Chronique
AMARANTHE - MAXIMALISM / Spinefarm Records 2016
Le combo suédois revient à la charge en cet automne avec leur nouvel et quatrième album intitulé MAXIMALISM. En en croire le titre, le groupe veut faire les choses en grand, et optimiser sa notoriété, et même l’agrandir (ce qui est logique). Niveau pochette, l’orientation sombre et rougeâtre nous laisse penser à une orientation musicale plus profonde, plus sombre…
Cette idée se révèle en fait, fausse et ce avec le premier single du groupe « That Song » qui il faut le dire, se voit être dans une ambiance surprenante, très pop, inspirant des relents de Rihanna avec la rythmique et surtout le chant d’Elise; qui il faut le dire est toujours impeccable. Titre donc moulé pour les radios, histoire d’impacter un maximum de personnes et aussi de maximaliser le potentiel du groupe. Septique ou pas, il faut quand même se plonger dans l’album pour découvrir le décors musical de ce groupe hybride musicalement parlant
« Maximize » débarque avec ces sons électroniques habituels, annonçant aussi sa puissance pour ouvrir les concerts de la prochaine tournée. Un break, et le trio vocal se met en place et c’est partit pour un mid tempo puissant , moderne et envolé. Le refrain, simple, efficace est une nouvelle fois là pour nous faire comprendre son objectif: rester en tête.
« Boomerang » se lance et porte bien son nom. Il nous revient droit dans la face et fait hit. Toujours dans cette veine électro pop, avec quelques beats boostés par la batterie, nous ne pouvons que céder à cette dynamique et puissance musicale que le groupe réalise depuis ses débuts et ne cesse d’améliorer. S’en suit le fameux single « That Song », qui sera certainement bien décrié.
« 21 » revient mettre les choses en places avec une belle pièce agressive, mélodique et explosive au moment du refrain. La machine à tubes ne s’arrête pas, et progresse sans cesse, sans parler au milieu du titre de ce solo guitare réalisé par Olof, avec une ambiance générale appuyée par le très bon travail de Morten à la batterie. Si vous vous décidez à faire la fête, à sauter, à headbanguer, alors « On The Rocks » est ce qu’il vous faut. Henrik nous offre un performance explosive, appuyant la délicate voix d’Elize, le tout pour un refrain monstrueux. L’indifférence ne sera pas pour cette chanson, qui ne me surprendrait pas à être un des futurs singles de l’album.
Petit moment de douceur avec cette power ballade: « Limitless », qui avec des touches entre Skrillex ou Avicii nous fait entrer dans une nouvelle dimension musicale pour le combo, et sans hésitation l’essai est transformé de la plus belle des manières avec cette pépite à écouter encore et encore. Le moment de romance passé, « Fury » vient nous secouer. Avec un tel titre, on se doute pertinemment du style de musique pratiqué: arrivée électro, puis le tout s’embrase mené par un Henrik brutal et meneur. Là encore, ça fait mal et c’est bien bon. Bien entendu, le clou n’étant pas encore assez enfoncé, « Faster » vient mettre un coup consécutif, avec cette fois ci Jake en lead. L’enchainement vocal est bluffant, et on ressent cette recherche musicale et vocale faite par le groupe pour parfaire le tout. Le résultat s’en ressent. « Break Down And Cry » est mid tempo un peu plus classique pour le groupe, mais reste bien fait et intéressant.
« Supersonic » reprend les choses en main, percutant, avec des choeurs monstrueux, et surtout un refrain imparable qui fera vibrer et fera sauter le public en concert. Ambiance assurée. Avant dernier titre de l’album « Fireball » se voit être un titre hybride entre musique moderne électro, avec des beats pop et cette touche metal.
Pour le final, je ne cacherais pas mes mots: Amaranthe nous offre là sa meilleure ballade, loin devant Amaranthine, nous propulsant dans un univers cinématique, mélodique et enchanteur. « Endlessly » est un vrai joyaux sur lequel Elise au chant est majestueuse, propulsée vers les étoiles par cette harmonie de fond. Magique, tout simplement.
