Chronique
DRAGONFORCE – INHUMAN RAMPAGE / Roadrunner 2005
Allez savoir pourquoi, mais les labels se font la course pour la sortie de cet album. En effet, la promo s’est faite via leur label Sanctuary / Noise et il y a peu, j’apprends que c’est roadrunner qui les signe pour ce troisième opus des dragons anglais. Bip bip a gagné, maintenant, est ce que le dragon nous a pondu un album comme le second ou a-t-il changé d’optique ?
Rien qu’à voir la playlist je prends peur car le titre le plus court fait 5 :16 min pour un maximum de 8 :10min. Chaud devant, c’est parti avec le premier morceau Through the fire and flames qui attaque fort. Guitare sèche et guitare électrique se font un duel avant une entrée matière à 300km/h suivit de peu par le chant de ZP qui déchire tout. Le couplet est énorme et bien entraînant tout comme le refrain il faut le bien le dire. Le traditionnel solo guitare avant un retour au chant pour nous exciter encore plus. Une bonne entrée goûteuse et appétissante.
On enchaîne avec Revolution Deathsquad qui là encore fait mal. Ambiance plus sombre et agressive et toujours aussi speed le tout poussé par des musiciens qui carbure au Red Bull ou avec des membres doublés. Une voix rappeuse se fait entendre légèrement derrière la voix de ZP. Des solos guitares se pointes par ci par là ; il ne faut pas oublier que nous avons deux superbes guitaristes dans le groupe avec Herman Li et Sam Totman qui nous propsent un passage assez déjanté...
Oh, au tour du plus court morceau de l’album avec Storming the burning fields. Alors là c’est la tête qui est sensée headbanguer mais pour tenir le rythme honnêtement je dis respect à celui qui y arrive. C’est hallucinant, le refrain est d’enfer, et toujours cette voix agressive qui double la voix de ZP. Un morceau agressif et intéressant.
Le numéro 4 est demandé à la platine. Ah, c’est Operation ground and pound qui se présente. Le côté heavy se remet en place avec un aspect un peu plus chevaleresque avec une batterie chevauchante et une guitare flûtée ; le tout bien sur avant l’accélération du dragon qui nous allume grave. Cela sera sans oublier les classique parties de chant qui font « ooooooh oooohh oooh oh, oooooohooh…. ».
C’est fini ce bordel un peu ? Et bien non, ça continu avec le meilleur morceau de l’album et il se nomme Body Breakdown. Une ambiance un peu prog et sombre alternée avec l’ultra speed du groupe. C’est complexe et hop, on calme le tout pour le chant. Une bonne élodie se met en place et on pousse l’adrénaline doucement mais sûrement. Le refrain est détonnant. Une future bombe sur scène.
Pas de répit pour nos oreilles car Cry for eternity est là, et c’est aussi le morceau le plus long. Attaque à la batterie : c’est énorme ! Fond au synthé, cordes taquinées, et bim c’est parti pour une chevauchée fort sympathique avec un tempo accrocheur et une voix une nouvelle fois énorme. Le refrain nous régale, le solo en fait autant, les breaks nous surprenne avant de repartir à 200. Des bruits bizarres sont faits à la gratte, la voix trash se fait entendre au loin : un super medley musical bien inspiré.
On le sait, les dragons sont éternels, et là ils nous font entendre et voir leur Flame of youth. Une bonne présentation des choses avec un aspect prog et calme pour la présentation de l’histoire. Une fois dans le vif du sujet tout s’accélère, un break et le conteur prend la parole pour nous expliquer le pourquoi du comment, mais aussi pour nous captiver. Le refrain une nouvelle fois détonne.
Il faut bien une fin aux choses et bien voilà Trail of broken hearts qui est une sublimissime ballade. Il la fallait pour nous reposer après ces 50min de speed non stop. Que dire de cette chanson ?! A écouter en boucle non stop pour se détendre tellement elle est belle et remplie de sensations. Venant d’un dragon ce n’est pas surprenant.
