Chronique
CASUS BELLI - IN THE NAME OF ROSE / LIMB MUSIC PRODUCT 2005
Cette jeune formation Grec nous sort là un second album bien prometteur. Composée du chanteur Panos Debes qui auditionna pour Judas Priest en remplacement de Rob Halford, ce groupe formé en 1997 tient bien rappeler à lui les fans de pur heavy métal
Tout commence très fort par « I’m your master » puissante et racée. Elle te prend à la gorge et ne te lâche plus. La prod est monstrueuse, mettant en valeur chaque instrument (on entant même la basse). La guitare de Panos Arvanitis rappelle par moment celle de Gus G (Firewind Dream Evil Mystic Prophecy Nightrage). Un début bien puissant.
« Vengence is my law » reprend le flambeau du heavy métal pouvant rappeler Primal Fear. Elle se déroule avec ses parties de double qui donnent le rythme et ses parties vocales mélodiques qui ponctuent le tout, puis la mélodique « Holy gates (in the name of rose) » calme le jeu tout en restant bien bonne avec son refrain sympathique à chanter. Gros métal bien puissant avec « Diamond crown ». Ce titre me fait penser au monstrueux 3eme album de Firewind (chroniqué ici même) ce qui n’est pas dérangeant mais c’est simplement que Gus G a mit la barre très haut avec son opus, donc là ça parait un peu plagié.
Très joli début avec « Edge of the knife » qui fait un peu power ballade rend très bien. Ce mid tempo mélodique nous montre le groupe sous un autre visage, un peu celui de Rage, surtout au niveau de la voix qui me fait penser à celle de Peter ‘Peavy’ Wagner (déjà présent sur la démo du groupe) et les passages symphoniques : celui des albums XIII ou Ghost. Bien sympatoche.
« Initiation (promised land) » est un mid tempo heavy sur lequel on peut bien apprécier le travail de Fotis Anagnostou à la basse. Petit break calme à la guitare avant le solo histoire de calmer l’ambiance (d’ailleurs ne fait elle pas Mystic Prophecy l’ambiance).
On retrouve le groupe énervé avec « Isolation » (c’est vrai que ça à de quoi taper sur le système d’être isolé). Un gros titre de pur heavy bien priestien surtout au niveau du refrain avec ses quelques aigus bien pensés (un peu à la Demonizer sur Angel of retrubition) : un gros morceau.
« Naked king » commence sur un riff bien heavy au petit air oriental. Un nouveau mid tempo sacrément heavy qui fait parler la poudre. Cette fois ci la voix est plus grave presque dark. Le refrain bien mélodieux contraste avec le reste. Un superbe morceau. Attaque de notes avec l’entrée de « Wrongly right » qui décape grave. Un pur titre speed démoniaque avec une voix aux intonations Ian Gillian (Deep Purple). Etrange, sinon attention à vos vertèbres elle vont souffrir, vu le rythme à soutenir.
« Eastern dance » se fait plus caméléon entre mid tempo et accélération. Un titre qui pourrait bien finir sur un album de Mystic Prophecy tant la voix et la musique s’y rapproche (dommage quand même pour l’originalité). Et pour finir une très jolie instrumentale « Whispering » acoustique et calme à des année millénaires de ce qu’on vient d’entendre : elle nous berce doucement, dans une mélodie subtile qui nous prouve tout le talent de Panos Arvanitis à la guitare. Chapeau !
Conclusion : un album qui ravira les fans de heavy métal pur souche à la sauce actuelle, même si il ne casse pas des briques (le fait aux trop nombreuses ressemblances). Il se laisse écouter très agréablement et passe avec succès la barre des albums à découvrir.
Tout commence très fort par « I’m your master » puissante et racée. Elle te prend à la gorge et ne te lâche plus. La prod est monstrueuse, mettant en valeur chaque instrument (on entant même la basse). La guitare de Panos Arvanitis rappelle par moment celle de Gus G (Firewind Dream Evil Mystic Prophecy Nightrage). Un début bien puissant.
« Vengence is my law » reprend le flambeau du heavy métal pouvant rappeler Primal Fear. Elle se déroule avec ses parties de double qui donnent le rythme et ses parties vocales mélodiques qui ponctuent le tout, puis la mélodique « Holy gates (in the name of rose) » calme le jeu tout en restant bien bonne avec son refrain sympathique à chanter. Gros métal bien puissant avec « Diamond crown ». Ce titre me fait penser au monstrueux 3eme album de Firewind (chroniqué ici même) ce qui n’est pas dérangeant mais c’est simplement que Gus G a mit la barre très haut avec son opus, donc là ça parait un peu plagié.
Très joli début avec « Edge of the knife » qui fait un peu power ballade rend très bien. Ce mid tempo mélodique nous montre le groupe sous un autre visage, un peu celui de Rage, surtout au niveau de la voix qui me fait penser à celle de Peter ‘Peavy’ Wagner (déjà présent sur la démo du groupe) et les passages symphoniques : celui des albums XIII ou Ghost. Bien sympatoche.
« Initiation (promised land) » est un mid tempo heavy sur lequel on peut bien apprécier le travail de Fotis Anagnostou à la basse. Petit break calme à la guitare avant le solo histoire de calmer l’ambiance (d’ailleurs ne fait elle pas Mystic Prophecy l’ambiance).
On retrouve le groupe énervé avec « Isolation » (c’est vrai que ça à de quoi taper sur le système d’être isolé). Un gros titre de pur heavy bien priestien surtout au niveau du refrain avec ses quelques aigus bien pensés (un peu à la Demonizer sur Angel of retrubition) : un gros morceau.
« Naked king » commence sur un riff bien heavy au petit air oriental. Un nouveau mid tempo sacrément heavy qui fait parler la poudre. Cette fois ci la voix est plus grave presque dark. Le refrain bien mélodieux contraste avec le reste. Un superbe morceau. Attaque de notes avec l’entrée de « Wrongly right » qui décape grave. Un pur titre speed démoniaque avec une voix aux intonations Ian Gillian (Deep Purple). Etrange, sinon attention à vos vertèbres elle vont souffrir, vu le rythme à soutenir.
« Eastern dance » se fait plus caméléon entre mid tempo et accélération. Un titre qui pourrait bien finir sur un album de Mystic Prophecy tant la voix et la musique s’y rapproche (dommage quand même pour l’originalité). Et pour finir une très jolie instrumentale « Whispering » acoustique et calme à des année millénaires de ce qu’on vient d’entendre : elle nous berce doucement, dans une mélodie subtile qui nous prouve tout le talent de Panos Arvanitis à la guitare. Chapeau !
Conclusion : un album qui ravira les fans de heavy métal pur souche à la sauce actuelle, même si il ne casse pas des briques (le fait aux trop nombreuses ressemblances). Il se laisse écouter très agréablement et passe avec succès la barre des albums à découvrir.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
Vues : 5744 fois