Que dire de plus, si ce n’est que le groupe s’essaye à beaucoup de nouvelles choses, et ça fonctionne. Les hautes sphères sont là, et ils le méritent.
Cette idée se révèle en fait, fausse et ce avec le premier single du groupe « That Song » qui il faut le dire, se voit être dans une ambiance surprenante, très pop, inspirant des relents de Rihanna avec la rythmique et surtout le chant d’Elise; qui il faut le dire est toujours impeccable. Titre donc moulé pour les radios, histoire d’impacter un maximum de personnes et aussi de maximaliser le potentiel du groupe. Septique ou pas, il faut quand même se plonger dans l’album pour découvrir le décors musical de ce groupe hybride musicalement parlant
« Maximize » débarque avec ces sons électroniques habituels, annonçant aussi sa puissance pour ouvrir les concerts de la prochaine tournée. Un break, et le trio vocal se met en place et c’est partit pour un mid tempo puissant , moderne et envolé. Le refrain, simple, efficace est une nouvelle fois là pour nous faire comprendre son objectif: rester en tête.
« Boomerang » se lance et porte bien son nom. Il nous revient droit dans la face et fait hit. Toujours dans cette veine électro pop, avec quelques beats boostés par la batterie, nous ne pouvons que céder à cette dynamique et puissance musicale que le groupe réalise depuis ses débuts et ne cesse d’améliorer. S’en suit le fameux single « That Song », qui sera certainement bien décrié.
« 21 » revient mettre les choses en places avec une belle pièce agressive, mélodique et explosive au moment du refrain. La machine à tubes ne s’arrête pas, et progresse sans cesse, sans parler au milieu du titre de ce solo guitare réalisé par Olof, avec une ambiance générale appuyée par le très bon travail de Morten à la batterie. Si vous vous décidez à faire la fête, à sauter, à headbanguer, alors « On The Rocks » est ce qu’il vous faut. Henrik nous offre un performance explosive, appuyant la délicate voix d’Elize, le tout pour un refrain monstrueux. L’indifférence ne sera pas pour cette chanson, qui ne me surprendrait pas à être un des futurs singles de l’album.
Petit moment de douceur avec cette power ballade: « Limitless », qui avec des touches entre Skrillex ou Avicii nous fait entrer dans une nouvelle dimension musicale pour le combo, et sans hésitation l’essai est transformé de la plus belle des manières avec cette pépite à écouter encore et encore. Le moment de romance passé, « Fury » vient nous secouer. Avec un tel titre, on se doute pertinemment du style de musique pratiqué: arrivée électro, puis le tout s’embrase mené par un Henrik brutal et meneur. Là encore, ça fait mal et c’est bien bon. Bien entendu, le clou n’étant pas encore assez enfoncé, « Faster » vient mettre un coup consécutif, avec cette fois ci Jake en lead. L’enchainement vocal est bluffant, et on ressent cette recherche musicale et vocale faite par le groupe pour parfaire le tout. Le résultat s’en ressent. « Break Down And Cry » est mid tempo un peu plus classique pour le groupe, mais reste bien fait et intéressant.
« Supersonic » reprend les choses en main, percutant, avec des choeurs monstrueux, et surtout un refrain imparable qui fera vibrer et fera sauter le public en concert. Ambiance assurée. Avant dernier titre de l’album « Fireball » se voit être un titre hybride entre musique moderne électro, avec des beats pop et cette touche metal.
Pour le final, je ne cacherais pas mes mots: Amaranthe nous offre là sa meilleure ballade, loin devant Amaranthine, nous propulsant dans un univers cinématique, mélodique et enchanteur. « Endlessly » est un vrai joyaux sur lequel Elise au chant est majestueuse, propulsée vers les étoiles par cette harmonie de fond. Magique, tout simplement.
Que dire de plus, si ce n’est que le groupe s’essaye à beaucoup de nouvelles choses, et ça fonctionne. Les hautes sphères sont là, et ils le méritent.
Critique : Lionel
Note : 9.5/10
Site du groupe : Site de Amaranthe
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