Conclusion : Dragonforce nous sort là un album bien meilleur que le Sonic Firestorm qui m’avait laissé bien perplexe. Je regretterai personnellement le surplus de solos à la guitare. Mais le reste est bien bon et excitant. Un album à recommander pour les fans de speed ou d’ultra speed.
Rien qu’à voir la playlist je prends peur car le titre le plus court fait 5 :16 min pour un maximum de 8 :10min. Chaud devant, c’est parti avec le premier morceau Through the fire and flames qui attaque fort. Guitare sèche et guitare électrique se font un duel avant une entrée matière à 300km/h suivit de peu par le chant de ZP qui déchire tout. Le couplet est énorme et bien entraînant tout comme le refrain il faut le bien le dire. Le traditionnel solo guitare avant un retour au chant pour nous exciter encore plus. Une bonne entrée goûteuse et appétissante.
On enchaîne avec Revolution Deathsquad qui là encore fait mal. Ambiance plus sombre et agressive et toujours aussi speed le tout poussé par des musiciens qui carbure au Red Bull ou avec des membres doublés. Une voix rappeuse se fait entendre légèrement derrière la voix de ZP. Des solos guitares se pointes par ci par là ; il ne faut pas oublier que nous avons deux superbes guitaristes dans le groupe avec Herman Li et Sam Totman qui nous propsent un passage assez déjanté...
Oh, au tour du plus court morceau de l’album avec Storming the burning fields. Alors là c’est la tête qui est sensée headbanguer mais pour tenir le rythme honnêtement je dis respect à celui qui y arrive. C’est hallucinant, le refrain est d’enfer, et toujours cette voix agressive qui double la voix de ZP. Un morceau agressif et intéressant.
Le numéro 4 est demandé à la platine. Ah, c’est Operation ground and pound qui se présente. Le côté heavy se remet en place avec un aspect un peu plus chevaleresque avec une batterie chevauchante et une guitare flûtée ; le tout bien sur avant l’accélération du dragon qui nous allume grave. Cela sera sans oublier les classique parties de chant qui font « ooooooh oooohh oooh oh, oooooohooh…. ».
C’est fini ce bordel un peu ? Et bien non, ça continu avec le meilleur morceau de l’album et il se nomme Body Breakdown. Une ambiance un peu prog et sombre alternée avec l’ultra speed du groupe. C’est complexe et hop, on calme le tout pour le chant. Une bonne élodie se met en place et on pousse l’adrénaline doucement mais sûrement. Le refrain est détonnant. Une future bombe sur scène.
Pas de répit pour nos oreilles car Cry for eternity est là, et c’est aussi le morceau le plus long. Attaque à la batterie : c’est énorme ! Fond au synthé, cordes taquinées, et bim c’est parti pour une chevauchée fort sympathique avec un tempo accrocheur et une voix une nouvelle fois énorme. Le refrain nous régale, le solo en fait autant, les breaks nous surprenne avant de repartir à 200. Des bruits bizarres sont faits à la gratte, la voix trash se fait entendre au loin : un super medley musical bien inspiré.
On le sait, les dragons sont éternels, et là ils nous font entendre et voir leur Flame of youth. Une bonne présentation des choses avec un aspect prog et calme pour la présentation de l’histoire. Une fois dans le vif du sujet tout s’accélère, un break et le conteur prend la parole pour nous expliquer le pourquoi du comment, mais aussi pour nous captiver. Le refrain une nouvelle fois détonne.
Il faut bien une fin aux choses et bien voilà Trail of broken hearts qui est une sublimissime ballade. Il la fallait pour nous reposer après ces 50min de speed non stop. Que dire de cette chanson ?! A écouter en boucle non stop pour se détendre tellement elle est belle et remplie de sensations. Venant d’un dragon ce n’est pas surprenant.
Conclusion : Dragonforce nous sort là un album bien meilleur que le Sonic Firestorm qui m’avait laissé bien perplexe. Je regretterai personnellement le surplus de solos à la guitare. Mais le reste est bien bon et excitant. Un album à recommander pour les fans de speed ou d’ultra speed.
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : site officiel de Dragonforce
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