Chronique
VARG - END OF ALL LIES / Napalm Records 2016
La meute de VARG nous vient d’Allemagne. Fiers de conter les épopées vikings nos chers compagnons nous livrent ici leur premier méfait chez Napalm Records. Pour fêter ça les teutons font ça bien. Ils livrent l’album « The End of All Lies » en deux exemplaires. L’un en allemand, l’autre en anglais. Ça vous rappelle un certain « Carolus Rex » de Sabaton ? Moi aussi. Etant plus à l’aise avec l’anglais j’ai donc choisi cette version.
Contrairement à certains groupes du même genre, VARG ne cherche pas les longs morceaux de neuf minutes. Non là on tourne à une moyenne de 3 minutes 30.
« The Great Dictator » est une introduction où un homme fait un très beau discours aidé par un beau piano. « The End of All Lies » martèle un putain de bon riff, sur un bon gros blast des familles. On a de bonnes mélodies, un chant très death mélodique, pas mal même si je m’attendais à un registre plus grave. On envoi un « Revolution » ou le festival du circle pit si ça passe en live. Je ne m’attendais pas à ce style là. Mais faut dire que leur alliage thrash/death avec quelques mélodies typique du mouvement viking n’est pas trop mal.
« Streyfzug » continue sur la même lancée, mélodie et rapide, avec un chant assez puissant. Ça changera un peu en revanche sur « Achtung » où le l’intro est plus lente et bien plus lourd. On sentirait du Rammstein derrière tout ça. Mais le morceau continuera avec un riff très thrash et entêtant.
Malgré un début plus lent, « Darkness » rattrapera vite son retard. Grosse batterie ultra véloce, riff joué à la triple croche, version black métal. Le morceau frappe fort. Le mélange d’influence est vraiment intéressant. Je pense que ça doit bien passer en live.
Intro douce, mélodieuse et mélancolique pour un « Dance of Death » qui voit apparaitre une guest pour mon plus grand plaisir. Le morceau est très différent même musicalement. On a toujours la même brutalité au niveau du chant mais la music est moins speed, plus… cool, groovy. Pas trop mal ce morceau, malgré la chanteuse un poil trop au second plan.
« Einherjer » se lance avec des chœurs religieux, assez sympa, mais le death black du groupe déboule immédiatement, sur un couplet ultra puissant, jusqu’à un refrain chanté avec ces chœurs guerriers typiquement viking. On continue dans un déluge de brutalité et de vélocité avec « Winterstorm ». Rien de nouveau sur ce morceau mais faut dire que ça passe crème après une journée de boulot éreintante… pétage de cervicale garanti !
On termine la galette « Rain of Ash » plus posé par moment, notamment au début. Le morceau est plus varié, plus hétérogène et c’est plutôt une bonne chose car ça tranche un peu sur un album assez uni dans l’ensemble.
Amateur de sensations fortes, essayez VARG ! C’est mélodieux, surtout au niveau des riffs, puissant, suffisamment changeant pour ne pas avoir l’impression d’écouter le même morceau en boucle, ça passe bien si vous voulez un bon coup de boost ! Je regrette juste que le chant ne soit pas un peu plus caverneux à la Johan Hegg par moment.
Contrairement à certains groupes du même genre, VARG ne cherche pas les longs morceaux de neuf minutes. Non là on tourne à une moyenne de 3 minutes 30.
« The Great Dictator » est une introduction où un homme fait un très beau discours aidé par un beau piano. « The End of All Lies » martèle un putain de bon riff, sur un bon gros blast des familles. On a de bonnes mélodies, un chant très death mélodique, pas mal même si je m’attendais à un registre plus grave. On envoi un « Revolution » ou le festival du circle pit si ça passe en live. Je ne m’attendais pas à ce style là. Mais faut dire que leur alliage thrash/death avec quelques mélodies typique du mouvement viking n’est pas trop mal.
« Streyfzug » continue sur la même lancée, mélodie et rapide, avec un chant assez puissant. Ça changera un peu en revanche sur « Achtung » où le l’intro est plus lente et bien plus lourd. On sentirait du Rammstein derrière tout ça. Mais le morceau continuera avec un riff très thrash et entêtant.
Malgré un début plus lent, « Darkness » rattrapera vite son retard. Grosse batterie ultra véloce, riff joué à la triple croche, version black métal. Le morceau frappe fort. Le mélange d’influence est vraiment intéressant. Je pense que ça doit bien passer en live.
Intro douce, mélodieuse et mélancolique pour un « Dance of Death » qui voit apparaitre une guest pour mon plus grand plaisir. Le morceau est très différent même musicalement. On a toujours la même brutalité au niveau du chant mais la music est moins speed, plus… cool, groovy. Pas trop mal ce morceau, malgré la chanteuse un poil trop au second plan.
« Einherjer » se lance avec des chœurs religieux, assez sympa, mais le death black du groupe déboule immédiatement, sur un couplet ultra puissant, jusqu’à un refrain chanté avec ces chœurs guerriers typiquement viking. On continue dans un déluge de brutalité et de vélocité avec « Winterstorm ». Rien de nouveau sur ce morceau mais faut dire que ça passe crème après une journée de boulot éreintante… pétage de cervicale garanti !
On termine la galette « Rain of Ash » plus posé par moment, notamment au début. Le morceau est plus varié, plus hétérogène et c’est plutôt une bonne chose car ça tranche un peu sur un album assez uni dans l’ensemble.
Amateur de sensations fortes, essayez VARG ! C’est mélodieux, surtout au niveau des riffs, puissant, suffisamment changeant pour ne pas avoir l’impression d’écouter le même morceau en boucle, ça passe bien si vous voulez un bon coup de boost ! Je regrette juste que le chant ne soit pas un peu plus caverneux à la Johan Hegg par moment.
Critique : SBM
Note : 7.5/10
Site du groupe : Site Officiel
Vues : 5734 fois