Chronique
DGM - TRAGIC SEPARATION / Frontiers records 2020
Nos italiens poursuivent leur carrière avec succès bien aidée par un line up stabilisé depuis quelques années maintenant. Une suite bien attendue qui va permettre de montrer l'étendue de leur talent !
On commence par un rentre dedans « Flesh and blood » qui met d'accord d'entrée. Le groupe a gardé sa puissance dévastatrice et cette virtuosité qui font la différence. Bien sûr on pense à la référence Symphony X et ce n'est pas la puissante voix de Marco Basile (très proche de Russel Allen ici) qui va nous faire dire le contraire, mais le groupe s'en sort fort bien. « Surrender » arrive en mode plus fun. Un rythme rehaussé et une bonne humeur voilà la recette du succès de DGM. Il faut bien reconnaître que même si le groupe n'a plus un seul membre d'origine, leurs remplaçants ont réussi à créer une union spéciale qui fonctionne à merveille.
« Fate » arrive et défonce tout sur son passage avec son riff rouleau compresseur. Un titre efficace qui va faire son effet auprès des fans ! Place à « Hope » qui calme le jeu avec un mid tempo mélodique. Un autre moment fort du groupe qui sait vraiment construire ces titres-là.
Début tout calme au piano et violon pour « Tragic separation », qui n'est pourtant pas une ballade mais plus du prog comme on l'aime, développé sans être stérile et démonstratif. A noter un superbe duel guitare clavier avec beaucoup de goût ! Un vrai délice !! « Stranded » reprend du plus classique mais reste tout à fait agréable. Un titre plus rentre dedans avec toujours ses passages plus cools, pour ne pas trop en faire.
Avec « Land of sorrow » on plonge en plein prog ambiant. Ici on retrouve les anciennes aspirations du groupe et force est de reconnaître que ça fonctionne toujours aussi bien. Une bien bonne idée que voilà, qui fera plaisir aux anciens fans. Silence » reprend du plus moderne pour nous offrir un titre 'simple' mais dans le moule de ce que fabrique le groupe. Un titre sans prétention qui remplit son devoir.
Puis « Turn back time » arrive en mode express et rappelle les débuts de cet opus. Efficace et sans concession. A noter un sublime travail de Marco au chant ! Tout se termine avec « Curtain » une simple outro qui permet de reprendre son souffle et de se calmer après toutes ces émotions.
Conclusion : pour son nouvel opus, le groupe a réussi à y mettre tout son talent et ses capacités, pour un résultat des plus concluant. Une suite qui ne fera pas tache dans la déjà très belle discographie du combos transalpins.
On commence par un rentre dedans « Flesh and blood » qui met d'accord d'entrée. Le groupe a gardé sa puissance dévastatrice et cette virtuosité qui font la différence. Bien sûr on pense à la référence Symphony X et ce n'est pas la puissante voix de Marco Basile (très proche de Russel Allen ici) qui va nous faire dire le contraire, mais le groupe s'en sort fort bien. « Surrender » arrive en mode plus fun. Un rythme rehaussé et une bonne humeur voilà la recette du succès de DGM. Il faut bien reconnaître que même si le groupe n'a plus un seul membre d'origine, leurs remplaçants ont réussi à créer une union spéciale qui fonctionne à merveille.
« Fate » arrive et défonce tout sur son passage avec son riff rouleau compresseur. Un titre efficace qui va faire son effet auprès des fans ! Place à « Hope » qui calme le jeu avec un mid tempo mélodique. Un autre moment fort du groupe qui sait vraiment construire ces titres-là.
Début tout calme au piano et violon pour « Tragic separation », qui n'est pourtant pas une ballade mais plus du prog comme on l'aime, développé sans être stérile et démonstratif. A noter un superbe duel guitare clavier avec beaucoup de goût ! Un vrai délice !! « Stranded » reprend du plus classique mais reste tout à fait agréable. Un titre plus rentre dedans avec toujours ses passages plus cools, pour ne pas trop en faire.
Avec « Land of sorrow » on plonge en plein prog ambiant. Ici on retrouve les anciennes aspirations du groupe et force est de reconnaître que ça fonctionne toujours aussi bien. Une bien bonne idée que voilà, qui fera plaisir aux anciens fans. Silence » reprend du plus moderne pour nous offrir un titre 'simple' mais dans le moule de ce que fabrique le groupe. Un titre sans prétention qui remplit son devoir.
Puis « Turn back time » arrive en mode express et rappelle les débuts de cet opus. Efficace et sans concession. A noter un sublime travail de Marco au chant ! Tout se termine avec « Curtain » une simple outro qui permet de reprendre son souffle et de se calmer après toutes ces émotions.
Conclusion : pour son nouvel opus, le groupe a réussi à y mettre tout son talent et ses capacités, pour un résultat des plus concluant. Une suite qui ne fera pas tache dans la déjà très belle discographie du combos transalpins.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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