Chronique
GRAHAM BONNET BAND - LIVE HERE COMES THE NIGHT / Frontiers records 2017
C'est avec toujours beaucoup de plaisir que je me penche sur le cas de ce chanteur atypique. Et après être revenu sur le devant de la scène avec un très bon opus, le voici dessus pour ce Live enregistré lors du festival organisé par son label. Un tour d'horizon de sa superbe discographie qui fait saliver.
Pas de grosse surprise en entrée avec « Eyes of the world » de Rainbow qui nous présente un son très, trop propre, qui laisse des doutes sur sa véracité. Pour le reste le groupe qui l'accompagne semble très pro mais manque de pêche le tout cumulé à la voix de Graham qui a perdu de son peps (le bougre à 69 ans on peut pas trop lui en vouloir) donne un rendu pataud. Dommage car la qualité des titres n'est plus à faire !!
Le public présent est respectueux et semble t-il important, difficile à dire car très peu mis en valeur (une constante déroutante chez nos amis Italiens).
Niveau set list elle fait évidement la part belle à l'age d'or de notre homme avec les tubes de Rainbow, Michael Schenker Group, Alcatrazz et Impellitteri, dommage qu'au moins un titre de son album solo ne se soit pas invité au vu de leurs qualités.
Mention spéciale à son guitariste Conrado Pesinato pour son boulot pas si facile au vu des légendes auxquelles il doit s'attaquer.
Ce concert se déroule simplement et durant presque 1h15 permet de se replonger dans la vie d'un artiste hors norme et malheureusement trop sous estimé. Je ferais quand même mon chiant (ce qui me connaissent le savent) mais les pauses entre chaque titre c'est barbant, impossible de rester connecté au concert.
Alors oui c'est pas parfait et notre Graham souffre par moment mais à d'autres il est irrésistible (Suffer me) et on se dit que le même 25 ans en arrière aurait tout explosé.
Mais on ne peut rien contre le temps qui file...
01. Eyes Of The World
02. All Night Long
03. S.O.S.
04. Stand In Line
05. God blessed video
06. Will You Be Home Tonight
07. Jet To Jet
08. Night Games
09. Suffer Me
10. Dancer
11. Desert Song
12. Island In The Sun
13. Since You Been Gone
14. Assault Attack
15. Lost In Hollywood
Conclusion : Pour son premier Live Graham offre ce qu'on attend de lui rien de plus. Dommage que malgré le talent indéniable de ses musiciens le rendu soit si mou du genou. Un moment mitigé entre joie nostalgique et tristesse du temps qui passe.
Pas de grosse surprise en entrée avec « Eyes of the world » de Rainbow qui nous présente un son très, trop propre, qui laisse des doutes sur sa véracité. Pour le reste le groupe qui l'accompagne semble très pro mais manque de pêche le tout cumulé à la voix de Graham qui a perdu de son peps (le bougre à 69 ans on peut pas trop lui en vouloir) donne un rendu pataud. Dommage car la qualité des titres n'est plus à faire !!
Le public présent est respectueux et semble t-il important, difficile à dire car très peu mis en valeur (une constante déroutante chez nos amis Italiens).
Niveau set list elle fait évidement la part belle à l'age d'or de notre homme avec les tubes de Rainbow, Michael Schenker Group, Alcatrazz et Impellitteri, dommage qu'au moins un titre de son album solo ne se soit pas invité au vu de leurs qualités.
Mention spéciale à son guitariste Conrado Pesinato pour son boulot pas si facile au vu des légendes auxquelles il doit s'attaquer.
Ce concert se déroule simplement et durant presque 1h15 permet de se replonger dans la vie d'un artiste hors norme et malheureusement trop sous estimé. Je ferais quand même mon chiant (ce qui me connaissent le savent) mais les pauses entre chaque titre c'est barbant, impossible de rester connecté au concert.
Alors oui c'est pas parfait et notre Graham souffre par moment mais à d'autres il est irrésistible (Suffer me) et on se dit que le même 25 ans en arrière aurait tout explosé.
Mais on ne peut rien contre le temps qui file...
01. Eyes Of The World
02. All Night Long
03. S.O.S.
04. Stand In Line
05. God blessed video
06. Will You Be Home Tonight
07. Jet To Jet
08. Night Games
09. Suffer Me
10. Dancer
11. Desert Song
12. Island In The Sun
13. Since You Been Gone
14. Assault Attack
15. Lost In Hollywood
Conclusion : Pour son premier Live Graham offre ce qu'on attend de lui rien de plus. Dommage que malgré le talent indéniable de ses musiciens le rendu soit si mou du genou. Un moment mitigé entre joie nostalgique et tristesse du temps qui passe.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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