Chronique
SONIC WINTER - MAGICAL SILVER BULLETS AND HELL BIRDSONGS / Kiwi music 2015
Voilà la naissance d'un nouveau groupe Franco-Ecossais, qui nous sort son premier album, armé de 20 titres !!! Ce collectif Européen prévoit certains arguments qui j'espère vont bien transparaître .
Aller hop c'est parti, on découvre donc ce groupe avec « Miles away », un titre plutôt rythmé qui fleure bon les 70' psychédéliques. Malgré la voix gavée d'effets ce titre fonctionne bien et quel solo final !! On continue avec la plus rock « No guts no glory » qui me fait penser à du David Bowie. Ici la voix naturelle légèrement éraillée colle parfaitement à la musique. Un bon départ qui demande à être confirmé.
Moment plus calme avec « Journeyman » qui nous fait plonger dans les 60' (On pense au Doors) avec sa mélancolie propre à ces années animées. Un joli moment fort agréable. L'instrumentale « 11 Juin 1963 » apporte pas grand chose, un titre en plus qui laisse de marbre.
Alors là petite question, qui se pose, pourquoi le son de ce « Where the wolf goes » est il aussi catastrophique !!?? Il semble sortir d'un vieil enregistrement qui n'a rien à voir avec le reste de l'album !! Vraiment dommage on dirait une démo !!! Heureusement les choses reviennent à la normale avec « Dark as sin », un petit interlude avant la rock psyché « Bad news from badsville ». Un mid tempo là encore aux fortes consonances 60' qui surprennent. Par contre « The fall of the white panther » avec plus de rythme accroche mieux l'auditeur, mais cette nouvelle instrumentale n'apporte là encore pas grand chose !!!
Place à la ballade « You call me a man », qui sonne déjà entendu, mais passe plutôt bien et permet de planer un peu plus. Aller un « Over my head » qui va vous réveiller avec son rock basique mais efficace, avant la plus lourde « Who do you want to be today ? » qui se calme par la suite. Une sorte de vieux Alice Cooper sympathique.
Un harmonica et une dobro nous accueillent le temps d'un « Ringolevio » bluesy à souhait, qui fait son effet. Une troisième instrumentale qui passe mieux.
« So cold on main street » lorgne à nouveau vers Bowie mais ne laisse pas de trace de son passage tant elle est fade !! Les choses s'améliorent semble t-il avec « Running wild flower », qui en fait est un nouvel interlude qui là encore apporte rien. Je trouve qu'il y a beaucoup de titres 'inutiles' qui prennent du temps pour rien.
C'est bien mieux avec « Love in your hands » qui est une petite chanson sympa sans prétention, qui fait son taf. « Girls from hell anthem » est la seule chanson sur laquelle le folklore Ecossais se fait entendre. Une énième instru qui, ouais bon ça va, ça passe.
« Sad rain » et son rythme rock fait plaisir. Un moment qui me fait penser à The cult, étrange !! « Sonic winter theme » est calme et joli, bien trouvé, puis revoilà « So cold on main street » en version radio (perso je ne vois pas l’intérêt) et on termine avec un « Welcome » totalement hors de propos avec de la lounge music, je m’arrêterai là vous avez sûrement compris !
Conclusion : Pour son premier vrai album Sonic Winter (rien à voir avec le personnage de Sega!!) a accouché d'un voyage dans le temps que les moins de … (je ne veux pas être désagréable) ne peuvent pas connaître. Une surprise en tout genre qui mérite son coup d'oreille. Plus qu'à trouver son public.
Aller hop c'est parti, on découvre donc ce groupe avec « Miles away », un titre plutôt rythmé qui fleure bon les 70' psychédéliques. Malgré la voix gavée d'effets ce titre fonctionne bien et quel solo final !! On continue avec la plus rock « No guts no glory » qui me fait penser à du David Bowie. Ici la voix naturelle légèrement éraillée colle parfaitement à la musique. Un bon départ qui demande à être confirmé.
Moment plus calme avec « Journeyman » qui nous fait plonger dans les 60' (On pense au Doors) avec sa mélancolie propre à ces années animées. Un joli moment fort agréable. L'instrumentale « 11 Juin 1963 » apporte pas grand chose, un titre en plus qui laisse de marbre.
Alors là petite question, qui se pose, pourquoi le son de ce « Where the wolf goes » est il aussi catastrophique !!?? Il semble sortir d'un vieil enregistrement qui n'a rien à voir avec le reste de l'album !! Vraiment dommage on dirait une démo !!! Heureusement les choses reviennent à la normale avec « Dark as sin », un petit interlude avant la rock psyché « Bad news from badsville ». Un mid tempo là encore aux fortes consonances 60' qui surprennent. Par contre « The fall of the white panther » avec plus de rythme accroche mieux l'auditeur, mais cette nouvelle instrumentale n'apporte là encore pas grand chose !!!
Place à la ballade « You call me a man », qui sonne déjà entendu, mais passe plutôt bien et permet de planer un peu plus. Aller un « Over my head » qui va vous réveiller avec son rock basique mais efficace, avant la plus lourde « Who do you want to be today ? » qui se calme par la suite. Une sorte de vieux Alice Cooper sympathique.
Un harmonica et une dobro nous accueillent le temps d'un « Ringolevio » bluesy à souhait, qui fait son effet. Une troisième instrumentale qui passe mieux.
« So cold on main street » lorgne à nouveau vers Bowie mais ne laisse pas de trace de son passage tant elle est fade !! Les choses s'améliorent semble t-il avec « Running wild flower », qui en fait est un nouvel interlude qui là encore apporte rien. Je trouve qu'il y a beaucoup de titres 'inutiles' qui prennent du temps pour rien.
C'est bien mieux avec « Love in your hands » qui est une petite chanson sympa sans prétention, qui fait son taf. « Girls from hell anthem » est la seule chanson sur laquelle le folklore Ecossais se fait entendre. Une énième instru qui, ouais bon ça va, ça passe.
« Sad rain » et son rythme rock fait plaisir. Un moment qui me fait penser à The cult, étrange !! « Sonic winter theme » est calme et joli, bien trouvé, puis revoilà « So cold on main street » en version radio (perso je ne vois pas l’intérêt) et on termine avec un « Welcome » totalement hors de propos avec de la lounge music, je m’arrêterai là vous avez sûrement compris !
Conclusion : Pour son premier vrai album Sonic Winter (rien à voir avec le personnage de Sega!!) a accouché d'un voyage dans le temps que les moins de … (je ne veux pas être désagréable) ne peuvent pas connaître. Une surprise en tout genre qui mérite son coup d'oreille. Plus qu'à trouver son public.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
Vues : 5723 fois