Chronique
BACKYARD BABIES - FOUR BY FOUR / Sony Music 2015
Il aura fallu sept longues années aux suédois de Backyard Babies pour nous pondre leur nouvel et septième album intitulé « Four By Four ». Coïncidence ou non, nous allons voir ça rapidement, et constater si ce break (qui a compris une tournée Best Of) a été bénéfique au groupe.
Débutant avec « Thirteen or nothing » le groupe nous lance dans une ambiance punk rock puissant sur lequel Nick vient coller son organe ,dans ce mid tempo maîtrisé et cadré pour les grandes ondes, avec quand même un esprit rebelle faisant la marque de ce style musical. Le tout s’emballe sur « I’m on my way to save your rock ‘n roll ». Toujours dans cette veine commerciale, il faut quand même dire que c’est une petite tuerie, rappelant les grandes heures de Blink 182. Un riff, un break et bim « White light district » débarque toujours dans cette mouvance de punk rock rebelle et un poil teenager, le tout avec un son un poil roots pour ne pas trop perturber les fans du groupe de la première heure.
Trois morceaux punk passés et voilà déjà une ballade, « Bloody tears » où guitare acoustique et caisse claire sont les meneurs de jeux au début, avant la montée logique en puissance pour bercer le monde. Sympathique mais manquant d’inspiration.
La berceuse passée, c’est retour dans un punk rock teen qui aurait sa place dans les films américains actuels. Puissant, léger et mélodique en même temps, porté par un chant léger et racé, le tout fait mouche sans problème pour « Piracy ». Cette folie se poursuit avec allégresse et joie sur « Never finish anythi » qui donnera une patate monstre : envie de sauter, headbanguer, trinquer avec ses potes etc. « Mirros (shall be broken) » vient calmer cette ambiance qui était montée en force, et ce avec un mid tempo mélodique, rock mais une fois de plus bien commercial. « Wasted years » remet les pendules à l’heure en repartant dans une mouvance endiablée et vibrante, toujours teen mais bien accrocheuse.
Pour finir cet album, le groupe nous pond « Walls », posé, stylé country, surprenant voir un peu déroutant.
Conclusion : orienté grand public et clientèle pubère, cet album se laisse écouté sans problème mais l’aspect commercial est ressentit et fait perdre de l’intérêt au groupe, sur pour une trentaine de minutes au final – avec sept années d’attentes depuis le précédent album. Léger…
Débutant avec « Thirteen or nothing » le groupe nous lance dans une ambiance punk rock puissant sur lequel Nick vient coller son organe ,dans ce mid tempo maîtrisé et cadré pour les grandes ondes, avec quand même un esprit rebelle faisant la marque de ce style musical. Le tout s’emballe sur « I’m on my way to save your rock ‘n roll ». Toujours dans cette veine commerciale, il faut quand même dire que c’est une petite tuerie, rappelant les grandes heures de Blink 182. Un riff, un break et bim « White light district » débarque toujours dans cette mouvance de punk rock rebelle et un poil teenager, le tout avec un son un poil roots pour ne pas trop perturber les fans du groupe de la première heure.
Trois morceaux punk passés et voilà déjà une ballade, « Bloody tears » où guitare acoustique et caisse claire sont les meneurs de jeux au début, avant la montée logique en puissance pour bercer le monde. Sympathique mais manquant d’inspiration.
La berceuse passée, c’est retour dans un punk rock teen qui aurait sa place dans les films américains actuels. Puissant, léger et mélodique en même temps, porté par un chant léger et racé, le tout fait mouche sans problème pour « Piracy ». Cette folie se poursuit avec allégresse et joie sur « Never finish anythi » qui donnera une patate monstre : envie de sauter, headbanguer, trinquer avec ses potes etc. « Mirros (shall be broken) » vient calmer cette ambiance qui était montée en force, et ce avec un mid tempo mélodique, rock mais une fois de plus bien commercial. « Wasted years » remet les pendules à l’heure en repartant dans une mouvance endiablée et vibrante, toujours teen mais bien accrocheuse.
Pour finir cet album, le groupe nous pond « Walls », posé, stylé country, surprenant voir un peu déroutant.
Conclusion : orienté grand public et clientèle pubère, cet album se laisse écouté sans problème mais l’aspect commercial est ressentit et fait perdre de l’intérêt au groupe, sur pour une trentaine de minutes au final – avec sept années d’attentes depuis le précédent album. Léger…
Critique : Lionel
Note : 6.5/10
Site du groupe : Site de Backyard Babies
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