Chronique
JAMES CHRISTAIN - CRAVING / Frontiers records 2018
Deuxième album solo pour le chanteur de House of Lords qui a sûrement des choses intéressantes à dire. Après son hommage à la vie, voici la suite des aventures de notre survivant.
On débute sur un bon « Heaven is a place in hell » plutôt efficace et très Aor. On reconnaît de suite sa patte et on se laisse prendre au jeu. A la suite c'est toujours dans cette bonne humeur qu'arrive « Wild boys ». On sent que notre homme a la pêche et qu'il a envie de la partager avec nous.
« Craving » se veut plus calme et acoustique, une ballade comme notre homme sait les faire. Un exercice toujours réussi. On reprend un peu de rythme avec la mélodique et pop « Jesus wept » qui passe bien, avant que ne débarque la plus anecdotique ballade « World of possibility », qui ne m'accroche pas vraiment.
Enfin le vrai rock refait son apparition sur un « Sidewinder » des plus convainquant !! Ça remet du baume au cœur !! Ambiance particulière pour « I won't cry » qui est une semi ballade plutôt sympa très marquée par les années 80.
Avec « If there's a god » plus besoin de se demander de quoi vous voulez bien parler James, et il le fait sur un titre mou et aérien qui me laisse de marbre.
Par contre l'aspect blues de « Love is the answer » semble bien meilleur. Un mid tempo groovy qui passe bien malgré un refrain trop mielleux. Un riff tout droit sorti de House of Lords arrive avec « Black wasn't black » qui aurait très bien pu finir sur un album de son groupe. Enfin quelque chose qui décape à fond !!
On termine par une ballade en forme de prière : « Amen ». Un moment presque gênant, mais joli.
Conclusion : Pour cet album James Christian n'a pas fait dans la subtilité pour son message sur fond de musique souvent trop gentille. Dommage car il y a de bien bonnes idées noyées dans un océan mièvre.
On débute sur un bon « Heaven is a place in hell » plutôt efficace et très Aor. On reconnaît de suite sa patte et on se laisse prendre au jeu. A la suite c'est toujours dans cette bonne humeur qu'arrive « Wild boys ». On sent que notre homme a la pêche et qu'il a envie de la partager avec nous.
« Craving » se veut plus calme et acoustique, une ballade comme notre homme sait les faire. Un exercice toujours réussi. On reprend un peu de rythme avec la mélodique et pop « Jesus wept » qui passe bien, avant que ne débarque la plus anecdotique ballade « World of possibility », qui ne m'accroche pas vraiment.
Enfin le vrai rock refait son apparition sur un « Sidewinder » des plus convainquant !! Ça remet du baume au cœur !! Ambiance particulière pour « I won't cry » qui est une semi ballade plutôt sympa très marquée par les années 80.
Avec « If there's a god » plus besoin de se demander de quoi vous voulez bien parler James, et il le fait sur un titre mou et aérien qui me laisse de marbre.
Par contre l'aspect blues de « Love is the answer » semble bien meilleur. Un mid tempo groovy qui passe bien malgré un refrain trop mielleux. Un riff tout droit sorti de House of Lords arrive avec « Black wasn't black » qui aurait très bien pu finir sur un album de son groupe. Enfin quelque chose qui décape à fond !!
On termine par une ballade en forme de prière : « Amen ». Un moment presque gênant, mais joli.
Conclusion : Pour cet album James Christian n'a pas fait dans la subtilité pour son message sur fond de musique souvent trop gentille. Dommage car il y a de bien bonnes idées noyées dans un océan mièvre.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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