Chronique
JOACIM CANS - BEYOND THE GATES / Noise Records - Sanctuary
C’est la grande tendance du moment : les projets solos. Cette fois ci c’est notre ami chanteur d’HammerFall qui s’y colle. Et devinez qui est à la guitare ? Stefan Elmgren guitariste d’ HammerFall. Rien qu’à voir ça, je suis inquiet, car si c’est pour écouter du HammerFall sur un projet solo, cela n’est pas très intéressant (bien que j’adore le groupe). La pochette a un esprit très sombre : sorcière et monstres.
Le premier titre de l’album « Fields of Yesterday » ne m’emballe pas tant que ça, cela garde un esprit très HF. Par contre le suivant « Soul Collector » est bien plus sombre, est bien plus attrayante, mais je ne suis pas encore satisfait de ce projet. Une « Red Light » , dont un clip vidéo a été fait, nous montre que Mr Cans cherche a se différencier au niveau musical (vis à vis de HF) en prenant, une rythmique plus sombre et directe, un bon solo guitare et un esprit moins chevaleresque. Il y avait mieux comme titre pour faire un clip vidéo quand même. Le titre « Back to Hell » ne varie pas beaucoup des titres précédents, mis à part que c’est au batteur (Mark Zonder) de s’amuser. Voici le titre track, et c’est à partir de ce morceau que l’album devient attractif. Une intro calme, ambiance guitare acoustique accompagnée de la voix de Joacim, et une claque avec une reprise très heavy, un bon refrain, c’est parti pour aller au delà des portes et botter le derrière de la sorcière ! « The Key » est un des meilleurs titres de l’album : des chœurs (de femmes !) de folie, la rythmique batterie nous enrôle pour un départ à la guerre, un chant très bien posé. Une superbe compo, je n’en attendait pas moins. Il est temps d’arriver dans le « Garden of Evil » où nous sommes accueillis par une belle partition jouée à la basse (Mat Sinner), un autre bon morceau dont nous nous souviendrons facilement du refrain. On revient dans un registre où la puissance est à l’ordre du jour : « Merciless » & « Silent Crimes ». Encore une fois, la rythmique batterie est énorme… et les caisses claires sont prêtes à exploser. Dans ce monde sombre, un bon « Dream » n’est pas de refus, il y a des chœurs, une belle présence du synthé, une voix bien calme dans ce monde de brutes. Quelques petits « Signs » à l’aide d’un fou furieux sur la double pédale et d’accros de la corde pour nous indiquer le chemin pour nous mener sur la fin de cet album avec un « Forever Ends », je ne l’espère pas, car j’attend de voir ce que nous réserve notre ami sur scène et sur son futur opus.
En conclusion : un album assez long à démarrer, mais qui une fois lancer, passe très bien.
Le premier titre de l’album « Fields of Yesterday » ne m’emballe pas tant que ça, cela garde un esprit très HF. Par contre le suivant « Soul Collector » est bien plus sombre, est bien plus attrayante, mais je ne suis pas encore satisfait de ce projet. Une « Red Light » , dont un clip vidéo a été fait, nous montre que Mr Cans cherche a se différencier au niveau musical (vis à vis de HF) en prenant, une rythmique plus sombre et directe, un bon solo guitare et un esprit moins chevaleresque. Il y avait mieux comme titre pour faire un clip vidéo quand même. Le titre « Back to Hell » ne varie pas beaucoup des titres précédents, mis à part que c’est au batteur (Mark Zonder) de s’amuser. Voici le titre track, et c’est à partir de ce morceau que l’album devient attractif. Une intro calme, ambiance guitare acoustique accompagnée de la voix de Joacim, et une claque avec une reprise très heavy, un bon refrain, c’est parti pour aller au delà des portes et botter le derrière de la sorcière ! « The Key » est un des meilleurs titres de l’album : des chœurs (de femmes !) de folie, la rythmique batterie nous enrôle pour un départ à la guerre, un chant très bien posé. Une superbe compo, je n’en attendait pas moins. Il est temps d’arriver dans le « Garden of Evil » où nous sommes accueillis par une belle partition jouée à la basse (Mat Sinner), un autre bon morceau dont nous nous souviendrons facilement du refrain. On revient dans un registre où la puissance est à l’ordre du jour : « Merciless » & « Silent Crimes ». Encore une fois, la rythmique batterie est énorme… et les caisses claires sont prêtes à exploser. Dans ce monde sombre, un bon « Dream » n’est pas de refus, il y a des chœurs, une belle présence du synthé, une voix bien calme dans ce monde de brutes. Quelques petits « Signs » à l’aide d’un fou furieux sur la double pédale et d’accros de la corde pour nous indiquer le chemin pour nous mener sur la fin de cet album avec un « Forever Ends », je ne l’espère pas, car j’attend de voir ce que nous réserve notre ami sur scène et sur son futur opus.
En conclusion : un album assez long à démarrer, mais qui une fois lancer, passe très bien.
Critique : Lionel
Note : 7/10
Site du groupe : Site officiel de Joacim Cans
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