Chronique
REVOLUTION SAINTS - LIGHT IN THE DARK / Frontiers Music 2017
Voir ce trio revenir avec un nouvel album est un peu le cadeau de cette fin d’année. Ce, tout simplement parce que nous avons l’habitude que les ‘super groupes’ de l’écurie italienne Frontiers Music ne soient que des One Shot.
Passons outre cette petite histoire et plongeons nous dans ce Light In The Dark qui avec son premier single au titre éponyme, reprend là où Revolution Saints (nom du premier album aussi) s’était arrêté, à savoir du rock mélodique enjoué, léger et porteur. Le ressentit du premier opus refait surface et c’est ce que nous attendions. Les musiciens font la musique à leur sauce sans pour autant s’inspirer de leurs groupes d’origines. Le second single « I wouldn’t change a thing » quant à lui se voit être plus conventionnel, et surtout taillé pour la radio. Choix pas surprenant avec cette ballade piano / chant menée par Deen Castronovo toujours captivant.
Pour ce qui est de l’album il débute avec le titre éponyme. « Freedom » se voit être plus posée et plus percutante, avec une ambiance plus lourde et agressive. Un mid tempo sur lequel Doug Aldrich nous transcende avec sa dextérité; sans parler du solo synthé / guitare halluciant. Un hymne parfait pour lancer la révolution. Chose faite sur « Ride On » avec son rythme qui s’embrase et explose pour rentrer dans un ensemble rapide, mélodique et puissant histoire de diversifier les panel musical du groupe sur ce début d’albums. Chose qui se poursuit avec l’arrivée de la ballade / deuxième single « I wouldn’t change a thing ». Ces quatre titres montrent sans problème le champ de jeu du trio, et ce sans forcer.
« Don’t surrender » se voit être dans une lignée plus Hard FM façon 90’s mais tout en gardant cette touche de gaieté qui fait la patte du groupe. Un pur plaisir, dans lequel Mr Aldrich vient nous scotcher avec un solo monstrueusement limpide et efficace. Le groupe continue d’augmenter l’intensité de ses morceaux avec « Take You Down » et « The Storm Inside » qui ne sont pas là pour faire dans la dentelle, ni dans le mélodique pompeux et réchauffé. Ici on innove et on avance.
« Can’t run away from love » vient faire la petite coupure, nous permettant de nous remettre de nos émotions avec délicatesse, à travers une nouvelle power ballade, qui il faut le dire est bien mieux que la première. On s’en délecte avec grande satisfaction soit-il dit en passant.
Le rock mélodique reprend sa place sur « Rock on the edge » qui fait de ce ‘retour’ un moment électrisant avec un single potentiel. Au delà de son intro sereine, « Another Chance » poursuit l’avancée avec entrain, qui nous explose à la figure sur son pré refrain / refrain histoire de nous clouer le bec et nous montrer que le groupe est plein de ressources. D’ailleurs, pour le final, « Falling Apart » ce sera un bon mid tempo, délicat et très mélodique qui laissera notre esprit s’évader avec joie et bonne humeur.
Conclusion: deuxième album et deuxième réussite. Un vrai bonheur qu’est ce groupe, tout comme les musiciens en soit. Une pépite à découvrir et à écouter sans modération. Comme quoi le rock mélodique a encore de beaux jours devant lui.
Passons outre cette petite histoire et plongeons nous dans ce Light In The Dark qui avec son premier single au titre éponyme, reprend là où Revolution Saints (nom du premier album aussi) s’était arrêté, à savoir du rock mélodique enjoué, léger et porteur. Le ressentit du premier opus refait surface et c’est ce que nous attendions. Les musiciens font la musique à leur sauce sans pour autant s’inspirer de leurs groupes d’origines. Le second single « I wouldn’t change a thing » quant à lui se voit être plus conventionnel, et surtout taillé pour la radio. Choix pas surprenant avec cette ballade piano / chant menée par Deen Castronovo toujours captivant.
Pour ce qui est de l’album il débute avec le titre éponyme. « Freedom » se voit être plus posée et plus percutante, avec une ambiance plus lourde et agressive. Un mid tempo sur lequel Doug Aldrich nous transcende avec sa dextérité; sans parler du solo synthé / guitare halluciant. Un hymne parfait pour lancer la révolution. Chose faite sur « Ride On » avec son rythme qui s’embrase et explose pour rentrer dans un ensemble rapide, mélodique et puissant histoire de diversifier les panel musical du groupe sur ce début d’albums. Chose qui se poursuit avec l’arrivée de la ballade / deuxième single « I wouldn’t change a thing ». Ces quatre titres montrent sans problème le champ de jeu du trio, et ce sans forcer.
« Don’t surrender » se voit être dans une lignée plus Hard FM façon 90’s mais tout en gardant cette touche de gaieté qui fait la patte du groupe. Un pur plaisir, dans lequel Mr Aldrich vient nous scotcher avec un solo monstrueusement limpide et efficace. Le groupe continue d’augmenter l’intensité de ses morceaux avec « Take You Down » et « The Storm Inside » qui ne sont pas là pour faire dans la dentelle, ni dans le mélodique pompeux et réchauffé. Ici on innove et on avance.
« Can’t run away from love » vient faire la petite coupure, nous permettant de nous remettre de nos émotions avec délicatesse, à travers une nouvelle power ballade, qui il faut le dire est bien mieux que la première. On s’en délecte avec grande satisfaction soit-il dit en passant.
Le rock mélodique reprend sa place sur « Rock on the edge » qui fait de ce ‘retour’ un moment électrisant avec un single potentiel. Au delà de son intro sereine, « Another Chance » poursuit l’avancée avec entrain, qui nous explose à la figure sur son pré refrain / refrain histoire de nous clouer le bec et nous montrer que le groupe est plein de ressources. D’ailleurs, pour le final, « Falling Apart » ce sera un bon mid tempo, délicat et très mélodique qui laissera notre esprit s’évader avec joie et bonne humeur.
Conclusion: deuxième album et deuxième réussite. Un vrai bonheur qu’est ce groupe, tout comme les musiciens en soit. Une pépite à découvrir et à écouter sans modération. Comme quoi le rock mélodique a encore de beaux jours devant lui.
Critique : Lionel
Note : 8.5/10
Site du groupe : Page Facebook du groupe
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