Chronique
VOLA - APPLAUSE OF A DISTANT CROWND / Mascott records 2018
Après un premier opus qui avait fait sensation mais auquel j'ai eu du mal à accrocher voilà que nos Danois remettent le couvert pour un plongeon dans leur univers si particulier.
Tout commence avec « We are thin air » et sa grosse guitare. D'entrée le groupe reprend sa recette si caractéristique, en plaçant des moments aériens et mélodiques sur ses grosses guitares Heavy. Envoûtant au possible ! A la suite « Ghosts » se veut plus pop et éthéré. Un voyage intense qui rappelle quelque peu leurs compatriotes de Leprous.
Après quelques bruitages électroniques, arrive un très gros riff qui lance « Smartfriend ». Un gros morceau que voilà, lourd et spatial à la fois qui met en valeur le caractère unique de Vola. « Ruby pool » se lance dans un titre lancinant et hypnotique. Juste une mélodie répétée et une voix douce et aigue, fragile et sensible. Là encore on ne peut pas rester indifférent.
Pour « Alien shivers » on trouve un riff Djent servant de base à des couplets planants au possible. Là encore Leprous n'est pas loin. Début calme pour « Vertigo » qui nous plonge dans une ambiance mélancolique. Un moment court mais qui laisse des traces.
La guitare lourde revient avec « Still » qui apporte un peu de chaleur et de rythme. Place à la title track, qui reste dans la mouvance des débuts. Un passage plutôt calme et simple, qui se laisse écouter la tête vidée par cette atmosphère.
« Whaler » déboule à grand coup de guitare pour le passage le plus Heavy de l'album. Un très bon titre qui fait grandement plaisir ! On termine par « Green screen mother » et son piano triste. Une sorte d'outro sombre mais prenante !!
Conclusion : Pour son second opus Vola aura simplifié sa recette tout en gardant la substantifique moelle qui fait son charme. Plus facile d’accès tout en étant grandement envoûtant, la parfaite recette de la réussite.
Tout commence avec « We are thin air » et sa grosse guitare. D'entrée le groupe reprend sa recette si caractéristique, en plaçant des moments aériens et mélodiques sur ses grosses guitares Heavy. Envoûtant au possible ! A la suite « Ghosts » se veut plus pop et éthéré. Un voyage intense qui rappelle quelque peu leurs compatriotes de Leprous.
Après quelques bruitages électroniques, arrive un très gros riff qui lance « Smartfriend ». Un gros morceau que voilà, lourd et spatial à la fois qui met en valeur le caractère unique de Vola. « Ruby pool » se lance dans un titre lancinant et hypnotique. Juste une mélodie répétée et une voix douce et aigue, fragile et sensible. Là encore on ne peut pas rester indifférent.
Pour « Alien shivers » on trouve un riff Djent servant de base à des couplets planants au possible. Là encore Leprous n'est pas loin. Début calme pour « Vertigo » qui nous plonge dans une ambiance mélancolique. Un moment court mais qui laisse des traces.
La guitare lourde revient avec « Still » qui apporte un peu de chaleur et de rythme. Place à la title track, qui reste dans la mouvance des débuts. Un passage plutôt calme et simple, qui se laisse écouter la tête vidée par cette atmosphère.
« Whaler » déboule à grand coup de guitare pour le passage le plus Heavy de l'album. Un très bon titre qui fait grandement plaisir ! On termine par « Green screen mother » et son piano triste. Une sorte d'outro sombre mais prenante !!
Conclusion : Pour son second opus Vola aura simplifié sa recette tout en gardant la substantifique moelle qui fait son charme. Plus facile d’accès tout en étant grandement envoûtant, la parfaite recette de la réussite.
Critique : Guillaume
Note : 8.5/10
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