Chronique
EDGUY - HELLFIRE CLUB / NTS Wagram 2004
Voilà donc l’album tant attendu de notre quintette allemand. Il leur a fallu deux grosses années pour nous sortir cet album. Entre temps nous avons eu droit a un changement de label (ils sont chez Nuclear Blast maintenant) et un super double album live… In Paris je vous pris ! Il ne va pas s’en dire que leur album « Mandrake » m’avait un peu laisser de marbre vu le manque d’originalité. Ayant assisté à leur show case à Montpellier pour présenter leur nouvel album « Hellfire Club », mes premières impressions ont été bonnes, leur set acoustique aussi d’ailleurs. Mais venons en à cette galette. La pochette nous fait penser à celle de leur album, le meilleur pour moi, « Vain Glory Opera ».
C’est parti pour un tour, et nous attaquons la bête avec « Mysteria » : Edguy revient dans un registre plus puissant et bien plus accrocheur que ne l’a été « Mandrake ». Les grattes sont en feu, et nous avons toujours notre ADB (cf le titre « Save Us Now » du Mandrake) à la batterie. Une bonne mise en bouche. Avec le titre suivant, qui ne fait pas moins de dix minutes, « The Piper Never Dies » nous propose une intro assez banale, c’est à dire calme suivie d’un refrain à nous couper le souffle : un air entraînant et des paroles prenantes ‘Come and fly with me, and your eyes gonna see it all’ … de plus l’orchestration du morceau et les chœurs sont tout simplement énormes. Avec « We Don’t Need a Hero », « Under The Moon » & « Rise Of The Morning Glory », nous prenons un coup de speed… il faut dire que le Felix Bohnke (le ADB) s’en donne à cœur joie. Est-ce vraiment un alien ? L’intro de « Down With The Devil » me rappelle la BO de « Days Of Thunder » avec son intro au synthé et même le refrain à la guitare s’en rapproche., Tobi serait-il un fan de Nascar ? Un petit coup de « King of Fools » histoire de voir (quelle rime !) le côté délire de nos Edguy boyz. Et voilà la traditionnelle ballade « Forever », une superbe pièce en semi- acoustique. « Lavatory Love Machine » est certainement LE morceau de l’album : Jens, Dirk & Eggi se gavent, les chœurs, les bruitages, l’ambiance assez joyeuse, et un refrain d’enfer (Hell ?). Tout le monde y trouve son bonheur, un titre qui risque de nous mettre une belle claque en concert. Un peu de repos avec une interlude « Lucifer In Love » après ces titres éprouvants. On repart avec un « Navigator » qui à une intro aux sons plutôt douteux… style gémissements ! Ce sera donc un titre plus Heavy, plus lourd au niveau du son, ce qui ne dérange en aucun cas. On finira cet album sur un « The Spirit Will Remain » qui fait très BO de films, une belle ballade accompagnée d’un orchestre symphonique… un chant très opéra. Une belle chaire de poule.
Une magnifique conclusion pour cet album, qui est certainement l’album du mois ! Pour les petits veinards qui auront la version limitée vous y trouverez deux titres bonus : « Children of Steel » tiré de leur première démo, et « Mysteria » feat. Mille Petrozza !
C’est parti pour un tour, et nous attaquons la bête avec « Mysteria » : Edguy revient dans un registre plus puissant et bien plus accrocheur que ne l’a été « Mandrake ». Les grattes sont en feu, et nous avons toujours notre ADB (cf le titre « Save Us Now » du Mandrake) à la batterie. Une bonne mise en bouche. Avec le titre suivant, qui ne fait pas moins de dix minutes, « The Piper Never Dies » nous propose une intro assez banale, c’est à dire calme suivie d’un refrain à nous couper le souffle : un air entraînant et des paroles prenantes ‘Come and fly with me, and your eyes gonna see it all’ … de plus l’orchestration du morceau et les chœurs sont tout simplement énormes. Avec « We Don’t Need a Hero », « Under The Moon » & « Rise Of The Morning Glory », nous prenons un coup de speed… il faut dire que le Felix Bohnke (le ADB) s’en donne à cœur joie. Est-ce vraiment un alien ? L’intro de « Down With The Devil » me rappelle la BO de « Days Of Thunder » avec son intro au synthé et même le refrain à la guitare s’en rapproche., Tobi serait-il un fan de Nascar ? Un petit coup de « King of Fools » histoire de voir (quelle rime !) le côté délire de nos Edguy boyz. Et voilà la traditionnelle ballade « Forever », une superbe pièce en semi- acoustique. « Lavatory Love Machine » est certainement LE morceau de l’album : Jens, Dirk & Eggi se gavent, les chœurs, les bruitages, l’ambiance assez joyeuse, et un refrain d’enfer (Hell ?). Tout le monde y trouve son bonheur, un titre qui risque de nous mettre une belle claque en concert. Un peu de repos avec une interlude « Lucifer In Love » après ces titres éprouvants. On repart avec un « Navigator » qui à une intro aux sons plutôt douteux… style gémissements ! Ce sera donc un titre plus Heavy, plus lourd au niveau du son, ce qui ne dérange en aucun cas. On finira cet album sur un « The Spirit Will Remain » qui fait très BO de films, une belle ballade accompagnée d’un orchestre symphonique… un chant très opéra. Une belle chaire de poule.
Une magnifique conclusion pour cet album, qui est certainement l’album du mois ! Pour les petits veinards qui auront la version limitée vous y trouverez deux titres bonus : « Children of Steel » tiré de leur première démo, et « Mysteria » feat. Mille Petrozza !
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : Site officiel de Edguy
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