Chronique
TRAMP’ WHITE LION – ROCKING THE USA / FRONTIERS RECORDS 2005
Petite présentation, Mike Tramp est le chanteur du groupe White Lion qui eu un sérieux succès dans les années 80 avec en autre l’album ‘Pride’. Puis comme beaucoup de ces groupes il y a eu le split. Et comme certain groupe, actuellement, il y a eu la reformations. Vous suivez !
C’est comme ça qu’aujourd’hui nous nous retrouvons avec ce double album live de ce bon vieux lion blanc mais rebaptisé Tramp’s White Lion. A noter que Vito Bratta guitariste d’origine ne participe pas à cette reformation, tout comme tous les autres membres du groupe.
« Light and thunder » attaque d’emblé. Le son est très bon on entend aisément tous les instruments, et que dire de Mike si ce n’est nickel. Petit reproche commencer par un mid tempo un concert c’est osé car on entre difficilement dedans. Niveau ambiance ça manque un peu aussi, on entend quasiment pas le public (il y en a un ?). Pour la suite « Hungry » nous fait décoller comme il faut. Un titre plus entraînant qui décape bien. Jamie Law fait étale de son talent de gratteux émérite (pas facile de remplacer Vito Bratta). Sans temps mort « Lonely night » prend place avec sa jolie mélodie et son refrain imparable. Ah la la quelle magie ce groupe bien aider par la voix particulière d’un Mike Tramp en grande forme.
« Love don’t come easy » arrive après quelques mots échangés avec le public (donc oui il y en a un). Un titre beaucoup plus mélodique qui fait retomber l’ambiance, mais ce n’est pas encore l’endormissement. C’est d’une voix touchante que Mike annonce la sublime « Broken heart ». Une douce intro qui fait de suite son petit effet puis ça démarre et là c’est l’extase. Ce titre sur scène sonne d’enfer ! Un petit solo de gratte pour finir et c’est l’enchaînement avec le heavy « Fight to survive » encore un très grand moment de bonheur, toujours emmené par un, décidément, très grand Mike, accompagné par de véritables mercenaires de la musique et ce refrain quel pied émormissime.
On calme le jeu avec le très mélodique et joli « Cry for freedom ». Un titre qui rappellera à ceux qui connaissent les albums solos de Mike. Un bien joli moment en perspective. Autre jolie intro avec « You’re all i need » à nouveau proche des sublimes ballades de Mike en solitaire. Un titre poignant porté par l’émotion : là encore un très grand moment.
Pour finir ce 1er CD « Little fighter » va vous faire rocker dans votre chaumière. Un titre péchu plein de bonnes choses.
Deuxième CD et c’est « It’s over » qui débarque avec un très joli solo de guitare et un petit rock n roll lancé par Mike avant un titre qui sens le blues rock des 70 : grandiose. « Living on the edge » ne vous calmera pas un bon gros titre de hard rock 80 qui fait du bien par là ou il passe (les oreilles bien sur !!!) et « Tell me » ne lâche rien avec encore un titre hard qui décape. Une bonne dose de vitamine (il est toujours dommage de ne pas entendre le public, ils l’on fait entre pote ou quoi).
« Wait » continue encore et encore quelle set liste ça ne s’arrête plus. Il y a vraiment de la patate là dedans, rajoutez y un refrain super cool et vous obtenez un super titre. Maintenant place à la grande « Lady of the valley » une véritable master pièce. Un titre qui change d’atmosphère de rythme et qui sonne d’enfer. Un véritable moment quasi religieux qui n’en fini plus pour notre plus grand plaisir : le titre de ce live ! Et quel cri de Mike sur la fin : ouf !
Pour ne pas perdre la main une petite intro piano calme pour « When the children cry » une ballade très réussie qui donne envie de se serrer dans les bras de sa bien aimée et que le temps s’arrête pour en profiter éternellement. Sublime et enivrante, un vrai plaisir.
Aller le moment romantique prend fin (sniff) et Mike d’un bon motherfucker ! nous envoie le très rock n roll « Radar love ». Une fin en apothéose entre ZZ Top, Thin Lizzy et Deep Purple.
Grand très grand. Petit break pour présenter ses frères d’armes internationaux (un Allemand, deux Danois et deux ricains) puis on termine dans un pur esprit rock n roll d’enfer : un must, juste un must !!!
Conclusion : Mike Tramp nous gratifie d’un super live qui fait un bien fou. Quel plaisir de réentendre ces titres qui plus est savamment exécutés par un groupe au top de sa forme.
