Chronique
BEYOND THE BLACK - LOST IN FOREVER / UDR 2017
Deuxième album et deuxième pressage pour cet album. Sorti en l’année dernière chez Airforce1 Records, ce « Lost in Forever » se voit être repressé par le nouveau label du groupe UDR. Une ressortie qui propulse immédiatement le groupe dans la cours des grands leur offrant d’ouvrir pour la monstrueuse tournée d’Epica et Powerwolf.
Mais au delà de cette mise en avant conséquente et assez rapide, nous nous trouvons confrontés à un énième groupe à chanteuse. Petit bonus quand même, cette version de l’album se retrouve avec quatre nouveaux titres histoire que tout le monde s’y retrouve.
Débutant sur le titre éponyme « Lost in Forever », le groupe nous plonge dans son univers de metal symphonique à la Epica: structure musicale et vocale avec le duo chant féminin et growl. S’en suit par contre une première pépite regroupant la magie de groupes comme Blackmore’s Night et la puissance sonore, plus l’énergie teuton qui font de ce titre en duo avec Rick Altzi (Masterplan) une petite perle captivante.
« Written in blood », au delà de son intro délicate et triturée nous plonge dans un univers musical plus posé qui s’envole sur un refrain sur puissant, appuyé par des choeurs, sans oublier une production monstrueuse (sacré boulot d’ailleurs!). Nous tombons rapidement dans la première ballade « Against in the world », semi acoustique et délicieuse sur laquelle Jennifer nous fait bien vibrer. Pas exceptionnelle mais ‘catchy and so lovely’.
La suite se fait avec un « Beyond the mirror » qui là encore nous change d’univers et d’ambiance. Tout en restant sobre et posé, les harmonies et la dynamique celtique à la The Corrs version rock nous font passer un moment des plus sympathique.
La continuité de l’album n’est que toute logique. Au delà de cette grosse production, les morceaux s’enchaînent les uns après les autres avec unité et aisance. Des petites pépites se glissent ici et là histoire de satisfaire cette sensation de découverte de ce combo qui apporte fraicheur et énergie à un style copié de nombreuses fois et assez redondant en général, voire même tellement plagié que l’intérêt disparait.
Ici que néni, les dix sept morceaux (oui vous lisez bien!!!) se laissent écouter sans problèmes, ne laissant pas de place à la lassitude mais plus à un réel plaisir musical mélodique porteur.
Le bonus? Un final tout simplement gigantesque avec un « Rage before the storm » qui commence avec délicatesse quand soudainement Herbie Langhans (Beyond The Bridge / Avantasia) vient poser sa voix et le tout s’embrase littéralement. La patience est d’or, et finir ce disque sur cette bombe est la cerise sur la gateau.
Aussi, je dirais tout simplement Merci au groupe pour redorer le blason des groupes à chanteuse qui commençait sérieusement à tomber en berne.
Mais au delà de cette mise en avant conséquente et assez rapide, nous nous trouvons confrontés à un énième groupe à chanteuse. Petit bonus quand même, cette version de l’album se retrouve avec quatre nouveaux titres histoire que tout le monde s’y retrouve.
Débutant sur le titre éponyme « Lost in Forever », le groupe nous plonge dans son univers de metal symphonique à la Epica: structure musicale et vocale avec le duo chant féminin et growl. S’en suit par contre une première pépite regroupant la magie de groupes comme Blackmore’s Night et la puissance sonore, plus l’énergie teuton qui font de ce titre en duo avec Rick Altzi (Masterplan) une petite perle captivante.
« Written in blood », au delà de son intro délicate et triturée nous plonge dans un univers musical plus posé qui s’envole sur un refrain sur puissant, appuyé par des choeurs, sans oublier une production monstrueuse (sacré boulot d’ailleurs!). Nous tombons rapidement dans la première ballade « Against in the world », semi acoustique et délicieuse sur laquelle Jennifer nous fait bien vibrer. Pas exceptionnelle mais ‘catchy and so lovely’.
La suite se fait avec un « Beyond the mirror » qui là encore nous change d’univers et d’ambiance. Tout en restant sobre et posé, les harmonies et la dynamique celtique à la The Corrs version rock nous font passer un moment des plus sympathique.
La continuité de l’album n’est que toute logique. Au delà de cette grosse production, les morceaux s’enchaînent les uns après les autres avec unité et aisance. Des petites pépites se glissent ici et là histoire de satisfaire cette sensation de découverte de ce combo qui apporte fraicheur et énergie à un style copié de nombreuses fois et assez redondant en général, voire même tellement plagié que l’intérêt disparait.
Ici que néni, les dix sept morceaux (oui vous lisez bien!!!) se laissent écouter sans problèmes, ne laissant pas de place à la lassitude mais plus à un réel plaisir musical mélodique porteur.
Le bonus? Un final tout simplement gigantesque avec un « Rage before the storm » qui commence avec délicatesse quand soudainement Herbie Langhans (Beyond The Bridge / Avantasia) vient poser sa voix et le tout s’embrase littéralement. La patience est d’or, et finir ce disque sur cette bombe est la cerise sur la gateau.
Aussi, je dirais tout simplement Merci au groupe pour redorer le blason des groupes à chanteuse qui commençait sérieusement à tomber en berne.
Critique : Lionel
Note : 8.5/10
Site du groupe : Site de Beyond The Black
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