Chronique
CHRIS CAFFERY - JESTER\'S COURT / Metalville 2018
Le grand Chris Caffery (Savatage) nous revient de manière très (trop) discrète nous présenter son déjà 6ème album. Faisant suite à un raté sans nom, j'espère que notre 6 cordiste va se retrouver.
Aller ça part de là avec un « Upon the knee » qui semble déjà bien sympa. Un bon riff de bonnes idées et nous voilà engagés dans du réussi. « 1989 » prend le relais pour un bain de nostalgie qui rappellera les débuts de Chris chez Savatage (Gutter Ballet). Un morceau qui se rapproche de ceux des premiers albums. L'inspiration semble être de retour !!
Place à la longue « Lost tonight » qui débute de manière sombre, pour un mid tempo lugubre. Le refrain se veut quant à lui lumineux pour ne pas sombrer dans des méandres. Dommage que rien ne décolle réellement dans ce morceau finalement pataud. « Magic man » reprend du métal plus conventionnel et fait son boulot. Un moment plus emballé qui redonne le sourire.
Un peu de légèreté avec l'acoustique « Protect my soul », qui met l'ambiance et apporte une certaine fraîcheur bienvenue !! Puis un « Inside my heart » classique mais efficace déboule pour notre plus grand plaisir. Ici pas de concession, du pur métal années 80 !
On poursuit dans le même esprit avec un rapide « Luna major ». Une instrumentale simple qui fait bien évidement la part belle à la guitare de Chris mais pas que ! « Watch » est quant à lui plus étrange, un titre très groovy mais pas totalement convaincant.
C'est au piano que débute « The feeling of a white lie », qui n'est pas une ballade mais un mid tempo plutôt strange. Et ce n'est pas « Checkmate » qui va changer la donne avec son intro façon catch. Un titre trop barré pour moi.
La guitare débarque tous riffs dehors pour un « The jester's court » qui envoie des pieds !! Là je dis oui !! Et on termine avec « Bay you and i » la ballade de l'album, qui ne casse pas trois pattes à un canard boiteux.
Conclusion : Pour son nouvel album Chris Caffery a retrouvé de l'inspiration qui lui a fait si cruellement défaut et continue de nous proposer sa vision si particulière du métal.
Aller ça part de là avec un « Upon the knee » qui semble déjà bien sympa. Un bon riff de bonnes idées et nous voilà engagés dans du réussi. « 1989 » prend le relais pour un bain de nostalgie qui rappellera les débuts de Chris chez Savatage (Gutter Ballet). Un morceau qui se rapproche de ceux des premiers albums. L'inspiration semble être de retour !!
Place à la longue « Lost tonight » qui débute de manière sombre, pour un mid tempo lugubre. Le refrain se veut quant à lui lumineux pour ne pas sombrer dans des méandres. Dommage que rien ne décolle réellement dans ce morceau finalement pataud. « Magic man » reprend du métal plus conventionnel et fait son boulot. Un moment plus emballé qui redonne le sourire.
Un peu de légèreté avec l'acoustique « Protect my soul », qui met l'ambiance et apporte une certaine fraîcheur bienvenue !! Puis un « Inside my heart » classique mais efficace déboule pour notre plus grand plaisir. Ici pas de concession, du pur métal années 80 !
On poursuit dans le même esprit avec un rapide « Luna major ». Une instrumentale simple qui fait bien évidement la part belle à la guitare de Chris mais pas que ! « Watch » est quant à lui plus étrange, un titre très groovy mais pas totalement convaincant.
C'est au piano que débute « The feeling of a white lie », qui n'est pas une ballade mais un mid tempo plutôt strange. Et ce n'est pas « Checkmate » qui va changer la donne avec son intro façon catch. Un titre trop barré pour moi.
La guitare débarque tous riffs dehors pour un « The jester's court » qui envoie des pieds !! Là je dis oui !! Et on termine avec « Bay you and i » la ballade de l'album, qui ne casse pas trois pattes à un canard boiteux.
Conclusion : Pour son nouvel album Chris Caffery a retrouvé de l'inspiration qui lui a fait si cruellement défaut et continue de nous proposer sa vision si particulière du métal.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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