Chronique
SAVAGE CIRCUS – DREAMLAND MANOR / Dockyard 1 Records
Qui, fan de power métal, ne connaît pas le batteur Thomen Stauch ? Après avoir quitté le groupe, mythique (il faut le dire)Blind Guardian, voilà que notre compère arrive avec des compos persos, digne d’un grand Blind guardian. Le changement ? Et bien déjà le line-up qui va en scotcher plus d’un de part les noms mais aussi de part sa puissance au niveau du résultat.
A la basse et à la guitare (à la prod aussi) ce n’est pas moins que le cher Piet Sielck (Iron Savior). Pour la seconde guitare, c’est Emil Norberg (Persuader) qui s’y colle. Maintenant, le chant. Avec un tel line-up et de telles compos, il nous fallait bien une voix dévastatrice. Bingo, voilà que Jens Carlsson (Persuader) arrive. Ca y est, le monde est chaud, la guerre est déclenchée.
L’album attaque directement avec « Evil Eyes » qui est un concentré de puissance et de beauté. Ca fuse de tous les côtés, les mélodies sont énormes, la musique bouleversante, et le chant dévastateur et des chœurs…. Wow !. Un esprit proche de Blind Guardian, personne ne pourra le nier. A noter que ce morceau a été choisi pour le clip vidéo de l’album.
Un morceau qui va en marquer plus d’un c’est sur, il se nomme « Between the devil and the seas ». L’intro se fait au synthé dans une ambiance manège envouté, comme si on était dans un manoir damné. Une ambiance sombre s’empare de nous, la voix de Jens est envoûtante. Le mélange de heavy germanique et de épique australien c’est de la dynamite (et non pas ovomaltine). Il faut dire que la prod de Piet apporte énormément aussi.
Le titre suivant arrive avec douceur et se nomme « Waltz of the demon ». Une superbe arrivée qui fait penser à la chanson ‘Bard’s song’ avant une dose d’énergie pour un mid tempo fracassant avec un chant surprenant, des riffs de tueurs au niveau du solo, une superbe mélodie. Je ne vois pas ce qu’il manque honnêtement.
On continue avec « Tomorrowland » qui lui arrive guitares en avant, avec une sorte de marche militaire/guerrière pour annoncer la bataille. Et une claque, une s’il vous plaît. Elle est servie sur un plateau d’argent. Ca pétarade de tous les côtés, les cordes se font titiller à fond, la performance de Thomen irréprochable.
Pas de chichis, voilà « It – The gathering » qui se présente. Il ne manque pas à l’appel. Le côté guerrier est une nouvelle fois bien présent et motive les troupe de par son énergie et son dynamisme. La basse de Piet se bien entendre, les chœurs viennent appuyés la voix de Jens qui parfois fait des passages vocaux en solo pour encore plus d’effet sur cet ensemble de douceur et d’agressivité.
A qui le tour ? Et bien c’est « Beyond reality » qui lève la main. Une ambiance légère et délicate se met en place histoire de reposer les membres de notre corps qui s’agitent depuis un bon moment. Une belle ballade enivrante, un moment de douceur dans ce monde de brute. Le refrain est exquis, rempli de finesse, et se glissant sans accrocs dans nos oreilles.
Avec « When hell awakes » changement de registre. Le monde où règne rapidité et puissance est de retour pour remettre nos cervicales à dure épreuve. Un rythme soutenu, un chant d’enfer, une ambiance lourde et un metal sortant des enfers pour montrer que l’on peut encore faire du bon métal à notre époque.
Il le fallait bien dans un manoir, Casper se montre enfin avec « Ghost Story ». En l’occurrence cela serait même plus du Beetlejuice vu le côté sombre de la musique. Chant léger pour coller à l’esprit machiavélique des fantômes ici présents. Un mid tempo au début qui se transforme rapidement en dark power métal.
Dernier morceau de cet album, déjà, et il se nomme « Born again by the night ». Le rythme s’accélère, ce n’est pas parce que c’est la fin qu’on se relâche bien au contraire. Un couplet un poil plus calme avant de rentrer dans le refrain qui est énorme et bien speed.
