Chronique
ULTRA VOMIT - OLYMPUTAINDEPIA / Verycords 2019
Histoire de bien foutre la merde et de se foutre de la gueule du monde, le groupe a décidé de faire une petite modification sur chacun de ses titres en déplaçant des lettres ici et là. Résultat, une setliste quasi illisible et un groupe renommé UTLRA VOMIT.
Pour leur 1er Olympia, le combo se la joue Fort Boyard pour son entrée en scène et se voit être accueilli par une marrée de canards… vivants !
Premières choses qui nous saute aux yeux le son et l’image. C’est net, propre limpide et fait avec mirlaine. On ne garantit pas la fraîcheur lavande mais plus senteur aisselles de chez j’ai chaud sauf pour ceux qui ont deux heures de vie infinie à Candy Crush pour jouer avec Manard. Dans ce cas ce sera plutôt cool.
Plaisanteries passées, l’Olympia gueule comme une putain de truie pour une olympèche et c’est parti (vraiment cette fois-ci) pour un concert hors normes et sans tabous.
La mise en scène est tout simplement bluffante et efficace, et le public le rend bien au groupe. Il ne se passe pas un titre, pas un instant où ça ne pogote pas, ne saute pas, ou ne chante pas. Même les morceaux d’excréments vont vriller la salle.
Difficile en soit de ne retenir qu’un seul titre, ou même deux ou trois dans ce concert totalement barré. Tout s’enchaine avec limpidité, et même des artistes comme les Cranberries, Chris Isaak par exemple on droit à un clin d’oeil.
On en parle aussi de Tokoyaki et de ses danseuses / choristes japonaises ? Vive les clichés hein ! Et ils n’en restent pas là. Le Québec y passe aussi avec son attrayante zone de sexe et de stripteaseuses (avec un gros phalus qui fait son apparition devant la scène soit-il dit en passant).
Un moment épique ? Batman. Les nostalgiques du genre apprécieront ce clin d’oeil instrumental tout simplement monstrueux du générique version metal. Du bonheur en barre ! et En parlant de classiques, les versions revisitées de la comptine pour enfants d’Une Souris Verte ou de la traditionnelle Ch’nille feront mouche et déboiteront quelques cervicales à coup sur.
Bien entendu il y aura quand même quelques moments clefs qui tiennent à coeur dans cette liste comme par exemple « I Like To Vomit », « Kammthaar », « Je collectionne des canards (vivants) » et Andréas qui vient se joindre à la partie en tenue disons nawak, ou encore « Evier Metal ».
Vous l’avez compris, ce sont au final 31 chansons qui vont faire mettre les doigts de metal dans les airs à travers un gros best des albums du groupe mais aussi avec des clins d’oeil à la discographie d’ Andréas et Nicolas (Boulangerie Pâtisserie et Je Collectionne Des Canards (Vivants)).
Un digipack double disque (CD / DVD (ou Bluray)) qui mérite d’être possédé pour tout déjanté qui se respecte. Crions comme des truies, faisons la ch’nille et célébrons ce pièce que « Quand j’étais petit » on n’aurait aimé avoir.
Setliste
01. Darry coal chamber
02. Les bonnes manières
03. Un chient géant
04. E-tron (digital caca)
05. Mechanical chiwawa
06. Je ne t’es jamait autans aimer
07. Mountains of maths
08. Calojira
09. Takoyaki
10. Boulangerie pâtisserie
11. Super sexe
12. Hyper sexe
13. Pov’ connard
14. Batman
15. Une souris verte
16. Phoned to death
17. La ch’nille
18. La bouillie
19. Poker face
20. Keken
21. Pink panthera
22. Anthracte
23. Je possède un cousin
24. Judas prost
25. I like to vomit
26. Pipi vs. caca
27. Outro (c’était pas mal là)
28. Je collectionne les canards (vivants)
29. Kammthaar
30. Quand j’étais petit
31. Evier metal
Pour leur 1er Olympia, le combo se la joue Fort Boyard pour son entrée en scène et se voit être accueilli par une marrée de canards… vivants !
Premières choses qui nous saute aux yeux le son et l’image. C’est net, propre limpide et fait avec mirlaine. On ne garantit pas la fraîcheur lavande mais plus senteur aisselles de chez j’ai chaud sauf pour ceux qui ont deux heures de vie infinie à Candy Crush pour jouer avec Manard. Dans ce cas ce sera plutôt cool.
Plaisanteries passées, l’Olympia gueule comme une putain de truie pour une olympèche et c’est parti (vraiment cette fois-ci) pour un concert hors normes et sans tabous.
La mise en scène est tout simplement bluffante et efficace, et le public le rend bien au groupe. Il ne se passe pas un titre, pas un instant où ça ne pogote pas, ne saute pas, ou ne chante pas. Même les morceaux d’excréments vont vriller la salle.
Difficile en soit de ne retenir qu’un seul titre, ou même deux ou trois dans ce concert totalement barré. Tout s’enchaine avec limpidité, et même des artistes comme les Cranberries, Chris Isaak par exemple on droit à un clin d’oeil.
On en parle aussi de Tokoyaki et de ses danseuses / choristes japonaises ? Vive les clichés hein ! Et ils n’en restent pas là. Le Québec y passe aussi avec son attrayante zone de sexe et de stripteaseuses (avec un gros phalus qui fait son apparition devant la scène soit-il dit en passant).
Un moment épique ? Batman. Les nostalgiques du genre apprécieront ce clin d’oeil instrumental tout simplement monstrueux du générique version metal. Du bonheur en barre ! et En parlant de classiques, les versions revisitées de la comptine pour enfants d’Une Souris Verte ou de la traditionnelle Ch’nille feront mouche et déboiteront quelques cervicales à coup sur.
Bien entendu il y aura quand même quelques moments clefs qui tiennent à coeur dans cette liste comme par exemple « I Like To Vomit », « Kammthaar », « Je collectionne des canards (vivants) » et Andréas qui vient se joindre à la partie en tenue disons nawak, ou encore « Evier Metal ».
Vous l’avez compris, ce sont au final 31 chansons qui vont faire mettre les doigts de metal dans les airs à travers un gros best des albums du groupe mais aussi avec des clins d’oeil à la discographie d’ Andréas et Nicolas (Boulangerie Pâtisserie et Je Collectionne Des Canards (Vivants)).
Un digipack double disque (CD / DVD (ou Bluray)) qui mérite d’être possédé pour tout déjanté qui se respecte. Crions comme des truies, faisons la ch’nille et célébrons ce pièce que « Quand j’étais petit » on n’aurait aimé avoir.
Setliste
01. Darry coal chamber
02. Les bonnes manières
03. Un chient géant
04. E-tron (digital caca)
05. Mechanical chiwawa
06. Je ne t’es jamait autans aimer
07. Mountains of maths
08. Calojira
09. Takoyaki
10. Boulangerie pâtisserie
11. Super sexe
12. Hyper sexe
13. Pov’ connard
14. Batman
15. Une souris verte
16. Phoned to death
17. La ch’nille
18. La bouillie
19. Poker face
20. Keken
21. Pink panthera
22. Anthracte
23. Je possède un cousin
24. Judas prost
25. I like to vomit
26. Pipi vs. caca
27. Outro (c’était pas mal là)
28. Je collectionne les canards (vivants)
29. Kammthaar
30. Quand j’étais petit
31. Evier metal
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : Site du groupe
Vues : 5747 fois