Mention spéciale pour Jamie Law qui s’en tire avec les honneurs bien mérités, et aussi à Mike de nous éblouir de son talent.
Un bien bon moyen de découvrir ce groupe culte des 80’.
C’est comme ça qu’aujourd’hui nous nous retrouvons avec ce double album live de ce bon vieux lion blanc mais rebaptisé Tramp’s White Lion. A noter que Vito Bratta guitariste d’origine ne participe pas à cette reformation, tout comme tous les autres membres du groupe.
« Light and thunder » attaque d’emblé. Le son est très bon on entend aisément tous les instruments, et que dire de Mike si ce n’est nickel. Petit reproche commencer par un mid tempo un concert c’est osé car on entre difficilement dedans. Niveau ambiance ça manque un peu aussi, on entend quasiment pas le public (il y en a un ?). Pour la suite « Hungry » nous fait décoller comme il faut. Un titre plus entraînant qui décape bien. Jamie Law fait étale de son talent de gratteux émérite (pas facile de remplacer Vito Bratta). Sans temps mort « Lonely night » prend place avec sa jolie mélodie et son refrain imparable. Ah la la quelle magie ce groupe bien aider par la voix particulière d’un Mike Tramp en grande forme.
« Love don’t come easy » arrive après quelques mots échangés avec le public (donc oui il y en a un). Un titre beaucoup plus mélodique qui fait retomber l’ambiance, mais ce n’est pas encore l’endormissement. C’est d’une voix touchante que Mike annonce la sublime « Broken heart ». Une douce intro qui fait de suite son petit effet puis ça démarre et là c’est l’extase. Ce titre sur scène sonne d’enfer ! Un petit solo de gratte pour finir et c’est l’enchaînement avec le heavy « Fight to survive » encore un très grand moment de bonheur, toujours emmené par un, décidément, très grand Mike, accompagné par de véritables mercenaires de la musique et ce refrain quel pied émormissime.
On calme le jeu avec le très mélodique et joli « Cry for freedom ». Un titre qui rappellera à ceux qui connaissent les albums solos de Mike. Un bien joli moment en perspective. Autre jolie intro avec « You’re all i need » à nouveau proche des sublimes ballades de Mike en solitaire. Un titre poignant porté par l’émotion : là encore un très grand moment.
Pour finir ce 1er CD « Little fighter » va vous faire rocker dans votre chaumière. Un titre péchu plein de bonnes choses.
Deuxième CD et c’est « It’s over » qui débarque avec un très joli solo de guitare et un petit rock n roll lancé par Mike avant un titre qui sens le blues rock des 70 : grandiose. « Living on the edge » ne vous calmera pas un bon gros titre de hard rock 80 qui fait du bien par là ou il passe (les oreilles bien sur !!!) et « Tell me » ne lâche rien avec encore un titre hard qui décape. Une bonne dose de vitamine (il est toujours dommage de ne pas entendre le public, ils l’on fait entre pote ou quoi).
« Wait » continue encore et encore quelle set liste ça ne s’arrête plus. Il y a vraiment de la patate là dedans, rajoutez y un refrain super cool et vous obtenez un super titre. Maintenant place à la grande « Lady of the valley » une véritable master pièce. Un titre qui change d’atmosphère de rythme et qui sonne d’enfer. Un véritable moment quasi religieux qui n’en fini plus pour notre plus grand plaisir : le titre de ce live ! Et quel cri de Mike sur la fin : ouf !
Pour ne pas perdre la main une petite intro piano calme pour « When the children cry » une ballade très réussie qui donne envie de se serrer dans les bras de sa bien aimée et que le temps s’arrête pour en profiter éternellement. Sublime et enivrante, un vrai plaisir.
Aller le moment romantique prend fin (sniff) et Mike d’un bon motherfucker ! nous envoie le très rock n roll « Radar love ». Une fin en apothéose entre ZZ Top, Thin Lizzy et Deep Purple.
Grand très grand. Petit break pour présenter ses frères d’armes internationaux (un Allemand, deux Danois et deux ricains) puis on termine dans un pur esprit rock n roll d’enfer : un must, juste un must !!!
Conclusion : Mike Tramp nous gratifie d’un super live qui fait un bien fou. Quel plaisir de réentendre ces titres qui plus est savamment exécutés par un groupe au top de sa forme.
Mention spéciale pour Jamie Law qui s’en tire avec les honneurs bien mérités, et aussi à Mike de nous éblouir de son talent.
Un bien bon moyen de découvrir ce groupe culte des 80’.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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