Chronique
THE DEAD DAISIES - BURN IT DOWN / Spitfire Music 2018
Quatre albums studios et un album live en cinq années, autant dire que le combo américano-australien ne chaume pas.
Ce nouvel et quatrième album « Burn it down » est intéressant dans le sens où un nouveau batteur rejoint la formation. Il s’agit de Deen Castronovo, le compère de Doug Aldrich dans Revolution Saints. Intéressant car nous savons que ce dernier est un excellent chanteur. Ce pourrait être donc la personne qui donne un coup de boost supplémentaire à ce groupe qui comme à son habitude, veut prouver qu’il en a sous le pied et ce malgré le C.V global.
Effectivement, le groupe en a encore sous le pied car instantanément avec ce « Resurrected » l’atmosphère se met à chauffer voire brûler. Un hors d’oeuvre qui met l’eau à la bouche avec ce rock hargneux, limpide et direct sans pour autant faire dans la simplicité mais en plaçant ces mélodies / harmonies ici et là histoire de faire mouche. Pas de fioritures et on ressent parfaitement cette homogénéité au seing du groupe.
Cette efficacité est tellement en place qu’il faut dire que les quarante cinq minutes de cet album passent à une vitesse fulgurante. On se demande même si la fiction n’a pas dépassé la réalité. Bien entendu, et heureusement, cet album n’est pas uniforme. Que ce soit entre le talent et l’expression de chaque musicien ou par le travail général, chacun montre qu’il apporte sa touche personnelle ce qui rend des morceaux comme « Bitch » ou encore « Dead and gone » puissantes et encore plus délectables.
On notera aussi un clin d’oeil à une des plus grandes influences du groupe avec leur reprise de « Revolution » des Beatles qui conclue cet album avec brio et délicatesse.
Au final, on peut considérer ce « Burn it down » comme un antonyme car non, nous ne brulerons pas ce dernier mais c’est plutôt lui qui chauffera à force de tourner dans notre platine. Un album reflétant parfaitement ses membres: joyeux, dynamique et prenant.
Ce nouvel et quatrième album « Burn it down » est intéressant dans le sens où un nouveau batteur rejoint la formation. Il s’agit de Deen Castronovo, le compère de Doug Aldrich dans Revolution Saints. Intéressant car nous savons que ce dernier est un excellent chanteur. Ce pourrait être donc la personne qui donne un coup de boost supplémentaire à ce groupe qui comme à son habitude, veut prouver qu’il en a sous le pied et ce malgré le C.V global.
Effectivement, le groupe en a encore sous le pied car instantanément avec ce « Resurrected » l’atmosphère se met à chauffer voire brûler. Un hors d’oeuvre qui met l’eau à la bouche avec ce rock hargneux, limpide et direct sans pour autant faire dans la simplicité mais en plaçant ces mélodies / harmonies ici et là histoire de faire mouche. Pas de fioritures et on ressent parfaitement cette homogénéité au seing du groupe.
Cette efficacité est tellement en place qu’il faut dire que les quarante cinq minutes de cet album passent à une vitesse fulgurante. On se demande même si la fiction n’a pas dépassé la réalité. Bien entendu, et heureusement, cet album n’est pas uniforme. Que ce soit entre le talent et l’expression de chaque musicien ou par le travail général, chacun montre qu’il apporte sa touche personnelle ce qui rend des morceaux comme « Bitch » ou encore « Dead and gone » puissantes et encore plus délectables.
On notera aussi un clin d’oeil à une des plus grandes influences du groupe avec leur reprise de « Revolution » des Beatles qui conclue cet album avec brio et délicatesse.
Au final, on peut considérer ce « Burn it down » comme un antonyme car non, nous ne brulerons pas ce dernier mais c’est plutôt lui qui chauffera à force de tourner dans notre platine. Un album reflétant parfaitement ses membres: joyeux, dynamique et prenant.
Critique : Lionel
Note : 8.5/10
Site du groupe : Site du groupe
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