'entrée, très, très fort et nous en met plein la vue ! Notre trio est bien plus en phase (presque trop) et délivre une musique énergique et technique à souhait qui met en évidence l'immense talent de chacun des protagonistes !! Ouf un début dantesque vite suivi par « Captain love » qui calme le jeu avec du mélodique bien fichu, qui bien évidement rappelle indéniablement Mr Big. Quel plaisir d'entendre la voix magique de Richie Kotzen qui prend moins de place que sur le premier opus mais continue à faire des merveilles.
Par contre là avec « Hot streak » nos lascars s'en donnent à cœur joie mais perdent un peu en accroche. Un titre sans réel rythme plutôt funky qui joue sur les qualités intrinsèques de nos musiciens et oublie un peu l'aspect musical évident. Pas mauvais loin de là, mais il faut juste le temps de s'y habituer. Aller « How long » se ressaisit un peu, sans oublier les descentes de manches en tous genres et en gardant un esprit funky plutôt nouveau. Il est vrai que pour ce 2ème opus le groupe a privilégié l'aspect technique à l'aspect direct.
Décidément le groupe à une réelle approche Funky à l'instar d'un Glenn Hughes et le développe mieux avec un « Empire » plus standard. Moment de douceur avec « Fire » qui t’enivre tant c'est beau calme et subtil. Des frissons te parcourent à chaque intervention touchante d'un Richie si rarement émouvant. Juste magique !!
Après un tel moment « Ghost town » vient à nous et nous livre un extraordinaire titre de hard mélodique tout en subtilité qui fait un effet bœuf ! Très aérien il nous fait voyager dans des contrées célestes. Le mid tempo « The bridge » arrive de manière plus classique et fait son effet. Puis on continue avec un « War machine » qui elle aussi se rapproche des premiers exercices du groupe tout en y apportant son lot de nouveautés bienvenues.
On retrouve du mélodique quelque peu aérien avec « Spiral » qui me fait penser à du Audioslave. Un superbe titre moderne très bien réalisé qui procure d’excellentes sensations. La surprise de cet opus. Il semblerait que l'album soit fait en deux parties car celle-ci se veut plus musicale pour preuve ce super « Devil you know » plein d'entrain qui fait danser et vibrer.
Les 70' se rappellent à nous avec un « Think it over » des plus Soul. Une sorte de ballade à la Stevie Wonder qui fait du bien. Un bain de nostalgie toujours aussi délectable. On termine avec « The lamb », qui malgré son début calme envoie des pieds de la meilleure des manières et te fait bouger comme un possédé !!! Du pur bonheur sans équivoque, qui n'a pas besoin de mots pour être expliqué !! Ouf quel génie !!!
Conclusion : Pour son second album The Winery Dogs aura approfondi son style et son jeu, tout en perdant en accroche et en 'facilité' qui étaient perçus sur son premier effort. Un album des plus délectable mais pas à la portée de tous, j'en ai bien peur. Du travail de pro à peaufiner dans l'avenir pour devenir incontournable.
Aller, let's go « Oblivion » attaque d'entrée, très, très fort et nous en met plein la vue ! Notre trio est bien plus en phase (presque trop) et délivre une musique énergique et technique à souhait qui met en évidence l'immense talent de chacun des protagonistes !! Ouf un début dantesque vite suivi par « Captain love » qui calme le jeu avec du mélodique bien fichu, qui bien évidement rappelle indéniablement Mr Big. Quel plaisir d'entendre la voix magique de Richie Kotzen qui prend moins de place que sur le premier opus mais continue à faire des merveilles.
Par contre là avec « Hot streak » nos lascars s'en donnent à cœur joie mais perdent un peu en accroche. Un titre sans réel rythme plutôt funky qui joue sur les qualités intrinsèques de nos musiciens et oublie un peu l'aspect musical évident. Pas mauvais loin de là, mais il faut juste le temps de s'y habituer. Aller « How long » se ressaisit un peu, sans oublier les descentes de manches en tous genres et en gardant un esprit funky plutôt nouveau. Il est vrai que pour ce 2ème opus le groupe a privilégié l'aspect technique à l'aspect direct.
Décidément le groupe à une réelle approche Funky à l'instar d'un Glenn Hughes et le développe mieux avec un « Empire » plus standard. Moment de douceur avec « Fire » qui t’enivre tant c'est beau calme et subtil. Des frissons te parcourent à chaque intervention touchante d'un Richie si rarement émouvant. Juste magique !!
Après un tel moment « Ghost town » vient à nous et nous livre un extraordinaire titre de hard mélodique tout en subtilité qui fait un effet bœuf ! Très aérien il nous fait voyager dans des contrées célestes. Le mid tempo « The bridge » arrive de manière plus classique et fait son effet. Puis on continue avec un « War machine » qui elle aussi se rapproche des premiers exercices du groupe tout en y apportant son lot de nouveautés bienvenues.
On retrouve du mélodique quelque peu aérien avec « Spiral » qui me fait penser à du Audioslave. Un superbe titre moderne très bien réalisé qui procure d’excellentes sensations. La surprise de cet opus. Il semblerait que l'album soit fait en deux parties car celle-ci se veut plus musicale pour preuve ce super « Devil you know » plein d'entrain qui fait danser et vibrer.
Les 70' se rappellent à nous avec un « Think it over » des plus Soul. Une sorte de ballade à la Stevie Wonder qui fait du bien. Un bain de nostalgie toujours aussi délectable. On termine avec « The lamb », qui malgré son début calme envoie des pieds de la meilleure des manières et te fait bouger comme un possédé !!! Du pur bonheur sans équivoque, qui n'a pas besoin de mots pour être expliqué !! Ouf quel génie !!!
Conclusion : Pour son second album The Winery Dogs aura approfondi son style et son jeu, tout en perdant en accroche et en 'facilité' qui étaient perçus sur son premier effort. Un album des plus délectable mais pas à la portée de tous, j'en ai bien peur. Du travail de pro à peaufiner dans l'avenir pour devenir incontournable.
Critique : Guillaume
Note : 9/10
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