Conclusion : un superbe album entre Blind Guardian et Gamma Ray. Du vrai bonheur tout simplement, fait pour tous ceux qui aiment la puissance, les mélodies et un chant hargneux.
A la basse et à la guitare (à la prod aussi) ce n’est pas moins que le cher Piet Sielck (Iron Savior). Pour la seconde guitare, c’est Emil Norberg (Persuader) qui s’y colle. Maintenant, le chant. Avec un tel line-up et de telles compos, il nous fallait bien une voix dévastatrice. Bingo, voilà que Jens Carlsson (Persuader) arrive. Ca y est, le monde est chaud, la guerre est déclenchée.
L’album attaque directement avec « Evil Eyes » qui est un concentré de puissance et de beauté. Ca fuse de tous les côtés, les mélodies sont énormes, la musique bouleversante, et le chant dévastateur et des chœurs…. Wow !. Un esprit proche de Blind Guardian, personne ne pourra le nier. A noter que ce morceau a été choisi pour le clip vidéo de l’album.
Un morceau qui va en marquer plus d’un c’est sur, il se nomme « Between the devil and the seas ». L’intro se fait au synthé dans une ambiance manège envouté, comme si on était dans un manoir damné. Une ambiance sombre s’empare de nous, la voix de Jens est envoûtante. Le mélange de heavy germanique et de épique australien c’est de la dynamite (et non pas ovomaltine). Il faut dire que la prod de Piet apporte énormément aussi.
Le titre suivant arrive avec douceur et se nomme « Waltz of the demon ». Une superbe arrivée qui fait penser à la chanson ‘Bard’s song’ avant une dose d’énergie pour un mid tempo fracassant avec un chant surprenant, des riffs de tueurs au niveau du solo, une superbe mélodie. Je ne vois pas ce qu’il manque honnêtement.
On continue avec « Tomorrowland » qui lui arrive guitares en avant, avec une sorte de marche militaire/guerrière pour annoncer la bataille. Et une claque, une s’il vous plaît. Elle est servie sur un plateau d’argent. Ca pétarade de tous les côtés, les cordes se font titiller à fond, la performance de Thomen irréprochable.
Pas de chichis, voilà « It – The gathering » qui se présente. Il ne manque pas à l’appel. Le côté guerrier est une nouvelle fois bien présent et motive les troupe de par son énergie et son dynamisme. La basse de Piet se bien entendre, les chœurs viennent appuyés la voix de Jens qui parfois fait des passages vocaux en solo pour encore plus d’effet sur cet ensemble de douceur et d’agressivité.
A qui le tour ? Et bien c’est « Beyond reality » qui lève la main. Une ambiance légère et délicate se met en place histoire de reposer les membres de notre corps qui s’agitent depuis un bon moment. Une belle ballade enivrante, un moment de douceur dans ce monde de brute. Le refrain est exquis, rempli de finesse, et se glissant sans accrocs dans nos oreilles.
Avec « When hell awakes » changement de registre. Le monde où règne rapidité et puissance est de retour pour remettre nos cervicales à dure épreuve. Un rythme soutenu, un chant d’enfer, une ambiance lourde et un metal sortant des enfers pour montrer que l’on peut encore faire du bon métal à notre époque.
Il le fallait bien dans un manoir, Casper se montre enfin avec « Ghost Story ». En l’occurrence cela serait même plus du Beetlejuice vu le côté sombre de la musique. Chant léger pour coller à l’esprit machiavélique des fantômes ici présents. Un mid tempo au début qui se transforme rapidement en dark power métal.
Dernier morceau de cet album, déjà, et il se nomme « Born again by the night ». Le rythme s’accélère, ce n’est pas parce que c’est la fin qu’on se relâche bien au contraire. Un couplet un poil plus calme avant de rentrer dans le refrain qui est énorme et bien speed.
Conclusion : un superbe album entre Blind Guardian et Gamma Ray. Du vrai bonheur tout simplement, fait pour tous ceux qui aiment la puissance, les mélodies et un chant hargneux.
Critique : Lionel
Note : 9/10
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