Chronique
MELTED SPACE - DARKENING LIGHT / Socadisc 2018
Le projet de Pierre Le Pape revient vers nous pour un 4ème opus. Perso je découvre juste aujourd'hui cet univers riche et complet en invités.
Dès l’entame de « The void before » on plonge dans cette ambiance symphonique et mélodique et « Newborns » poursuit avec dévotion un métal haut en couleur où le chant féminin est prédominant. Les intervenants masculins se succèdent pour agrémenter l'histoire.
Le chant extrême entre en jeu avec « The meaning of this place » qui par la suite se veut bien plus lyrique que prévu. Du pur métal symphonique année 2000. On accélère le rythme sur la frénétique « From the beginning to the end » qui se rapproche presque d'un Dimmu Borgir. Un mix intéressant sans être forcément original.
La speed et classique « The dawn of man (i'm alive!) » voit le grand Jeff Scott Soto faire des étincelles sur ce titre efficace.
Et on continue sur un rythme effréné avec « Trust in me » qui lorgne vers le Death Mélodique. Un autre univers qui fait varier les propos mais aussi perturbe un peu l'auditeur. Changement total avec la ballade « Regrets » qui lorgne autant vers du Nightwish que du Dimmu Borgir. Étrange et surprenant.
On voyage à nouveau aux limites du Black Symphonique avec « Man and future » qui prouve que ce projet est à la frontière de différents styles. On revient à quelque chose de plus simple avec « Missing creed » qui n'en demeure pas moins riche, puis « Fallen world » clôture cette histoire à grands coups d'orchestration et de riff made in dans ta gueule !
Conclusion : Voilà un album particulier, varié et riche en émotions différentes, ce Darkening light ne fait pas les choses à moitié et intéressera les plus aventuriers d'entre nous.
Dès l’entame de « The void before » on plonge dans cette ambiance symphonique et mélodique et « Newborns » poursuit avec dévotion un métal haut en couleur où le chant féminin est prédominant. Les intervenants masculins se succèdent pour agrémenter l'histoire.
Le chant extrême entre en jeu avec « The meaning of this place » qui par la suite se veut bien plus lyrique que prévu. Du pur métal symphonique année 2000. On accélère le rythme sur la frénétique « From the beginning to the end » qui se rapproche presque d'un Dimmu Borgir. Un mix intéressant sans être forcément original.
La speed et classique « The dawn of man (i'm alive!) » voit le grand Jeff Scott Soto faire des étincelles sur ce titre efficace.
Et on continue sur un rythme effréné avec « Trust in me » qui lorgne vers le Death Mélodique. Un autre univers qui fait varier les propos mais aussi perturbe un peu l'auditeur. Changement total avec la ballade « Regrets » qui lorgne autant vers du Nightwish que du Dimmu Borgir. Étrange et surprenant.
On voyage à nouveau aux limites du Black Symphonique avec « Man and future » qui prouve que ce projet est à la frontière de différents styles. On revient à quelque chose de plus simple avec « Missing creed » qui n'en demeure pas moins riche, puis « Fallen world » clôture cette histoire à grands coups d'orchestration et de riff made in dans ta gueule !
Conclusion : Voilà un album particulier, varié et riche en émotions différentes, ce Darkening light ne fait pas les choses à moitié et intéressera les plus aventuriers d'entre nous.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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