Chronique
BULLET FOR MY VALENTINE - GRAVITY / Spinefarm Records 2018
En ces temps de coupe du monde de football et d’euphorie du côté de la grande reine, les ‘so british’ de Bullet For My Valentine débarquent, en cette période intense de lutte pour le première place, avec leur nouvel et sixième album intitulé « Gravity ».
Ambiance et période oblige, cet album sera traité un peu comme l’évènement sportif actuel.
Attaquant la rencontre avec ce saut de la foi (ndlr « Leap of Faith »), c’est avec enthousiasme que l’ouverture se fait sur un titre à la structure habituelle. Habituelle dans le sens ou l’alternance entre les passages posés et plus mélodiques sont alternés avec le côté plus brutal et moderne avec chant grunt à l’appui. Pas de grosse surprise mais la mise en bouche se fait avec facilité laisse espérer du bon pour la suite.
Et c’est là que l’on pourrait Deschamp(ter) (ok, désolé pour le jeu de mot mais c’était trop tentant). Les neufs premiers morceaux, soit en somme quatre vingt pour cent de la rencontre, se passent sur cette même ligne directrice.
Pas de moments d’ennuis car les morceaux sont vraiment bien ficelés, nous taclant ici et là, jouant par moment un peu à la passe à dix (pourtant ils ne sont pas français… *blague*) et font de ces enchainement un moment plus que plaisant mais où l’on recherche cette tentative supplémentaire, ce moment de folie qui ferait exploser le tout et changer la donne. Quelques moments apparaissent nous faisant légèrement trembler avec par exemple le titre éponyme « Gravity ».
On remarquera en troisième position « Letting you go » qui ne sera pas le titre de la partie mais qui tirera sont épingle du jeu. Car il faut le dire, on aurait pu croire aux prolongations éventuelles avec cette quasi régularité musicale mais le numéro dix « Don’t need you » vient mettre ce but que l’on attendait tant et qui nous fait bondir du canapé, sauter et nous fait vibrer.
Qu’on se le dise, même si l’on parle de régularité, cet album n’en reste pas moins très intéressant et ce pour plusieurs raisons. La première vient de la production qui est monstrueuse et qui arrive à rendre des titres ‘basiques’ de Bullet For My Valentine pour des titres prenants et porteurs. La seconde raison vient de cet ensemble qui est parfaitement unifié et se laisse découvrir aisément, et sur lequel on reviendra plusieurs fois et qui nous fera toujours autant planer et nous envoutera aussi avec des morceaux comme « The Very Last Time » soit-il dit en passant.
Donc oui, le groupe s’ouvre sur une musique plus ouvertement orientée grand public mais arrive aussi à garder son identité originelle et ce que l’on aime !
Ambiance et période oblige, cet album sera traité un peu comme l’évènement sportif actuel.
Attaquant la rencontre avec ce saut de la foi (ndlr « Leap of Faith »), c’est avec enthousiasme que l’ouverture se fait sur un titre à la structure habituelle. Habituelle dans le sens ou l’alternance entre les passages posés et plus mélodiques sont alternés avec le côté plus brutal et moderne avec chant grunt à l’appui. Pas de grosse surprise mais la mise en bouche se fait avec facilité laisse espérer du bon pour la suite.
Et c’est là que l’on pourrait Deschamp(ter) (ok, désolé pour le jeu de mot mais c’était trop tentant). Les neufs premiers morceaux, soit en somme quatre vingt pour cent de la rencontre, se passent sur cette même ligne directrice.
Pas de moments d’ennuis car les morceaux sont vraiment bien ficelés, nous taclant ici et là, jouant par moment un peu à la passe à dix (pourtant ils ne sont pas français… *blague*) et font de ces enchainement un moment plus que plaisant mais où l’on recherche cette tentative supplémentaire, ce moment de folie qui ferait exploser le tout et changer la donne. Quelques moments apparaissent nous faisant légèrement trembler avec par exemple le titre éponyme « Gravity ».
On remarquera en troisième position « Letting you go » qui ne sera pas le titre de la partie mais qui tirera sont épingle du jeu. Car il faut le dire, on aurait pu croire aux prolongations éventuelles avec cette quasi régularité musicale mais le numéro dix « Don’t need you » vient mettre ce but que l’on attendait tant et qui nous fait bondir du canapé, sauter et nous fait vibrer.
Qu’on se le dise, même si l’on parle de régularité, cet album n’en reste pas moins très intéressant et ce pour plusieurs raisons. La première vient de la production qui est monstrueuse et qui arrive à rendre des titres ‘basiques’ de Bullet For My Valentine pour des titres prenants et porteurs. La seconde raison vient de cet ensemble qui est parfaitement unifié et se laisse découvrir aisément, et sur lequel on reviendra plusieurs fois et qui nous fera toujours autant planer et nous envoutera aussi avec des morceaux comme « The Very Last Time » soit-il dit en passant.
Donc oui, le groupe s’ouvre sur une musique plus ouvertement orientée grand public mais arrive aussi à garder son identité originelle et ce que l’on aime !
Critique : Lionel
Note : 8/10
Site du groupe : Site du groupe
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