Chronique
STEVE WALSH - SHADOWMAN / FRONTIERS RECORDS 2005
Voici le retour d’un grand nom du rock prog Steve Walsh, l’ancien chanteur de Kansas, (vous savez celui qui chanter ‘Carry on wayward son’ ou ‘Point of no return’) qui nous présente son nouvel album solo : Shadowman
Le premier titre « Rise » débute doucement une sorte de mise en ambiance avant que l’on débute réellement dans un pur style prog bien décapant. Puis se poursuit dans un esprit plus calme avant les refrains énervé bien péchu. Un début qui promet pour la suite. Le deuxième titre « Shadowman » se la joue plus rock folk, bien sympa elle passe très bien. Steve porte ce morceau sur ses épaules de par son chant, qui s’envole dans un refrain bien cool. Une sorte de voyage à travers le paysage Américain entre les plaines, les collines, et les grandes étendues sauvages. A noter une petite partie instrumentale symphonique (exécutée par Michael Romeo de Symphony X) superbe sur la fin qui apporte beaucoup.
« Davey, and the stone that rolled away » débute sur un riff bien hard pour un titre qui nous replonge dans les 70’ de par son esprit. Un titre qui donne envie de bouger grâce à une partie centrale qui remue bien. Gros passage à la sauce blues rock des 60’ avec « Keep on Knoking » qui fait bizarre au premier abord puis on se laisse prendre par ce style si communicatif, et on se surprend à reprendre le refrain, et finalement aimer ce titre entre AC/DC et les Beatles. « Page of old » arrive sur une guitare acoustique très bossa-nova, la voix de Steve se pose tranquillement pour ce titre calme bien sympatoche et super agréable à écouter. Un très joli moment à déguster sans modération tant il est plaisant. Une petite surprise, bien cool.
On reprend un style plus rythmé prog rock avec « hell is full of heroes » du pur, du dur, qui réveille mais qui à contrario n’est pas le meilleur titre. Par contre la longue « After » elle, est une belle pièce. Début rock symphonique, un bon riff un bon rythme, une superbe ambiance : que demander de plus. Les arrangements symphoniques réalisés par Michael Romeo embellissent le tout sans forcement rendre l’ensemble trop mielleux. Quelques passages orientaux viennent ‘exotiquer’ le tout et Steve se régale dans les différents moments : calmes puis emportés. Un gros titre.
Pour finir c’est « The river » une bien bonne ballade qui me rappellerai presque le gospel mélangé à un rock limite FM avec une pointe du classique, bref que du bon qui fini d’une très belle manière l’album.
Conclusion : un album sympa qui revisite différents styles à la sauce Walsh. Même si on est loin des grands groupes de prog actuels, on se laisse surprendre agréablement par ces titres mélodiques bien interprétés. A découvrir pour tout les amateurs de chansons mélodiques.
Le premier titre « Rise » débute doucement une sorte de mise en ambiance avant que l’on débute réellement dans un pur style prog bien décapant. Puis se poursuit dans un esprit plus calme avant les refrains énervé bien péchu. Un début qui promet pour la suite. Le deuxième titre « Shadowman » se la joue plus rock folk, bien sympa elle passe très bien. Steve porte ce morceau sur ses épaules de par son chant, qui s’envole dans un refrain bien cool. Une sorte de voyage à travers le paysage Américain entre les plaines, les collines, et les grandes étendues sauvages. A noter une petite partie instrumentale symphonique (exécutée par Michael Romeo de Symphony X) superbe sur la fin qui apporte beaucoup.
« Davey, and the stone that rolled away » débute sur un riff bien hard pour un titre qui nous replonge dans les 70’ de par son esprit. Un titre qui donne envie de bouger grâce à une partie centrale qui remue bien. Gros passage à la sauce blues rock des 60’ avec « Keep on Knoking » qui fait bizarre au premier abord puis on se laisse prendre par ce style si communicatif, et on se surprend à reprendre le refrain, et finalement aimer ce titre entre AC/DC et les Beatles. « Page of old » arrive sur une guitare acoustique très bossa-nova, la voix de Steve se pose tranquillement pour ce titre calme bien sympatoche et super agréable à écouter. Un très joli moment à déguster sans modération tant il est plaisant. Une petite surprise, bien cool.
On reprend un style plus rythmé prog rock avec « hell is full of heroes » du pur, du dur, qui réveille mais qui à contrario n’est pas le meilleur titre. Par contre la longue « After » elle, est une belle pièce. Début rock symphonique, un bon riff un bon rythme, une superbe ambiance : que demander de plus. Les arrangements symphoniques réalisés par Michael Romeo embellissent le tout sans forcement rendre l’ensemble trop mielleux. Quelques passages orientaux viennent ‘exotiquer’ le tout et Steve se régale dans les différents moments : calmes puis emportés. Un gros titre.
Pour finir c’est « The river » une bien bonne ballade qui me rappellerai presque le gospel mélangé à un rock limite FM avec une pointe du classique, bref que du bon qui fini d’une très belle manière l’album.
Conclusion : un album sympa qui revisite différents styles à la sauce Walsh. Même si on est loin des grands groupes de prog actuels, on se laisse surprendre agréablement par ces titres mélodiques bien interprétés. A découvrir pour tout les amateurs de chansons mélodiques.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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