Chronique
HOODED MENACE - OSSUARIUM SILHOUETTES UNHALLOWED / Season of Mist 2018
Le combo finlandais de HOODED MENACE revient en ce mois de janvier, au plein cœur de l’hiver pour nous offrir sa glaciale offrande. Reconnu pour la qualité de ses compositions, surtout depuis « Never Cross The Dead ».
En effet, dès les premières notes de ce « Ossuarium Silhouettes Unhallowed », on sent une maîtrise du registre. « Sempiternal Grotesquerie » est en effet un lent voyage progressif vers les horizons inhérents au groupe. Très progressif, changeant, leur doom teinté de death aura aussi quelques élans de heavy.
L’ambiance sur l’album reste tout de même sombre, et quelque part violente. Déjà le doom j’en rêve pas tous les jours mais là j’ai du mal. Oui ils posent un univers qui leur est propre, oui la prod colle parfaitement, mais franchement un morceau comme « Cathedral of Labyrinthine Darkness » je m’ennuie.
La rythmique est lente, lancinante même, les mélodies sont tantôt accrocheuses, tantôt neutres, certains riffs de cassure sont bien trouvés, ainsi que certains soli. Mais voilà, la recherche d’un son, d’un univers doit-il être mis avant la recherche d’efficacité ? Oui je sais c’est un bien grand débat, mais dans des cas comme ça je dis non.
Un adepte du genre y trouvera son compte je ne dis pas le contraire. Mais franchement trois des morceaux (sur six) démarre de la même façon ! Seul « Charnel Reflections », un peu plus mélancolique, plus doux change de ce côté. Malheureusement j’ai l’impression d’écouter un morceau de 41 minutes divisé en six chapitres avec un thème récurrent.
Encore une fois, je ne critique pas la qualité de la création, il y a une volonté et un travail acharné dans cette d’identité. Mais voilà c’est, pour moi, ennuyeux au possible. Le doom je peux définitivement pas. Je suis pour l’expérimentation, pour la nouveauté et ne pas se reposer sur ses acquis. Mais là c’est trop dur.
En effet, dès les premières notes de ce « Ossuarium Silhouettes Unhallowed », on sent une maîtrise du registre. « Sempiternal Grotesquerie » est en effet un lent voyage progressif vers les horizons inhérents au groupe. Très progressif, changeant, leur doom teinté de death aura aussi quelques élans de heavy.
L’ambiance sur l’album reste tout de même sombre, et quelque part violente. Déjà le doom j’en rêve pas tous les jours mais là j’ai du mal. Oui ils posent un univers qui leur est propre, oui la prod colle parfaitement, mais franchement un morceau comme « Cathedral of Labyrinthine Darkness » je m’ennuie.
La rythmique est lente, lancinante même, les mélodies sont tantôt accrocheuses, tantôt neutres, certains riffs de cassure sont bien trouvés, ainsi que certains soli. Mais voilà, la recherche d’un son, d’un univers doit-il être mis avant la recherche d’efficacité ? Oui je sais c’est un bien grand débat, mais dans des cas comme ça je dis non.
Un adepte du genre y trouvera son compte je ne dis pas le contraire. Mais franchement trois des morceaux (sur six) démarre de la même façon ! Seul « Charnel Reflections », un peu plus mélancolique, plus doux change de ce côté. Malheureusement j’ai l’impression d’écouter un morceau de 41 minutes divisé en six chapitres avec un thème récurrent.
Encore une fois, je ne critique pas la qualité de la création, il y a une volonté et un travail acharné dans cette d’identité. Mais voilà c’est, pour moi, ennuyeux au possible. Le doom je peux définitivement pas. Je suis pour l’expérimentation, pour la nouveauté et ne pas se reposer sur ses acquis. Mais là c’est trop dur.
Critique : SBM
Note : 5/10
Site du groupe : Site Officiel
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