Chronique
THORGEN – CHEMIN DES DAMES / BRENNUS 2005
Cette formation française nous sort là son 2eme album. Traitant de sujets comme la religion, l’amour, le suicide, la fatalité et un hommage sur des hauts faits de la grande guerre sur fond de heavy mélodique, Thorgen a des choses à dire et va les dire.
« Prélude » nous accompagne dans une jolie ambiance quasi celte guitare sèche et violon. Quelque passage électrique et une narration qui nous explique le concept de l’album.
« Résigner » ouvre avec une grosse basse puis tout se réuni. Le son est faible mais assez propre. La voix d’yves est bien mais il ne me paraît pas toujours chanter dans ses capacités, pas qu’il soit faux mais pas totalement dans son élément. Musicalement leur heavy mélodique sonne bien. Deuxième exemple avec « Terroriste » plus rythmé elle fait décoller un peu plus cet album. Coté texte, on se rapproche de certains groupes des 80’ pas dans une grande poésie (pas comme Manigance si vous préférez) mais on comprend de suite où il veulent en venir (c’est le plus important).
« Les sectes » speed bien un bon heavy bien rythmé avec quelque passage plus calme. Par contre les hauteurs d’Yves sont moyennes, on sent qu’il force le bougre. Tout cela est pas mal mais pas transcendant. Petit passage lourd à voix black, réalisé par Tenebrius Rex de Eternal Rest, puis on repart. Intro acoustique pour « Bénie soit elle » : une ambiance comme l’intro bien sympa pour un titre heavy avec un violon en fond accompagné par des synthés donnant un coté guerrier plutôt cool.
« Comme un ange » poursuit toujours dans la même veine. C’est pas mal mais cela manque d’accroche : dommage, on s’en lasse vite. Petit violon tristounet pour « Toi » une très jolie musique pour une ballade bien sympa. Des paroles jolies, un bien bon moment.
« Lingekopf » elle, c’est du pur, du dur. Un titre qui ne rigole pas on les sent impliqués dans ces textes. Une musique puissante et vibrante.
« La voix sacrée » retombe un peu dans les titres mid tempos sans plus, enfin ce n’est quand même pas mauvais c’est juste un peu plat. La titre track commence déjà mieux, est ce que le fait d’y avoir invité Louis XV (ex ADX) y est pour quelque chose ? Un titre plus hard rock qui relève le niveau. Niveau guitare aussi c’est plus intéressant. Le refrain quand à lui est bien sympa et se chante facilement.
« Fatalité » commence sur un riff bien métal, encore un titre bien intéressant, du pur métal qui décape. Pour terminer « Le dernier jour » commence de manière sombre. Synthé sinistre et riff lugubre, un titre qui ne rigole pas du tout. Une conclusion assez sinistre qui fait bizarre.
Conclusion : un album sympa mais qui manque d’accroche par moment ce qui le rend trop plat. Il leur reste encore du travail pour parvenir à quelque chose de meilleur mais il faut bien apprendre de ses erreurs : aller la prochaine c’est la bonne !
« Prélude » nous accompagne dans une jolie ambiance quasi celte guitare sèche et violon. Quelque passage électrique et une narration qui nous explique le concept de l’album.
« Résigner » ouvre avec une grosse basse puis tout se réuni. Le son est faible mais assez propre. La voix d’yves est bien mais il ne me paraît pas toujours chanter dans ses capacités, pas qu’il soit faux mais pas totalement dans son élément. Musicalement leur heavy mélodique sonne bien. Deuxième exemple avec « Terroriste » plus rythmé elle fait décoller un peu plus cet album. Coté texte, on se rapproche de certains groupes des 80’ pas dans une grande poésie (pas comme Manigance si vous préférez) mais on comprend de suite où il veulent en venir (c’est le plus important).
« Les sectes » speed bien un bon heavy bien rythmé avec quelque passage plus calme. Par contre les hauteurs d’Yves sont moyennes, on sent qu’il force le bougre. Tout cela est pas mal mais pas transcendant. Petit passage lourd à voix black, réalisé par Tenebrius Rex de Eternal Rest, puis on repart. Intro acoustique pour « Bénie soit elle » : une ambiance comme l’intro bien sympa pour un titre heavy avec un violon en fond accompagné par des synthés donnant un coté guerrier plutôt cool.
« Comme un ange » poursuit toujours dans la même veine. C’est pas mal mais cela manque d’accroche : dommage, on s’en lasse vite. Petit violon tristounet pour « Toi » une très jolie musique pour une ballade bien sympa. Des paroles jolies, un bien bon moment.
« Lingekopf » elle, c’est du pur, du dur. Un titre qui ne rigole pas on les sent impliqués dans ces textes. Une musique puissante et vibrante.
« La voix sacrée » retombe un peu dans les titres mid tempos sans plus, enfin ce n’est quand même pas mauvais c’est juste un peu plat. La titre track commence déjà mieux, est ce que le fait d’y avoir invité Louis XV (ex ADX) y est pour quelque chose ? Un titre plus hard rock qui relève le niveau. Niveau guitare aussi c’est plus intéressant. Le refrain quand à lui est bien sympa et se chante facilement.
« Fatalité » commence sur un riff bien métal, encore un titre bien intéressant, du pur métal qui décape. Pour terminer « Le dernier jour » commence de manière sombre. Synthé sinistre et riff lugubre, un titre qui ne rigole pas du tout. Une conclusion assez sinistre qui fait bizarre.
Conclusion : un album sympa mais qui manque d’accroche par moment ce qui le rend trop plat. Il leur reste encore du travail pour parvenir à quelque chose de meilleur mais il faut bien apprendre de ses erreurs : aller la prochaine c’est la bonne !
Critique : Guillaume
Note : 6/10
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