Chronique
WARREL DANE - SHADOW WORK / Century media 2018
Après sa mort brutale, lors de l'enregistrement de ce deuxième album solo, Warrel revient d'entre les morts pour un dernier au revoir. Un opus bien sûr très émouvant que voilà.
Une intro ambiante « Ethereal Blessing » pose les bases, la voix envoûtante de Warrel est surprenante mais prenante, avant de balancer un « Madame Satan » très, très proche de Nevermore ! Un titre puissant et technique qui rappelle les grandes heures de notre chanteur.
A la suite on reste dans le même esprit avec « Disconnection System » qui permet de voir que malgré le fait que ce soit les prises des démos qui ont fini sur l'album, le travail vocal était déjà exquis ! Musicalement il est vrai qu'on pourrait vraiment croire à un opus de Nevermore tant tout y ressemble.
Début à la lead guitare pour la plus mélodique « As Fast as the Others » qui permet de respirer et de profiter d'un Warrel plus habité et limite flippant. Heureusement que les passages plus aérien font leur effet. On repart très fort avec la tonitruante « Shadow Work » qui enfonce le clou ! Cette voix rampante est loin d’être rassurante, comme si ses démons parlaient à sa place. Une fois de plus on reste dans un état second à son écoute.
Puis la presque Death mélodique « The hanging garden » déboule à 200 à l'heure et pulvérise un clou plus qu'enfoncé !! Début calme pour « Rain » qui est pourrait-on dire la ballade de l'opus. Un moment extrêmement mélancolique.
L'histoire se conclu avec un « Mother is the word of god » et ses 9 minutes 30, de métal psychotique. Une avalanche d'émotions diverses qui nous parcourt l'esprit, jusqu'au silence définitif et là on sait que c'est fini pour toujours.
Conclusion : Il n'est pas évident de noter cet opus, car entre son côté d'outre-tombe et le fait que cela ne soit qu'une partie d'un ensemble plus conséquent, et en plus pas totalement fini !!! Un dernier hommage à cette voix unique qui aura fait vibrer les métalleux que nous sommes.
Une intro ambiante « Ethereal Blessing » pose les bases, la voix envoûtante de Warrel est surprenante mais prenante, avant de balancer un « Madame Satan » très, très proche de Nevermore ! Un titre puissant et technique qui rappelle les grandes heures de notre chanteur.
A la suite on reste dans le même esprit avec « Disconnection System » qui permet de voir que malgré le fait que ce soit les prises des démos qui ont fini sur l'album, le travail vocal était déjà exquis ! Musicalement il est vrai qu'on pourrait vraiment croire à un opus de Nevermore tant tout y ressemble.
Début à la lead guitare pour la plus mélodique « As Fast as the Others » qui permet de respirer et de profiter d'un Warrel plus habité et limite flippant. Heureusement que les passages plus aérien font leur effet. On repart très fort avec la tonitruante « Shadow Work » qui enfonce le clou ! Cette voix rampante est loin d’être rassurante, comme si ses démons parlaient à sa place. Une fois de plus on reste dans un état second à son écoute.
Puis la presque Death mélodique « The hanging garden » déboule à 200 à l'heure et pulvérise un clou plus qu'enfoncé !! Début calme pour « Rain » qui est pourrait-on dire la ballade de l'opus. Un moment extrêmement mélancolique.
L'histoire se conclu avec un « Mother is the word of god » et ses 9 minutes 30, de métal psychotique. Une avalanche d'émotions diverses qui nous parcourt l'esprit, jusqu'au silence définitif et là on sait que c'est fini pour toujours.
Conclusion : Il n'est pas évident de noter cet opus, car entre son côté d'outre-tombe et le fait que cela ne soit qu'une partie d'un ensemble plus conséquent, et en plus pas totalement fini !!! Un dernier hommage à cette voix unique qui aura fait vibrer les métalleux que nous sommes.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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