Chronique
NANOWAR OF STEEL - STAIRWAY TO VALHALLA / Autoproduction 2018
L’Italie est décidément un pays plein de ressources et de surprises. Coiffés au poteau par leur confrère Trick Or Treat, voilà que Nanowar Of Steel revient sur les devants de la scène après huit ans de silence studio ( A noter qu’ils leur aura fallu quand même deux ans en studio pour terminer ce disque). A son staff technique / production (Aleesandro Del Vecchio et Simone Mularoni) on aurait pu croire à un album signé chez Frontiers Music Srl mais non, c’est une auto production.
Aussi dès la diffusion du premier clip vidéo « Barbie Milf Princess Of The Twilight » feat Fabio Lione, on comprend immédiatement que l’on va s’en payer une bien bonne. Entre parodie de Rhapsody itself, et dénonciation des effets vérifiés et / ou tordus de Barbie, les barbituriques ne font pas effet. Tout le monde en prend pour son grade. Chanson qui arrive aussi dans une période de c’est moi qui est le vrai Rhapsody aka Alex Staropoli qui a gardé le nom de Rhapsody of Fire, et le nouveau Turilli - Lione Rhapsody qui lui change de nom mais a la bonne formation niveau membres. Méli Mélo rigolo.
Passé outre cette anecdote, vous l’avez compris cet album parodique mais travaillé est rempli de clichés tout au long de ses 17 pistes. Pistes car il y a des interludes, des textes et des chansons bien évidemment.
Tout au long de cet album vous serez mis à rude épreuve en tentant de trouver les sources d’inspirations de ces « vendeurs de pizza ». Entre le foutage de gu**le ouvert sur la conception d’un disque de Dream Theater, en passant par la dénonciation économique, politique et la consommation de masse, vous trouverez aussi tout un tas de clins d’oeil à différentes périodes musicales etc.
Parmi les préférées, on notera des airs de Mike Oldfield, les experts, le thème de Hercules de Disney, du Manowar lynché et saigné à blanc, du speed metal nordique évincé ou autres groupes de pop revus et intégrés à la sauce Nanowar.
Le morceau favori est en tout et pour sur « And then I noticed that she was a Gargoyle » qui s’inspirant du fameux ending de Rhapsody sur l’album Power Of The Dragonflame se voit placé au trois quart de sa durée par une relance volontairement foirée et qui a un effet addictif au final, donnant encore plus d’intérêt à ce titre.
Au final, l’attente en a valu le détour, et attention de ne pas perdre une de vos quenottes car la « Tooth Fairy » pourrait passer et vous le regretteriez…
A découvrir et à écouter sans gène et sans modération.
Joie et bonne humeur garantie pour ces fêtes de fin d’année.
Aussi dès la diffusion du premier clip vidéo « Barbie Milf Princess Of The Twilight » feat Fabio Lione, on comprend immédiatement que l’on va s’en payer une bien bonne. Entre parodie de Rhapsody itself, et dénonciation des effets vérifiés et / ou tordus de Barbie, les barbituriques ne font pas effet. Tout le monde en prend pour son grade. Chanson qui arrive aussi dans une période de c’est moi qui est le vrai Rhapsody aka Alex Staropoli qui a gardé le nom de Rhapsody of Fire, et le nouveau Turilli - Lione Rhapsody qui lui change de nom mais a la bonne formation niveau membres. Méli Mélo rigolo.
Passé outre cette anecdote, vous l’avez compris cet album parodique mais travaillé est rempli de clichés tout au long de ses 17 pistes. Pistes car il y a des interludes, des textes et des chansons bien évidemment.
Tout au long de cet album vous serez mis à rude épreuve en tentant de trouver les sources d’inspirations de ces « vendeurs de pizza ». Entre le foutage de gu**le ouvert sur la conception d’un disque de Dream Theater, en passant par la dénonciation économique, politique et la consommation de masse, vous trouverez aussi tout un tas de clins d’oeil à différentes périodes musicales etc.
Parmi les préférées, on notera des airs de Mike Oldfield, les experts, le thème de Hercules de Disney, du Manowar lynché et saigné à blanc, du speed metal nordique évincé ou autres groupes de pop revus et intégrés à la sauce Nanowar.
Le morceau favori est en tout et pour sur « And then I noticed that she was a Gargoyle » qui s’inspirant du fameux ending de Rhapsody sur l’album Power Of The Dragonflame se voit placé au trois quart de sa durée par une relance volontairement foirée et qui a un effet addictif au final, donnant encore plus d’intérêt à ce titre.
Au final, l’attente en a valu le détour, et attention de ne pas perdre une de vos quenottes car la « Tooth Fairy » pourrait passer et vous le regretteriez…
A découvrir et à écouter sans gène et sans modération.
Joie et bonne humeur garantie pour ces fêtes de fin d’année.
Critique : Lionel
Note : 8/10
Site du groupe : Site du groupe
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