Chronique
AMBERIAN DAWN - INNUENDO / Napalm Records 2015
Un an… un an pour nous pondre un album. On peut dire qu’AMBERIAN DAWN chôme pas… ou tourne pas. Après un « Magic Forest » qui n’avait pas enchanté, le groupe revient avec « Innuendo »… Le groupe sort un album par an. Si ça fait comme pour les Assassin’s Creed (pour les geeks entre nous), faut s’attendre au pire.
On commence avec « Fame & Gloria », assez mou et cheap. Le titre est assez pauvre, le mixage manquant clairement de puissance. Bon le solo claque pas mal ok, mais sinon le couplet avec son pti clavier mignon et rien d’autre ne sonne pas bon. On poursuit avec un morceau limite pop rock par moment, « Ladyhawk ». Le refrain est pas trop mal, les orchestrations apportent un pti quelque chose.
Le titre éponyme est assez bof. Les lignes de chants pas assez travaillé, ça fait très brouillon dans le fond. Mais comme je le disais, il fallait s’y attendre. « The Court of Mirror Hall » partait pas trop mal jusqu’à ce clavier limite ridicule, genre musique de dessin animé pour gosse. Roh la vache comment ça te plombe le truc ! Après y’a de bons passages par moment, mais non… la mélodie principale je peux pas.
Enfin un bon clavier. Et piano plus exactement. « Angelique » est un magnifique piano-voix, et je sens que ça sera le morceau qui sauvera l’album. Départ burné pour « Rise of the Evil », avec une batterie qui martèle à fond, mais les lignes de chant bloque. C’est bâclé, simpliste, déjà vu. Malgré cela il y a sur ce morceau au moins un peu d’énergie. Et le morceau suivant ne change pas, à croire que c’est la deuxième partie du morceau précédent. Malheureusement ça sonne un peu soupe… Mais attention, Päivi "Capri" Virkkunen fait un très bon boulot vocalement parlant.
Je passerai sur « Knock Knock Who’s There », titre mignonet et risible. Le clavier me fait rire. Ça sent bon « Les pokémons à la petite maison dans la prairie ». Puis le titre quoi… sérieux les gars ??
Bon « Symphony n°1 – Part 1 – The Witchcrafter » de part sa longueur et sa légère complexité remonte un peu le niveau mais ça ne sauvera pas l’album. Mais c’est meilleur que le reste. Et on termine sur un morceau plus lent, « Your Time – My Time », mid tempo pas fantastique mais à l’image globale de l’opus.
Pfff non mais quand on arrive à ce niveau faut arrêter hein… ça sert à rien de sortir un album par an si c’est pour le remplir de vide. Sur le précédent c’était absent de mélodies et là il vaudrait mieux qu’elles n’existent pas. L’album est décevant, sans accroche et je conseille vivement au groupe de se poser et de travailler dur pour composer.
On commence avec « Fame & Gloria », assez mou et cheap. Le titre est assez pauvre, le mixage manquant clairement de puissance. Bon le solo claque pas mal ok, mais sinon le couplet avec son pti clavier mignon et rien d’autre ne sonne pas bon. On poursuit avec un morceau limite pop rock par moment, « Ladyhawk ». Le refrain est pas trop mal, les orchestrations apportent un pti quelque chose.
Le titre éponyme est assez bof. Les lignes de chants pas assez travaillé, ça fait très brouillon dans le fond. Mais comme je le disais, il fallait s’y attendre. « The Court of Mirror Hall » partait pas trop mal jusqu’à ce clavier limite ridicule, genre musique de dessin animé pour gosse. Roh la vache comment ça te plombe le truc ! Après y’a de bons passages par moment, mais non… la mélodie principale je peux pas.
Enfin un bon clavier. Et piano plus exactement. « Angelique » est un magnifique piano-voix, et je sens que ça sera le morceau qui sauvera l’album. Départ burné pour « Rise of the Evil », avec une batterie qui martèle à fond, mais les lignes de chant bloque. C’est bâclé, simpliste, déjà vu. Malgré cela il y a sur ce morceau au moins un peu d’énergie. Et le morceau suivant ne change pas, à croire que c’est la deuxième partie du morceau précédent. Malheureusement ça sonne un peu soupe… Mais attention, Päivi "Capri" Virkkunen fait un très bon boulot vocalement parlant.
Je passerai sur « Knock Knock Who’s There », titre mignonet et risible. Le clavier me fait rire. Ça sent bon « Les pokémons à la petite maison dans la prairie ». Puis le titre quoi… sérieux les gars ??
Bon « Symphony n°1 – Part 1 – The Witchcrafter » de part sa longueur et sa légère complexité remonte un peu le niveau mais ça ne sauvera pas l’album. Mais c’est meilleur que le reste. Et on termine sur un morceau plus lent, « Your Time – My Time », mid tempo pas fantastique mais à l’image globale de l’opus.
Pfff non mais quand on arrive à ce niveau faut arrêter hein… ça sert à rien de sortir un album par an si c’est pour le remplir de vide. Sur le précédent c’était absent de mélodies et là il vaudrait mieux qu’elles n’existent pas. L’album est décevant, sans accroche et je conseille vivement au groupe de se poser et de travailler dur pour composer.
Critique : SBM
Note : 4.5/10
Site du groupe : Site Officiel
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